jeudi 31 juillet 2008

Exactement pareil, sinon c'est la grêve !! qu'est ce que vous en pensez ??


Le monde du travail chez Google.



La sieste chez Google

On savait déjà que travailler chez Google pouvait avoir certains avantages, mais sachez que le bien-être des employés chez le moteur de recherche ne se prend pas à la légère…preuve en est cette capsule de décompression (du stress) imperméable au bruit et à la lumière…


Visite au centre européen de Google à Zurich

MOBILITE. Un toboggan permet de passer entre plusieurs étages. Des barres, similaires à celles installées dans des casernes de pompier, sont aussi disponibles.

ALIMENTATION. Les employés disposent d'un vaste choix de mets et de boissons, à volonté.


TRAVAIL. Chaque employé dispose au moins de deux très grands écrans. Il y a entre 4 et 6 "Zooglers" par bureau.

INNOVATION. Des tableaux blancs sont disponibles un peu partout, "car les idées ne naissent pas qu'au bureau", affirme un responsable de Google.


DETENTE. Billards, baby-foot, flippers et salles dédiées au jeu vidéo sont disponibles un peu partout.

COMMUNICATION. A chaque étage, des petites cabines téléphoniques permettent d'effectuer des appels privés.


SUPPORT TECHNIQUE. Un souci avec son ordinateur? Voici où l'enmener. Cafés et sirops sont disponibles en attendant que la réparation soit achevée.


SANTE. Des masseurs professionnels exercent dans cette salle.


REPOS. La salle de relaxation propose des sièges massants qui se contrôlent avec une télécommande. En face sont disposé une dizaine d'aquariums.

AMBIANCE. Beaucoup de faux livres dans cette bibliothèque... Mais ça et là, quelques ouvrages de programmation sont tout de même disponibles.

Si ça vous intéresse ; Google recrute!

Femmes d'affaires Tunisiennes : Besoin de bonne volonté, de sensibilisation, ou d'adaptation aux TIC ?

Maryam OMAR:Webmanager : Interrogées à la faveur d’une enquête sur les femmes chefs d’entreprise dans cinq pays arabes, 197 patronnes tunisiennes du Grand Tunis et des villes de l’intérieur ont affirmé qu’elles étaient optimistes face à la croissance et au développement de leurs entreprises pour les deux prochaines années (enfin… 60% d’entre elles !).

Plus de 73% des femmes interrogées ont lancé leurs projets elles-mêmes,
Plus de 55% sont les seules propriétaires de leurs entreprises.
Plus de 92% des femmes chefs d’entreprise interrogées ne participent pas actuellement au FAMEX,

55% d’entre elles déclarent rencontrer des obstacles de financement surtout liés aux taux d’intérêt prohibitifs.
Pire :

82% des femmes interrogées n’ont pas de site web,

Près de 40% d’entre elles ont même indiqué qu’elles n’avaient jamais utilisé Internet,

Seules 51% des femmes interrogées ont indiqué recourir au courrier électronique et tout autre moyen de communication via Internet,

Seulement 34% utilisent ce réseau pour échanger des documents avec des clients, des fournisseurs et autres personnes,et uniquement 28% cherchent sur Internet de nouvelles opportunités d’affaires.

De fait, on se demande si elles ont été un peu oubliées dans les programmes d’adaptation à l’Internet ou si ce sont tout simplement elles qui n’ont pas eu le bon sens et la bonne volonté d’apprendre à utiliser un outil aussi universel et omniprésent que l’Internet.

Dans un cas comme dans l’autre, cette enquête devrait être une sonnette d’alarme pour les structures responsables de l’encadrement des femmes chefs d’entreprise pour s’attaquer bien plus fort à cette nouvelle forme d’ignorance que ce qu’elles font actuellement !

Adoption de deux projets de loi économique.

Au cours d'une séance plénière tenue mardi 29 juillet 2008, la Chambre des conseillers a adopté deux projets de loi à caractère économique.

Le premier amende la loi de 1999 sur les taux d'intérêt excessifs. Cette loi a pour objectif de réviser le calcul de ce taux, retenu comme plafond des taux d'intérêt appliqués par les banques, en matière d'octroi de crédit.

Le nouveau mode de calcul vise à réduire le taux d'intérêt nominal, les commissions et les rémunérations directes et indirectes appliqués par les banques sur les prêts qu'elles accordent.

Selon un membre du gouvernement, cette mesure aura un impact positif qui sera perceptible à travers la réduction du coût de la dette bancaire, la préservation du pouvoir d'achat du citoyen et l'amélioration de la compétitivité des entreprises.

Plusieurs campagnes de sensibilisation seront organisées dans la perspective de mieux faire connaître cette mesure.

Quant aux délais d'octroi des crédits, le responsable a indiqué que ces délais ont été fixés par la Banque centrale de Tunisie à 5, 10 et 20 jours, selon le type de crédit demandé.

Le deuxième projet autorise l'Etat à s'engager dans la convention d'investissement relative au Port financier de Tunis, qui sera réalisé dans la zone de Hissiene, près de Kalaat Andalous dans le gouvernorat de l'Ariana. La convention a été conclue avec le groupe «Gulf Finance House».

Rappelons que ce projet a pour composantes la création d'un centre d'affaires (banques, assureurs, bureaux de services), des établissements universitaires, des hôpitaux, d'une marina, d'un complexe commercial et résidentiel de villas, des locaux commerciaux, d'un terrain de golf et d'un stade.

Un impact positif est attendu de ce projet, notamment sur l'emploi des cadres et diplômés du supérieur, d'autant que la convention invite la partie bahreïnie à accorder la priorité d'embauche à la main-d'œuvre tunisienne.


Etudiants de toutes régions : Inscription à distance !

Dans le but d'assister les étudiants à s'inscrire via Internet auprès de leurs établissements universitaires dans les meilleures conditions et dans les plus brefs délais, la poste tunisienne informe les étudiants, dans un communiqué publié aujourd'hui que 200 bureaux de poste, situés dans tous les gouvernorats du pays, ont été raccordés à l'Internet et sont mis à leur disposition pour les assister à effectuer l'inscription à distance pour l'année universitaire 2008-2009.
Sachant que les moyens de paiement électronique sont disponibles dans les bureaux de poste en quantité suffisante.

De même, la poste porte à la connaissance des étudiants que les cartes de paiement électronique sont rechargeables instantanément à distance auprès des bureaux de poste informatisés et à partir de tous les DAB de la poste tunisienne.
Il convient de rappeler que l'opération d'inscription universitaire à distance via Internet pour l'année 2008- 2009 est simple et facile, il suffit:

-d'accéder au site commun d'inscription à distance: www.inscription.tn ou à travers le lien disponible sur le site de la poste tunisienne www.poste.tn -d'introduire les informations requises -de payer les frais d'inscription en introduisant le numéro de la carte de paiement et son code confidentiel -d'imprimer le reçu de paiement.

En outre, et afin d'assister davantage les étudiants, le centre d'appel téléphonique de la poste tunisienne 1828 position 2 est à leur disposition pour leur fournir les éclaircissements nécessaires relatifs à l'inscription en ligne et aux paiements électroniques.
S'agissant de la question d'encombrement dans les bureaux de poste durant la période estivale, la poste tunisienne rappelle que les bureaux de poste sont ouverts sans interruption de 7h30 jusqu'à 13h30 et ce, du lundi au samedi.
Outre la séance matinale, une liste de 33 bureaux de poste situés dans tous les gouvernorats du pays assurent la continuité du service au cours des après-midi de 18h00 à 20h00 et les dimanches de 9h00 jusqu'à midi.

Pour plus de détail concernant l'horaire estival de l'ouverture des bureaux de poste les citoyens sont invités à visiter le portail de la poste tunisienne http://www.poste.tn/

mercredi 30 juillet 2008

Les TIC en Tunisie : une question de visibilité

La 17ème édition du Forum de l'Association des tunisiens des grandes écoles (ATUGE), s’est tenue récemment à la cité des sciences à Tunis sur le théme "networking, moteur des stratégies gagnantes à l'échelle des pays, des entreprises et des compétences".

Ce forum a été ouvert par M. Afif CHELBI, ministre de l'industrie de l'énergie et des PME, en présence de plusieurs universitaires et experts nationaux et internationaux, qui ont pris part à cette manifestation. Plusieurs thèmes ont été traités, notamment, le travail au sein de "lobbies" ou groupe de pression et le réseautage à l'échelle méditerranéenne.

Le ministre a insisté sur le rôle joué par les TIC pour attirer plus d' IDE notamment à travers les réseaux publics à savoir les ambassades, les consulats, ainsi que le Centre de promotion des exportations (CEPEX) et l'Agence de promotion des investissements extérieurs (FIPA).

M. Chelbi, à cette occasion, a mis l'accent sur la nécessité de diriger les PME tunisiennes par des compétences tunisiennes, notamment, par ceux qui ont poursuivi leurs études dans des grandes écoles et dont le taux de retour pour travailler en Tunisie ne dépasse même pas le 1%.

Un sujet brûlant a été traité dans le cadre de ce forum : Les TIC en Tunisie : une question de visibilité.


Justement, cette image n’est pas aussi forte qu’on le croit d’après les experts nationaux et internationaux présents. Le Maroc nous devance largement sur ce plan. Dans la plupart des cas, on préfère faire de la sous-traitance des projets au Maroc plutôt qu’en Tunisie. Pour cause, le Maroc investit beaucoup dans la promotion de son image à l’étranger.

Cinq institutions tunisiennes s’occupent de l’image du pays, l’Agence tunisienne de communication extérieure (ATCE), les chancelleries tunisiennes à l’étranger, l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA), le Centre de promotion des exportations (CEPEX) et l’Office national du tourisme tunisien (ONTT). l’ATCE, est officiellement l’institution qui a pour charge immédiate la promotion de l’image de la Tunisie à l’étranger. «Mais son travail est-il pertinent pour les technologies de l’information ? »

Les chancelleries tunisiennes à l’étranger, supposées véhiculer une certaine image positive de la Tunisie, n’ont pas toujours la culture économique adéquate pour le faire. «Elles sont plutôt branchées culture sociale que culture business. Cet aspect-là est délaissé», nous indiquent-t-ils.

D’un autre côté, la FIPA, sensée promouvoir et attirer l’investissement étranger en Tunisie, manque de moyens pour le faire. Le CEPEX ne reflète pas la vraie image du pays par sa présence dans les salons et les foires internationaux, «avec des stands orientés côté artisanal».

Pour l’ONTT, la destination Tunisie n’est pas bien promue. «Jamais on ne trouverait des campagnes publicitaires à l’étranger pour la destination Tunisie».

Confirmant ces paroles, M. Mounir Beltaifa, directeur exécutif de la société «Bridge 1», affirme qu’il a proposé à des partenaires allemands d’investir en Tunisie. «Ils m’ont répondu que ça ne les intéressait pas et qu’ils sont à la recherche d’une plateforme de développement économique tous secteurs confondus. Le Maroc était plus intéressant pour eux».

Néanmoins, la Tunisie présente plusieurs atouts cachés ; il faut donc les faire ressortir pour justement sortir de cette image décalée, mettant seulement en valeur l’aspect touristique. Ces atouts cachés sont liés au capital humain.


En Europe, il y a des phénomènes qui ont disparu tels que la pérennité et la fidélité des cadres. Tous les cinq ans les cadres changent d’entreprise. En Tunisie, ils restent jusqu’à 14 ou 15 ans dans une seule entreprise.

Au niveau du nearshoring, la Tunisie pourrait gagner sur ce plan puisque «le Maroc a perdu sa crédibilité à ce niveau aux dépens de l’Inde» qui lui aussi est entrain de perdre de crédibilité à cause de la mauvaise qualité des produits souvent citée et et le manque de fidélité et de stabilité des cadres. Ajoutons à cela un effort communicationnel qui devrait se renforcer plus. «La communication d’image est bien développée au Maroc. Si on faisait 10% de ce qu’a fait ce pays, on pourrait bien gagner des points de plus en visibilité», estimen-t-ils.

Axer donc sur une communication structurée et organisée pourrait bien promouvoir la vraie valeur des compétences tunisiennes. «On est resté dans cette culture stratégie qui nous dit : nos compétences sont là, il n’est pas important de les vendre» !

L’internaute 2.0 est-il un être social ?

blogdesveilleurs. il existerait 3 types d’individus sur la toile :

Certains restent fortement ancrés dans le monde réel et n’utilisent Internet que pour le prolonger :


“Les individus traditionnels qui ont un cercle de relations dans le monde physique …/… peuvent être des internautes. Mais que font-ils avec Internet? Ils envoient des mails et ils surfent avec les gens qu’ils connaissent déjà dans le monde physique.”

L’outil internet est vu ici par l’internaute comme un moyen pour maintenir une connexion avec ses proches uniquement. Sa sociabilité est délimitée par son interaction physique avec ses proches et étendu ensuite par les capacités de connexion offerte pas le medium Internet.


D’autres s’engagent un peu plus dans le monde virtuel :


“La deuxième catégorie sont les internautes un petit peu plus aguerris qui participent à des forums, vont sur des chats, sont habitués à avoir des pseudonymes ou à intervenir de manière anonyme et qui apprennent à gérer une identité physique distincte de leur identité virtuelle.”

L’internaute participatif est celui qui commence à prendre la parole sur le web. Il commence à agir sous une ou plusieurs « identités actives » sur le web. Généralement il commence par utiliser un ou plusieurs pseudos et à laisser des contributions et des traces sur Internet.

Les derniers sont ces individus hypersociaux qui gardent un équilibre parfait entre leurs activités dans les mondes réel et virtuel :


“Et puis on a le troisième type d’individu et c’est justement lui, l’individu hypersocial qui arrive justement à gérer tout cela avec une certaine virtuosité. Dans certains cas il aura deux identités complètement distinctes, il pourra connaître certaines personnes sur le Web sans les connaître dans le monde physique. Dans d’autres cas il pourra essayer de fusionner les deux et de rencontrer dans le monde réel les amis qu’il peut avoir sur le net. C’est une chose qu’on peut rencontrer parmi les blogueurs par exemple qui ont souvent envie parfois de se rencontrer autour d’un verre et on atteint une mixité des sphères sociales.”

C’est de ce dernier type d’individu que l’on pourrait appeler l’internaute 2.0, parfaitement à l’aise avec la gestion de son information, de son identité numérique et de son capital social virtuel et réel en créant des ponts entre les deux…


mardi 29 juillet 2008

METTEZ DE L’ORDRE DANS VOTRE ORDINATEUR !

L’ère du bureau sans papier ne s’est pas encore matérialisée et le fouillis électronique ne fait qu’accroître le dilemme. Les disques durs des ordinateurs utilisés à travers le pays sont encombrés de vieilles applications, répertoires, fichiers, courriels.

Afin de remédier au désordre qui paralyse les ordinateurs :

1.D’abord, assurez-vous que vos systèmes documentaires ne sont pas engorgés et qu’ils sont bien structurés:

· Débarrassez-vous de l’information ancienne ou peu utile.
· Divisez l’information restante en trois catégories : en cours, référence, archives. Gardez les dossiers en cours à portée de main et classez les archives en dehors de votre bureau.
· Créez une méthode de classement par sujet pour chacune de vos trois catégories, en dressant un modèle de vos fonctions clés.

2.Maintenant, appliquez le même procédé à vos documents électroniques. Plus proches seront vos systèmes de classement de documents papier et électroniques, plus il vous sera facile de vous rappeler où classer vos documents et où les chercher.

3.Si vous utilisez le courrier électronique, et surtout dans un contexte de travail, vous pourriez en recevoir des centaines, voire plus dans le pire des cas. Commencez à éliminer ces messages, en procédant chronologiquement.

4.Les messages que vous désirez conserver doivent être classés dans des dossiers électroniques ou des répertoires que vous aurez créés à l’étape 2.

5. Procédez de la même manière pour les dossiers de traitement de textes et de chiffriers électroniques.

6.Si vous devez récupérer de l ‘espace disque dans votre ordinateur, organisez votre système d’archives électroniques suivant le modèle mis au point à l’étape 1, et transférez vos fichiers depuis votre disque dur sur disquettes, cédérom ou autre support de stockage.

7.Faites le tour de votre disque dur et vérifiez s’il s’y trouve des programmes que vous n’utilisez pas (hérités de l’utilisateur précédent, par exemple); vous pouvez les éliminer ou les transférer sur un autre support de stockage.

8.Si vous êtes en entreprise, ou sur Internet et êtes inondé de messages, retirez votre nom des listes d’envoi qui sont à l’origine de cet engorgement, à moins qu’elles ne vous fournissent de l’information d’une grande importance.

9.Faites le tour de votre documentation et débarrassez-vous des manuels de programmes que vous n’utilisez plus

10.À l’avenir, prévoyez un moment tous les jours pour la gestion de votre courrier papier et électronique. Il suffit de quelques minutes par jour pour éviter l’engorgement.

Il existe bien sûr plusieurs autres techniques disponibles. Nombreux sont ceux qui trouvent avantageux de se faire aider dans ce processus, mais nous espérons que ces quelques trucs vous aideront à bien démarrer. Bonne journée de ménage d’ordinateur!


Téléphonie sur IP, importation de matériel informatique et systèmes électroniques et MailPost en Tunisie

Insaf. B:businessnews. Le service de téléphonie sur IP et l’importation de matériel et systèmes électroniques disposent, désormais, d’un nouveau cadre réglementaire et juridique spécifique. Le Chef de l’Etat vient, en effet, de signer deux décrets, l’un portant sur la simplification des procédures d'approvisionnement des entreprises en matériel informatique et systèmes électroniques, à travers d’une part, la création d’un Guichet unique, et d’autre part, la suppression des autorisations préalables à l’importation. L’autre, mettant en place, un cadre juridique pour le service de téléphonie sur IP. Deux mesures innovantes qui viennent renforcer les assises de la société du savoir en Tunisie. En effet, plus le réseau est moderne, adapté aux évoluions, plus la compétitivité des PME est améliorée. Cependant, il ne suffit pas d’introduire les nouvelles NTIC, il faut aussi proceder à une adaptation du cadre juridique et réglementaire avec une évolution adéquate. Partant, modernisation du réseau et harmonisation des textes juridiques, vont de pair. Dans ce sens, le Chef de l’Etat vient de signer, le 21 juillet, un décret portant promulgation d’un cadre réglementaire et technique propre au service de téléphonie sur IP, au profit des citoyens et des entreprises. Objectif : d’une part, impulser les investissements et stimuler l’activité socio-économique et d’autre part, assurer une bonne qualité des télécommunications, sécuriser les réseaux et protéger les utilisateurs. Désormais, le service de téléphonie sur IP est doté d’un cadre juridique, réglementaire et technique qui lui est propre. Ce cadre permet, dorénavant l’utilisation de cette technologie dont, les avantages sont, du reste, certains. Orienté vers les centres d’appels, les entreprises dont l’activité se base sur les technologies de la communication, les administrations et les sociétés multi-sites, (banques, administrations, autorités et/ou organisations internationales résidentes en Tunisie…), la téléphonie sur IP présente une réduction des coûts des services de télécommunications et par la même améliore la compétitivité des entreprises. Elle facilite, par ailleurs, une plus grande promotion des IDE et ouvre des perspectives pour le développement de l’infrastructure des télécommunications.Le grand public, en l’occurrence les citoyens, sont également concernés par cette technologie. En effet, le décret leur accorde ce droit, à travers des offres commerciales présentées par les fournisseurs des réseaux de télécommunications sous forme de packages forfaitaires, intégrant les services Internet, la téléphonie, et éventuellement les programmes télévisés...Les mesures s’inscrivent dans le cadre de la modernisation du réseau des télécommunications. A ce titre, le décret oblige les opérateurs des réseaux publics de communications, d’offrir un service répondant aux normes techniques internationales. Plus encore, il leur impose de garantir la sécurité des réseaux, d’utiliser des protocoles H 323 ou SIP, pour transférer les signaux et d’assurer, par la même, la sécurité des réseaux exploités par les administrations et les entreprises, contre toutes éventuelles intrusions. La réglementation de la téléphonie sur IP favoriserait largement, la création de nouvelles entreprises intégratrices de services dont l’objet serait de mettre, justement, à niveau les réseaux internes des entreprises, afin qu’elles puissent communiquer aux moyens de cette technologies, au moindre coût. Sans compter que les nouvelles entreprises auraient, également pour mission, la maintenance des réseaux, et leur sécurité. La création de cette nouvelle génération de PME rapprocherait, par ailleurs, le service de la téléphonie par la téléphonie sur IP des destinataires. Outre la réglementation de la téléphonie sur IP, le Président de la République a signé un second décret portant suppression de l’autorisation préalable à l’importation de matériel informatique. Il allège davantage les procédures en vigueur, relatives à l’entrée temporaire de ce genre de matériel. Cette mesure s’inscrit dans le cadre des efforts engagés par les pouvoirs publics, pour faciliter et simplifier les procédures administratives. Le décret signé, récemment par le Président de la République, répond ainsi, aux demandes des opérateurs économiques, et des investisseurs qui optent pour la Tunisie, comme site d’affaires. La simplification des procédures d'approvisionnement des entreprises en matériel et systèmes électroniques se traduit par la création d’un Guichet unique, où tous les ministères concernés sont regroupés, avec en plus les représentants de l'Agence Nationale de Certification Electronique (ANCE), le Centre des Etudes et des Recherches en Télécommunications (CERT) et l'Agence Nationale des Fréquences (ANF). Le décret vient fixer clairement et la mission du Guichet unique et le délai maximum de réponse aux dossiers déposés auprès de la nouvelle structure. Celle-ci est, désormais, le seul interlocuteur des opérateurs économiques du secteur, et devrait répondre aux dossiers des autorisations d'importations et d'homologation, dans un délai maximum de 10 jours, contre des délais interminables, pouvant atteindre auparavant, plus de trois mois. Mieux encore, la simplification des procédures s’est traduite, également, par la suppression de l'autorisation préalable pour l’importation de matériel informatique et systèmes électroniques. Le texte juridique a supprimé, aussi, « les autorisations préalables d'importations des équipements radioélectriques de faible puissance et de portée limitée, des équipements utilisant les systèmes RFID et GPS, d'une portée allant de 10 à 100 mètres et des équipements de transmission de données de type WIFI, installés dans le même bâtiment et ne dépassant pas un rayon de 100 mètres de couverture ».Les nouvelles mesures contenues dans le décret du 21 juillet 2008 tendent à promouvoir l’investissement, à dynamiser l’économie nationale, à améliorer la compétitivité de l’économie, en général et des entreprises en particulier, et surtout à stimuler la création d’emplois. Enfin, dans le cadre de la concrétisation des objectifs fixés dans le Programme Présidentiel pour la Tunisie de Demain, (2005/2009), la Tunisie, en partenariat avec la société Microsoft, et la précieuse collaboration d'entreprises tunisiennes évoluant dans le domaine de la création de contenu et de l'ingénierie informatique, est en cours de mettre en place, un système de messagerie électronique, baptisé « MailPost ». Microsoft aura à sa charge de fournir les produits, les systèmes de base et les licences d'exploitation des logiciels de messagerie, à des coûts symboliques. Le « MailPost » est un système fiable et sécurisé ouvert sur toutes les technologies de communication (Internet, SMS et MMS). Grâce à ce système, un million d’adresses électroniques sécurisées seront mises à la disposition des citoyens et des entreprises en Tunisie. Il répondrait ainsi, aux attentes des citoyens et des opérateurs économiques. En effet, il leur garantirait « un échange de documents administratifs, de factures des services publics, des courriers des fonds sociaux et des établissements scolaires et universitaires, des messages électroniques, sécurisé, plus crédible et authentique, contrairement aux comptes mails gratuits, à l’instar de "Yahoo", "Google", "Hotmail" ou encore "MSN" ».

lundi 28 juillet 2008

Nouveau réglement intérieur !

1.Absence pour maladie:
Nous n'acceptons plus les certificats médicaux en tant que preuve d'une maladie. Si vous êtes capable d'aller chez le médecin, c'est que vous êtes capable d'aller au boulot.

2.Chirurgie:
Les opérations sont désormais interdites. Aussi longtemps que vous serez employé ici, vous aurez besoin de tous vos organes. Nous avons signé un contrat lorsque vous étiez intact et une ablation quelconque constituera un manquement grave à votre contrat.

3.Vacances:
Chaque employé aura droit à 104 jours de vacances par an. Ces vacances seront appelées samedi et dimanche.

4.Absence pour raisons diverses:
Il n'y a aucune excuse pour ne pas être présent au travail: il n'y a plus rien a faire pour vos amis ou proches décédés. Dans les cas rares où la participation des employés est nécessaire, l'enterrement devra être programmé pour la fin de l'après-midi. Nous serons heureux de vous permettre de travailler durant votre pause déjeuner afin de partir une heure plus tôt, si votre travail est terminé.

5.Absence en cas de décès:
Dans le cas de votre propre décès, ceci sera accepté comme excuse. Cependant nous avons besoin de recevoir votre préavis au moins deux semaines avant, car il est de notre devoir de vous trouver un remplaçant.

6.Utilisation des toilettes:
Trop d'heures sont passées aux toilettes. A l'avenir, nous observerons la procédure suivante: Chaque employé dont le nom de famille commence par A ira dans la tranche horaire 8h00-8h20.Chaque employé dont le nom de famille commence par un B ira dans la tranche horaire 8h20-8h40, et ainsi de suite. Si vous ne pouvez pas y aller lors du créneau horaire qui vous est imparti, il sera nécessaire d'attendre le lendemain jusqu'à ce que votre tour arrive de nouveau. Dans les cas d'urgence extrême, les employés peuvent permuter leur tour avec un collègue. En outre, il y a maintenant un délai de 3 minutes strict à observer dans les toilettes. A la fin de ces 3 minutes, une alarme retentira, le papier toilette se rétractera et la porte s'ouvrira.

7.Pause déjeuner:
Les personnes de corpulence maigre disposent d'une heure pour la pause déjeuner, car elles doivent manger davantage afin de sembler en bonne santé. Celles de corpulence moyenne disposent de 30 minutes afin de maintenir leur allure, et les personnes de corpulence forte disposent de 5 minutes: le temps nécessaire pour boire une Slimfast et prendre une pilule de régime.

8.Habillement:
Vous êtes fortement convié à venir travailler avec un habillement correspondant à votre salaire. Si nous vous voyons habillé avec fantaisie, cela signifiera que vous êtes à l'aise et que vous n'avez donc pas besoin d'une augmentation de salaire.

Merci de votre loyauté envers l'entreprise

Message du Lundi matin .





Suite au fait que lundi tombe un mardi ce mercredi,

notre réunion du jeudi se tiendra vendredi ce samedi

car dimanche est un jour férié.

vendredi 25 juillet 2008

Si j'avais à créer une startup.

Je prendrai un local ailleurs que dans un quartier mal desservi par les transports en commun comme le Lac et dans un endroit moins bruyant que le centre-ville de Tunis.
J’achèterai des chaises confortables et des tables quelconques parce que jusqu’à preuve du contraire on travaille rarement assis sur une table.
J’investirai dans une machine à café solide et de très bonne qualité parceque la caféine fait tellement de bien aux neurones .
J’achèterai des écrans plats et des PC équipés de Windows XP parce que Vista est simplement déprimant.
J’installerai un bon système d’éclairage parce qu’une mauvaise lumière, ça déprime.
Je passerai les annonces de recrutement de mes futurs collègues directement dans les écoles et les fac avant qu'ils soient atteint par un autre virus que le mien.
Je pousserai chaque membre de l’équipe, à tour de rôle, une fois par semaine à faire une présentation sur la thématique qui l’intéressera parce que c’est le meilleur moyen d’avoir une équipe capable de défendre un projet devant un client.
Je créerai un wiki interne où chaque membre de l’équipe devra poster au moins une fois par semaine une contribution susceptible d’enrichir la manière de travailler.
Je pousserai les membres de l’équipe à créer leur propre blog en leur fournissant, gratuitement, un nom de domaine et un espace d’hébergement.
J’instaurerai l’utilisation de Twitter pour informer l’équipe sur les dernières news sans avoir à les contacter un par un.
Tous les emails seront sur un compte Gmail Pro parce que, contrairement aux serveurs hébergés en Tunisie, ça tombe en panne moins d’une fois par heure.
Je pousserai mes salariés à créer leur propre projet et je les financerai grâce à l’essaimage.
Le choix de la musique au bureau se fera par alternance.
J’offrirai le petit –déjeuner chaque Vendredi à toute l’équipe parce que 10 cafés et 10 croissants ça fait plaisir et ça ne coute pas grand chose.
Toutes les réunions se feront dans la cuisine. La salle de réunion sera réservée au client pour faire « sérieux ».
J’installerai une TV au bureau pour le ramadan

Ne changez pas de " VISTA !" mais changez de VISTA !

KACE Systems vient de publier les résultats d'une étude commandée il y a quelques semaines. Celle-ci a porté sur l'adoption de Windows Vista dans le domaine des TIC. Selon les chiffres publiés, 60 % des décideurs n'ont pas planifié de migration vers Vista, et 42 % songent à migrer vers un système alternatif, Mac OS X en tête.
Difficile de dire si cette étude a le mérite de confirmer le besoin qu'avait Microsoft de lancer une campagne en faveur de son dernier système d'exploitation ou si elle risque de la décrédibiliser, mais on peut en tout cas y lire que l'adoption de Windows Vista serait un " désastre " pour Microsoft. Ce ne sont pas les qualités et défauts du système qui sont ici étudiés, mais plutôt l'opinion des décisionnaires dans le domaine de l'informatique et plus précisément des TIC.
Net Application estimait en juin la part des internautes utilisateurs de Vista à seulement 16,14 % contre plus de 71 % pour XP. Cela dit, Windows XP, un an après sa sortie, n'avait été adopté que par environ 13 % des utilisateurs. Vista, avec ses 16 % et 19 mois d'existence, n'est pas non plus fui comme la peste. Certains diront que la vente liée y est pour beaucoup, ils n'auront pas complètement tort.
Des décideurs non convaincus par Vista
King Research, qui a conduit le sondage, a en fait interrogé en ligne, plusieurs milliers de personnes travaillant à des postes clés dans les TIC. Sur les 1160 qui ont répondu, 60 % disent ne pas avoir de plan pour déployer Windows Vista. C'est 7 % de plus que lors de la dernière étude, menée en novembre 2007. 92 % des interrogés disent que le SP1 n'a absolument rien changé concernant la décision d'une possible migration. 83 % avouent même être inquiets quant à la possibilité que certains de leurs logiciels requièrent Windows Vista. Diane Hagglund, qui a mené l'étude, déclare que " la bataille engagée par Microsoft pour Vista et via le SP1 n'a clairement pas d'influence sur l'avis du secteur concernant son système d'exploitation ".
Assez ennuyeux pour la firme de Redmond, il y a même 42 % des sondés qui disent considérer une migration vers un système d'exploitation alternatif, Mac OS X, et GNU/Linux en tête. 65 % des répondants ont déclaré réfléchir à la possibilité de déployer plusieurs systèmes d'exploitation en même temps, contre 49 % en novembre dernier. Selon Hagglund, le grand gagnant pourrait donc être Apple, qui est le plus souvent cité. Il faut dire que depuis Leopard, Mac OS serait utilisé par 7 à 10 % des internautes.
Une étude critiquable?
La méthodologie a été la suivante : KACE et King Research ont sélectionné des entreprises de petite, moyenne et grande taille et leur ont demandé de participer, sans contrepartie financière, à cette étude. Selon la société, le panel obtenu est représentatif des métiers à responsabilité dans l'informatique (entrepreneurs, chefs de projets...).
KACE Networks est une société américaine spécialisée dans la commercialisation de solutions pour la gestion de systèmes d'exploitation et leur sécurité. Si, bien évidemment, la firme se fend d'une petite phrase conseillant les décideurs qui souhaiteraient migrer d'utiliser ses produits, elle vend des solutions pour la famille Windows, Mac OS, GNU/Linux et même Solaris. La société affiche, sur son site, une liste de partenaires assez intéressante : si l'on y retrouve Apple, Sun et Red Hat, Microsoft y figure aussi en bonne place.
Bien évidemment, la plupart de ces études, qui ont tendance à démontrer que la solution proposée par l'entreprise qui la réalise ou la commande serait utile aux potentiels lecteurs, peuvent tout à fait être critiquées. Cependant, l'évolution des résultats, pour une méthodologie similaire, reste une donnée assez intéressante. Rappelons que nous touchons ici à un domaine particulier, celui des entreprises des TIC et qu'un bouleversement dans ce secteur ne signifierait pas un retournement au niveau mondial. Cependant, les TIC et ceux qui y travaillent forment logiquement un secteur symbolique et une modification profonde ici pourrait en entraîner d'autres.

jeudi 24 juillet 2008

Friday Aware ! : Filtrer l'information gratuite aux trois passoires de Socrate.

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute opinion de la sagesse. Quelqu'un vient un jour trouver le grand philosophe et lui dit :

"Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami?


- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des 3 passoires :
- Les 3 passoires?
Mais oui, reprit Socrate. Avant de me raconter toutes sortes de choses de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire.
C'est ce que j'appelle le test des 3 passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai?
- Non. J'en ai simplement entendu parler...
- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité.
Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
- Ah non ! Au contraire.
- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
- Non. Pas vraiment.
Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter
n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ?"

Tunisie : Entrée en vigueur des règles de Bâle II * en novembre 2008 pour une meilleure utilsation des TIC par les banques.

Mr Taoufik Baccar, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT) a annoncé, lundi 21 juillet 2008, que les banques tunisiennes commenceront à appliquer les règles de Bâle II *, au mois de novembre 2008.
Le gouverneur de la BCT qui ouvrait un séminaire sur les banques et l'impulsion de l'investissement dans les technologies de l'information et de la communication (TIC), a précisé que ces règles visent à maîtriser et à gérer au mieux les risques bancaires, et ce, à travers le respect d'un ratio de fonds propres fixé par le comité de Bâle. Un tel choix exige des banques d'utiliser les TIC pour s'approvisionner à l'extérieur et pour sous-traiter une partie de leurs activités.
Il a mis l'accent sur le rôle important des TIC dans la promotion d'une véritable industrie bancaire et a relevé que la révolution numérique a déjà permis de promouvoir de nouveaux produits financiers tels que la banque virtuelle, le e-commerce et les payements électroniques.
D'autre part il a fait remarquer que même si le secteur des technologies offre d'importantes perspectives en matière d'emploi et d'accroissement de la productivité, n'a pas bénéficié de l'intérêt requis de la part des promoteurs des projets.
Le gouverneur a noté, à ce sujet, que seuls 11% des projets dans le domaine des TIC ont bénéficié du total des financements de la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME) contre 25% prévus.
Il a souligné que ce séminaire, auquel ont participé plusieurs représentants des banques tunisiennes et promoteurs privés, constitue une précieuse opportunité pour identifier les moyens de stimuler l'investissement dans le domaine des TIC.
Il a relevé que les réformes initiées par l'Etat visent à mettre en place de nouveaux mécanismes pour financer l'investissement immatériel et créer une nouvelle génération d'entreprises innovantes et à forte composante technologique.
Il a indiqué que le système de financement en Tunisie est, aujourd'hui, en mesure d'accompagner les exigences de la nouvelle économie du savoir et de fournir aux promoteurs des financements appropriés.


* Les normes Bâle II (le Nouvel Accord de Bâle) constituent un dispositif prudentiel destiné à mieux appréhender les risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ces directives ont été préparées depuis 1988 par le Comité de Bâle, sous l'égide de la « banque centrale des banques centrales » : la Banque des Règlement Internationaux et ont abouti à la publication de la Directive CRD.
Les normes de Bâle II devraient remplacer les normes mises en place par
Bâle I en 1988 et visent notamment à la mise en place du ratio McDonough destiné à remplacer le ratio Cooke.
Suivant le même canevas, de nouvelles normes
Solvabilité II sont en cours de discussion pour les sociétés d'assurances et de réassurance.

NGN et Voix sur IP, c’est pour bientôt, dixit Hadj Gley

Tunisiait.Le Ministère des Technologies de la Communication a organisé, lundi 21 juillet 2008 au pôle technologique El Ghazela, le premier colloque régional intitulé : "La promotion de l'investissement dans les TIC et le rôle du secteur financier".
Présidé par Mr Hadj Gley, ministre des Technologies de la Communication, et Mr Taoufik BACCAR, gouverneur de la Banque centrale, le colloque s’est déroulé en présence d’un parterre riche de représentants des secteurs bancaire, financier, des technologies de l'information et de la communication (TIC) et de jeunes promoteurs de projets dans le domaine.
Lors de son allocution, Haj Glei a retracé la réalité et les perspectives de l'économie immatérielle en Tunisie, insistant sur l'importance du projet d'extension du Technopark El Gazela, et ce pour accroître le nombre des entreprises sur une superficie de 36 hectares.
Il a également révélé que le projet de déploiement d'un réseau de fibre optique couvrant 50 zones industrielles et de services pour fournir l'Internet à haut débit à environ 1400 entreprises, est en cours de réalisation.
Le Ministre a également affirmé que les technologies les plus développées seront bientôt disponibles et que les entreprises tunisiennes pourront exploiter des technologies s'inscrivant dans la nouvelle architecture des réseaux de communication, Next Generation Networking (NGN), ou la voix sur IP. Cette dernière technologie permettra aux institutions financières, bancaires et aux entreprises ayant des filiales d'exploiter ce système afin de réduire leurs coûts d’exploitation.

mercredi 23 juillet 2008

J'ai testé Facebook !

Selim Halioui:madwatch.A force de m'entendre dire qu'il était anormal, voir coupable, de ne pas disposer d'un profil sur FaceBook, j'ai fini par céder à l'air du temps et me suis inscrit il y a quelques jours sur ce réseau social en ligne devenu quasi incontournable.
Une fois inscrit, la plateforme vous offre la possibilité de personnaliser assez sommairement votre profil puis de solliciter "l'amitié" des autres inscrits au réseau. A terme, l'objectif semble être de créer des chaînes d'amitié sur le principe un rien primaire de "les amis de mes amis sont mes amis".
Ce que vous y gagnez ? Pas grand chose si ce n'est la satisfaction assez vaine de disposer d'un réseau "d'amis" plus important en quantité que vos "amis". Vous y gagnez également la possibilité un peu plus intéressante de renouer avec des connaissances perdues de vue de longue date et elles-mêmes inscrites sur le réseau (chose que vous pouvez néanmoins faire à travers de nombreux autres sites conçus à cet effet).
Au-delà, la plateforme est organisée de sorte que vous n'avez de cesse d'installer - à l'invitation de vos amis - des applications futiles pour enjoliver votre profil ou de répondre à des quiz absurdes dont vous ne pouvez connaître les résultats qu'en invitant à votre tour vos "amis" à y participer. Ce faisant, vous acceptez à chaque fois de procurer aux auteurs de ces applications vos données personnelles et fournissez à travers les quiz des éléments non négligeables sur vos goûts et votre psychologie. Une aubaine pour ceux qui cherchent à vous vendre quelque chose.
Verdict ? FaceBook, non content de n'avoir rien inventé d'un point de vue technique (à la différence de MSN en son temps ou plus récemment Skype, MySpace, Youtube et autres blockbusters de la toile) parvient à réaliser l'exploit de mobiliser votre temps dans des proportions que n'égale que sa dramatique inutilité. Il s'agit ni plus ni moins que d'un redoutable outil de recueil de données personnelles à des fins marketing que parvient difficilement à cacher son aspect vaguement ludique.
Alors, pourquoi ça marche ? Sans doute parce que la machine repose principalement sur un levier qui a fait ses preuves par ailleurs : Jouer sur l'égotisme que chacun de nous cultive de manière plus ou moins latente. Vous pouvez exhiber votre voiture de sport avec fierté, porter des vêtement "signés" ou plus simplement arborer un ersatz de réussite sociale (ou sociable) à travers FaceBook.
Je pourrais encore m'étaler sur le sujet, mais je dois vous laisser, un ami vient de m'inviter sur FaceBook à répondre à un questionnaire passionnant : "êtes vous cohérent entre ce que vous dites et ce que vous faites ?".

Qu'est ce qu'un consortium d'exportation ?

Un consortium d’exportation est l’alliance volontaire d’entreprises dont l’objectif est de promouvoir les biens et services de leurs membres à l’étranger et de faciliter l’exportation de ces produits grâce à des actions communes.
Un consortium d’exportation peut être envisagé comme une coopération stratégique formelle, à moyen ou à long terme, entre des entreprises. Il agit comme un fournisseur de services dont la spécialité est de faciliter l’accès aux marchés étrangers. La plupart des consortiums sont des entités à but non lucratif.
Les membres d’un consortium d’exportation gardent non seulement leur indépendance financière, légale et leur autonomie de gestion, mais également leur indépendance dans la commercialisation de leurs produits. Les entreprises peuvent ainsi atteindre leurs objectifs d’exportation en se regroupant au sein d’une entité légale séparée qui n’implique pas la perte de leur identité. Cela représente la différence principale entre un consortium et tous les autres types d’alliance stratégique. Grâce à la coopération au sein des consortiums d’exportation,les PME peuvent surmonter les obstacles énoncés ci-dessus et ainsi pénétrer et se développer sur un marché à un coût réduit avec un minimum de risques. En même temps, les membres peuvent augmenter leur profitabilité, réaliser avec efficacité des profits et accumuler des connaissances sur la façon d’opérer sur un marché étranger ainsi que dans des domaines qui ne sont pas liés à l’exportation tels que la mise en oeuvre de certains standards techniques, l’organisation de cours de formation et les méthodes de production.

Réduction des risques
En améliorant l’accès des entreprises à l’information sur les marchés étrangers et en se dirigeant vers une plus diversification des exportations, les consortiums d’exportation peuvent réduire de façon significative les risques liés à l’exportation et à l’exportation de nouvelles opportunités de commerce à l’étranger.
La diversification est acquise grâce à une augmentation du nombre de marchés ciblés et à travers la réduction des fluctuations saisonnières que connaît l’exportation, particulièrement lorsque les marchés sont géographiquement dispersés.


Réduction des coûts
Au sein du consortium d’exportation, les membres se partagent les coûts administratifs et de promotion, ce qui leur évite des dépenses qui auraient été liées à l’établissement de leur propre département export. L’utilisation commune des transports et d’autres équipements propres à l’exportation permet également d’économiser du temps et de réduire les coûts.


Accès à de nouveaux marchés
En se regroupant, les entreprises membres peuvent fournir un large éventail de produits et de plus grandes quantités par rapport à toute autre entreprise individuelle. Un grand choix de produits et une amélioration de la fiabilité des fournitures rendent les biens produits par le consortium bien plus attractifs pour les clients étrangers. Par conséquent, la compétitivité des produits de ses membres s’accroît.
De plus, le consortium aide ses membres à développer une véritable stratégie d’exportation dans laquelle les activités de marketing nationales peuvent s’étendre et les spécifications techniques et/ou les prix ne sont plus simplement dictés par le client. Lorsque plusieurs entreprises rassemblent leurs forces pour promouvoir leurs exportations, ils augmentent leurs pouvoirs de négociation auprès des distributeurs et des acheteurs. Dans certains cas, le consortium peut être suffisamment autonome pour développer son propre réseau de distribution. Les intermédiaires,dont les petites entreprises dépendent trop souvent, peuvent être écartés et la profitabilité des opérations d’exportation de l’entreprise en sera améliorée.


Accumulation des connaissances
Les entreprises participant à un consortium d’exportation ont généralement une expérience limitée dans le domaine de l’exportation. Elles sont aux premières étapes de l’entrée dans un marché d’exportation ou d’expansion. En participant à un consortium d’exportation, les membres peuvent améliorer leurs connaissances sur la façon d’opérer sur un marché étranger,améliorer la gestion de leurs opérations dans des domaines qui ne sont pas liés à l’exportation et participer à une alliance. Les membres peuvent aussi exploiter les différentes ressources et compétences de l’exportation au sein des entreprises membres. De plus, les membres peuvent échanger leurs connaissances dans divers domaines comme la façon de négocier avec les banques ou de mettre en oeuvre certains standards techniques. Les consortiums d’exportation diffèrent selon les services qu’ils proposent. Certains offrent des services de secrétariat élémentaire, d’assistance de traduction et/ou fournissent une étude de marché.

Il existe également des consortiums qui aident leurs membres à développer une stratégie complète d’exportation et proposent une large gamme de service y compris l’acquisition collective de matières premières, l’assistance juridique, la création d’une marque de consortium et d’autres formes de Marketing. Les deux principaux types de consortiums à distinguer sont le consortium de promotion et le consortium de ventes. Alors que le premier se réfère à une alliance créée pour explorer des marchés d’exportation spécifiques en partageant les coûts de promotion et de logistique, le second représente une entité qui canalise les exportations de ses membres.ةLes consortiums de promotion se confinent dans la promotion des produits de ses membres et les aident à accéder aux marchés étrangers. Les ventes sont réalisées directement par les entreprises associées. Les consortiums de vente, à l’inverse, réalisent les activités de promotion et organisent les ventes des produits des entreprises membres. A partir de cette classification, il est possible d’identifier plusieurs variétés de consortiums d’exportation :

• Les consortiums à secteur unique et les consortiums à secteurs multiples ;
• Les consortiums regroupant les concurrents et ceux offrant des biens et des services complémentaires ;
• Les consortiums visant une région spécifique et ceux agissant sur une échelle globale


mardi 22 juillet 2008

Murphy's LAW



NOTHING IS AS EASY AS IT LOOKS


EVERYTHING TAKES LONGER THAN YOU EXPECT


AND IF ANYTHING CAN GO WRONG


IT WILL


AT THE WORST POSSIBLE MOMENT



EN MEMOIRE DE Mr MOKHTAR LATIRI


Pôle Elgazala des Techynologies de la communication :Rôle des banques pour impulser les technologies en Tunisie.

Le rôle du secteur bancaire pour impulser l’investissement dans les technologies en Tunisie. Tel est le thème de la conférence de presse tenue lundi 21 juillet, au pôle technologique d’Al Ghazala. Les organisateurs de la conférence de presse, à savoir le ministère des Technologies de la Communication et la BCT, la Banque centrale de Tunisie, ont souligné l’importance de ces rencontres qui permettent de mieux évaluer la façon et le rythme du lancement des entreprises et de créer davantage d’opportunités d’investissements, de projets et d’emplois.Cependant, le secteur des TICs n’a pas bénéficié de la même chance et attention que les autres secteurs, a affirmé Taoufik Baccar, gouverneur de la BCT. Or, la productivité est fortement liée à l’utilisation des techniques et des technologies de la communication. La nouvelle génération d’entreprises occupe une place de choix dans les stratégies de développement qui sont basées sur l’économie du savoir. L’immense potentiel dont disposent ces entreprises favorise le développement, améliore les capacités d’emploi et constitue une sérieuse motivation pour l’enseignement supérieur à répondre efficacement aux demandes des sociétés et à leurs besoins en diplômés du Supérieur.Ces stratégies basées sur l’économie du savoir se traduisent par l’intérêt de premier plan accordé au développement de l’infrastructure des technologies de la communication et la promotion de l’enseignement et de la recherche scientifique.Les défis à relever se résument dans la hausse du Produit National Brut du secteur des TIC, à concurrence de 8% à 13.5%, réaliser une moyenne de croissance de 17.5% et créer 50 mille emplois dont 90% sont fournis par le secteur privé.Le financement des projets est primordial certes, mais l’importance et le niveau des investissements figurent parmi les objectifs à atteindre d’urgence, a expliqué El Hadj Gley, ministre des Technologies de la Communication. Les projets qui permettent de créer plus d’opportunités d’emplois se trouvent être dépendants du secteur bancaire qui est le principal acteur.Le ministre a également passé en revue les perspectives de l’assistance extérieure et des projets destinés à l’exportation dans les domaines des services et des systèmes qui connaissent actuellement une affluence soutenue de la part des investisseurs étrangers, à l’instar des Centres d’appels, à haute valeur ajoutée il est prévu de créer 170 nouveaux centres assurant 14.000 opportunités d’emplois - et des centres de supports, orientés vers les marchés intérieur et extérieur dans plusieurs spécialités qu’attirent les investisseurs étrangers, qui sont destiné aux marchés nationaux et internationaux. Ces centres donc peuvent être développés à l’avenir pour satisfaire des besoins et garantir la continuité des services de ‘"Back - Up", l’assistance technique "Help Desk" et le traitement des données le "Data Center". Le secteur bancaire est donc appelé à contribuer à la création, l’exploitation et le suivi des différentes phases de ces projets. Les secteurs public et privé sont appelés à réaliser un partenariat efficace afin de contribuer à améliorer les relations entre les différents opérateurs.On s’attend à la création officielle, dans les jours qui viennent, d’un certain nombre de projets tels que l’exploitation de la voix sur IP (Internet Protocol), ce qui permettra aux entreprises d’exploiter l’internet et le téléphone et de réduire les coûts des communications, l’extension du technopole d’El Ghazala sur 36 hectares et l’augmentation du coût et de la capacité d’accueil des entreprises.

AG de la Sotetel : L’optimisme de Montassar Ouaïli contaminera-t-il les petits porteurs ?

Nizar BAHLOUL:businessnews. L’assemblée générale de la Sotetel s’est tenue ce matin, vendredi 18 juillet 2008, à la Maison de l’Entreprise. Une AG caractérisée par un bel optimisme du management de la société pour l’année 2008, mais aussi pour la période 2009-2011. Faut-il rappeler que c’est la première AG du directeur général Hédi Frioui, mais aussi du président du conseil d’administration Montassar Ouaïli. Reste que cet optimisme ne touche pas tout le monde. Les actionnaires, les petits porteurs notamment, demeurent sceptiques. « C’est du déjà entendu, on nous répète la même chanson », commentera l’un d’eux. Les chiffres de 2007 et les promesses non tenues des années précédentes, le manque d’informations, le manque de transparence, ne rassurent pas, en effet, ces actionnaires, qui gardent cependant et malgré tout, grand espoir au vu des derniers changements opérés.L’arrivée de Ouaïli, réputé pour son grand professionnalisme, comme le fait observer l’un des actionnaires, est rassurante. Ce n’est pas tout. Il y a un autre point, fondamental, qui fait que l’optimisme pourrait être autorisé : la structure même de gouvernance. Auparavant, le président du conseil de la Sotetel était différent de celui du PDG de Tunisie Telecom, son actionnaire majoritaire. Par volonté politique, et depuis l’année dernière, le PDG de Tunisie Telecom est le même que le PCA de la Sotetel. «Une telle configuration a été réfléchie au profit de la Sotetel et des petits porteurs » fera remarquer Montassar Ouaïli. En d’autres termes, on cherche à tourner la page et à inaugurer une nouvelle ère avec cette nouvelle configuration et ces nouveaux noms à la tête de la société et son plan d’action. Faut-il convaincre.« En dépit de la baisse du chiffre d’affaires, de l’augmentation des coûts de matières premières et d’un résultat net en recul, déclare Ouaïli, la Sotetel a engagé un ensemble de mesures destinées à la mise en place d’un plan global de restructuration axé sur : un système informatisé de gestion de projets capable de mesurer les performances des départements et la rentabilité par projet ; un système de planification et de maîtrise des coûts ;une rationalisation des achats et une gestion rigoureuse des stocks ; un réseau commercial opérant avec des objectifs de performance ; et des ressources humaines gardant emprise face aux exigences des marchés et maîtrisant les nouvelles technologies.Pour ce qui est de 2008, on s’attend à une croissance de 58% du chiffre d’affaires. « On est sortis de la crise et on est dans une spirale positive », rassurera Montassar Ouaïli qui promet, dans la foulée, un avenir meilleur. Bien meilleur. Pour la période 2009-2011, le PCA pronostique une croissance à deux chiffres. Comment se permet-il cet optimisme ? Ouaïli a l’avantage d’être de deux côtés : fournisseur et client en même temps et, à ce titre, il précise que 60 à 80% du chiffre d’affaires de la Sotetel sera réalisé par Tunisie Telecom. Il parie également sur l’export (Mauritanie, Libye, etc) avec un accroissement de 50% du chiffre et un accroissement de 30% pour ce qui est des solutions d’entreprise.Autant d’éléments qui font que le management de la Sotetel se veut fort optimiste et confiant pour un avenir radieux. On ne sait pas vraiment si le scepticisme, justifié, des actionnaires a été levé ou non, mais il est bon de rappeler que l’équipe est toute nouvelle et mérite, comme les précédentes, un temps de répit et une confiance avant de la juger.

Suppression de l’autorisation pour le matériel électronique courant et mise en place d’un cadre organisationnel pour la téléphonie sur IP

Le Président Zine El Abidine Ben Ali a procédé, lundi 21 juillet, en conférant avec M. Mohamed Ghannouchi, Premier ministre, à la signature d'un décret portant simplification des procédures d'approvisionnement des entreprises en matériel et systèmes électroniques, notamment à travers la création d'un guichet unique en ce qui concerne les autorisations administratives nécessaires pour l'importation de ces équipements et la suppression de l'autorisation préalable pour le matériel et les systèmes électroniques courants. Le Chef de l'Etat a procédé, également, à la signature d'un décret relatif à la mise en place d'un cadre organisationnel et technique pour les services de téléphonie par Internet IP (Internet Protocol), de manière à ouvrir de nouvelles perspectives pour le développement et la modernisation de l'infrastructure des communications, à aider à réduire le coûts des services de communication et à impulser l'investissement dans les activités à contenu éducatif.Le Président de la République a, d'autre part, pris connaissance de l'avancement de la mise en place d'un système de messagerie électronique, en vue de mettre à la disposition des citoyens et des entreprises environ un million d'adresses électroniques sécurisées, dans le but de promouvoir les services administratifs et les transactions commerciales, à travers l'adoption des moyens numériques, en concrétisation des objectifs prévus, à ce niveau, par le programme présidentiel pour la Tunisie de demain.Le Chef de l'Etat a donné ses directives pour le suivi de la concrétisation de ces diverses mesures, de manière à consolider le climat favorable à l'investissement, notamment dans les technologies modernes, à améliorer la compétitivité des entreprises et à renforcer les attributs de l'économie du savoir.

lundi 21 juillet 2008

A qui Tunisie Telecom doit dire merci pour être devenu abjecte?!*

http://tunisclubtic.blogspot.com/2008/07/qui-tunisie-telecomtunisie-telecom-doit.html#links

Téléphonie, Tunisie chef de file dans le monde arabe et en Afrique : Il fut un temps, il y a longtemps.

Md FATEH:webmanagercenter.Il fut un temps où l’on n’entendait presque jamais de carillons dans les bus. Il fut un temps où les Tunisiens qui parlaient tout seuls étaient considérés comme «dérangés». Il fut un temps où le rendez-vous arabe méritait son nom (sic), puisqu’il était impossible d’appeler la personne que l’on devait rencontrer. C’était il y a à peine une dizaine d’années. Avant l’avènement du téléphone portable.

L’objet s’affiche et devient un symbole. Entre la midinette qui lorgne sur le dernier modèle rose incrusté de brillant. Le chef d’entreprise qui affiche son statut en pianotant sur une espèce de mini-ordinateur qui sert aussi, paraît-il, de téléphone. D’autres exhibent un portable à deux balles. Ultime extravagance chic et choc, pour paraître décalé. Toujours est-il que l’appareil est désormais au centre de nos vies. Les sonneries carillonnent à tout va, marquant notre quotidien. Du plombier à l’avocat, du chômeur à l’étudiant, à chacun son portable.

Les férus de high-tech qui piaffent d’impatience pour pouvoir utiliser toutes ces nouvelles fonctionnalités disponibles chez les voisins… Et encore «brinquebalantes» chez nous. Ce n’est pas grave. On fera semblant en attendant. Pour se familiariser avec ces nouveaux appareils. Histoire d’être prêts quand la technologie suivra. Ridicule ? Non. Réel. C’est même ce qu’a déclaré un responsable marketing d’une marque internationale de téléphone portable, lors d’une mémorable conférence de presse, à Tunis. Si les derniers modèles bourrés de technologie sont copieusement commentés dans notre presse nationale, sur nos portails web, la plupart de leurs fonctions ne sont utilisables que «sous certaines conditions». Qu’importe. Les Tunisiens auront une revue dédiée au portable. Un portail web exclusivement consacré à la question. Le téléphone portable envahit le paysage médiatique. Même la presse nationale prend des pincettes pour en parler. Une affaire de publicité, l’image de marque ayant aussi son prix…

Entre-temps, l’utilisation du portable est devenue quasiment gratuite, depuis qu’il est connecté à Internet. L’économie de la téléphonie a changé de paradigme. On ne facture (presque) plus les communications. La pub qui fleurit sur les portails d’infos sur les petits écrans s’impose peu à peu. Le iPhone2 débarque en France. Les Algériens parlent de rendre les appels locaux et internet gratuits. Les Libyens ont dépassé les 100% en termes de pénétration de la téléphonie mobile. Et de préference inutile d'aborder le sujet de la téléphonie sans fil de 3eme génération !. Quant à nous, «nous avançons à pas sûrs et surtout mesurés dans la voie (semée d’embûches) de la communication». Rien ne vaut de se hâter, il faut partir à point. Que vaut le progrès technologique s’il n’est pas sécurisé. C’est qu’il faut se prémunir des pirates (en tout genre) pour éviter les utilisations déviantes. Quitte à avancer lentement. L’important étant de garder le bon cap. Il fut un temps où notre pays était le chef de file du progrès technologique dans le monde arabe et en Afrique. Il fut un temps, il y a longtemps.


Création de l'Agence Nationale pour la promotion de la recherche et l'innovation

L'Agence nationale pour la promotion de la recherche et de l'innovation est créée. Le projet de loi portant sa création a été adopté samedi dernier.L'objectif de cette agence consiste à encadrer les entreprises et identifier leurs besoins à travers la création de réseaux de partenariats en matière d'innovation technologique pour dynamiser leurs composantes. Cette structure constitue un trait d'union entre le secteur de la recherche et celui de la production en valorisant les résultats des recherches, en aidant les entreprises à identifier leurs besoins en vue d'exploiter au mieux les ressources technologiques existantes notamment au sein des technopoles et des universités.Les agents travaillant dans cette agence seront soumis au régime général des agents de l'Etat et des collectivités locales et des collectivités publiques a caractère administratif.

Message du Lundi matin : Valeur absolue

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 100 dollars .

Il demande aux gens : "Qui aimerait avoir ce billet ?

" Les mains commencent à se lever, alors il dit :

"Je vais donner ce billet de 100 dollars à l'un d'entre vous mais
avant laissez-moi faire quelque chose avec."

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :

"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"

Les mains continuent à se lever.

"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."

Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus,
l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du
plancher.

Ensuite il demande :

"Qui veut encore avoir ce billet ?"

Évidemment, les mains continuent de se lever !

"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce
que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa
valeur n'a pas changé, il vaut toujours 100 dollars ."

"Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie
vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les
événements.

Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien mais en
réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui
vous aiment !

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou
pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs
car votre valeur intrinsèque est toujours intacte."
Bon début de semaine !
TCT

vendredi 18 juillet 2008

Friday aware! Have a nice Friday .



La seule personne qui ait réussi à tout faire pour Vendredi c'est Robinson Crusoë.

[Marie-Lyse Aston]

A qui Tunisie Telecom doit dire merci pour être devenu abjecte?!*

* Titre origilnale de l'article:Tunisie Telecom pourra dire merci à Karoui&Karoui pour être devenu abjecte


Tunisiefun :Les campagnes marketing de Tunisie Telecom sont assurées par l’ex agence de com’ de Tunisiana : Karoui&Karoui. Depuis que ce nouveau mariage a eu lieu, K&K a oublié de s’acheter une nouvelle garde robe pour la nouvelle maison de l’opérateur historique. Il était clair pour tout le monde que cette agence n’a fait que recopier ses premières campagnes faites avec Tunisiana sur celles de Tunisie Telecom.
On sentait la touche Tunisiana dans les publicités de TT ! Normal me diriez-vous puisque le point commun à ces deux opérateurs est l’agence Karoui&Karoui !
Après ce « douloureux » divorce, Tunisiana s’est ralliée à JWT ce qui a donné un nouveau souffle aux campagnes marketing du premier opérateur privé en Tunisie. Mais au stade où Tunisiana cherchait à s’innover, Tunisie Telecom rétorquait par des publicités parfois très agressives envers Tunisiana. Le summum de ce combat de coq s’est passé en novembre 2007. Rappelez-vous !

Depuis le début de l’année 2008, la qualité des campagnes publicitaires de l’opérateur historique se dégringolent à vue d’œil. On peut vous citer l’exemple de corporate intense et les exemples de Achiri et de la promotion haut débit. Mais les saltimbanques qui s’occupent de la communication de Tunisie Telecom ont fait un chef d’œuvre inoubliable avec le lancement du 2 Mega. et l'histoire des Méga Octets !












Récemment, Tunisiana a dévoilé son habituelle campagne de bonus d’été qui peut arriver jusqu’à 1 000 DT à partir d’une recharge de 5 DT et qui est valable jusqu’au 31 Aout. Sans grande surprise, Tunisie Telecom a «encore rétorqué», mais cette fois ci, avec une campagne de publicité… sanguinaire !

Sanguinaire, certes, mais d’un niveau incroyablement bas !

Depuis cette semaine on voyait sur les journaux cette affiche :

Maintenant, commençons l’analyse (analyse faite par l’auteur de Blog2com qui a accepté de suspendre ses vacances pour 5 minutes rien que pour nous) :

- On note une nouvelle charte graphique sur tous les prints de la dernière campagne de TT : c’est un changement voire une rupture injustifiée. En effet le consommateur est perplexe car il ne reconnait plus la marque à cause de toutes ces modifications.

- Tunisie Telecom a repris son ancien logo, c'est-à-dire un logo aplati en 2D. Le logo qui était utilisé jusqu’à peu sur leurs prints avait un reflet 3D.

- On note le retour à un vieux concept : celui d’associer une figure à une marque (image d’une personne sur un fond simple). C'est vieux, c'est moche et inutile sauf dans le cas où on joue à la provocation par cette association. Exemple les campagnes d'anorexies (une femme anorexique photographiée nue) ou bien les campagnes Benetton (la controverse de la femme battue).

- Une ressemblance avec les prints de Tunisiana (La Recharge Bel Wafi et les SMS Bel Bala) c'est-à-dire, un fond et une figure. Or cela n'a pas de sens, car le consommateur ne se reconnaitra pas dans ces figures (une erreur qu’a faite Tunisiana et que Tunisie Telecom suit !)

- Le tampon "une première en TUNISIE" n’est pas digne d'un print d'un opérateur téléphonique historique d’un grand prestige comme TT. Ce genre de tampon serait mieux adapté à un produit ménager plutôt qu’à une promotion de téléphonie mobile.

- Et pour finir… une provocation délibérée et gratuite envers son concurrent Tunisiana :

"Chez TUNISIE TELECOM, votre consommation ne doit pas atteindre 25 Dinars par mois pour bénéficier d’un bonus !" (merci à S.H pour sa participation et à son œil critique)

Pourquoi cette phrase devrait choquer ? Petite analyse rapide des offres mobiles prépayées de Tunisie Telecom ! L’opérateur historique commercialise trois offres : Lol Temp, Lol Messenger et enfin Ola Bonus. Ola bonus se base sur le système de bonus échelonnés à partir d’un seuil minime de consommation, qui est en l’occurrence de 20 DT. Or, dans la publicité on lit bien «Chez TUNISIE TELECOM, votre consommation ne doit pas atteindre 25 Dinars par mois pour bénéficier d’un bonus ! ». Erreur de frappe comme le 2Mo ? NON !

Pour savoir pourquoi Tunisie Telecom a mentionné 25 DT au lieu de 20 DT, il faudra jeter un œil chez le concurrent : « Awal Prépayé est une offre de Tunisiana où la consommation est récompensée chaque mois avec bonus au-delà de 25 DT de consommation. »

Je pense que c’est sans commentaire.

Parlons maintenant de cette promotion puisque très peu d’informations sont délivrées dans l’affiche.
Le principe est le suivant : si vous consommez 5 DT, Tunisie Telecom vous remercie en vous offrant 900 millimes de bonus. Si vous consommez 5 DT de plus, un deuxième bonus de 900 millimes sera mis sur votre compte. En résumé, pour chaque 5 DT consommé TT vous offre un bonus de 900 millimes utilisable uniquement vers les numéros TT mobiles.

Attention, cette promotion, qui est valable jusqu’au 31 aout (tiens ! même date d’échéance que Tunisiana ! quelle coïncidence !), n’est pas compatible avec Lol Tempo, Lol Messanger et Ola Bonus. Pour pouvoir en bénéficier, il faut se désinscrire en tapant *129*1# et puis valider. Ce code va vous désinscrire et vous faire activer la promotion sur votre ligne.

Après le 31 Aout, le client TT mobile prépayé pourra reprendre (s’il le souhaite) son ancienne offre en se réinscrivant contre 1 DT déductible de son solde.