samedi 31 mai 2008

1er anniversaire du Microsoft Innovation Center : bilan positif !

Insaf AYAED : Businessnews Voilà déjà un an que le Microsoft Innovation Center (MIC) a été fondé. Un an pendant lequel les responsables du centre ont fait de leur mieux afin d’atteindre leurs objectifs et jouer le rôle d’une « adresse d’excellence où les rêves deviennent réalité, les idées se transforment en un projet et où les petits projets grandissent. » Le centre a donc tenu à fêter ce premier anniversaire, un anniversaire qui célèbre une année fructueuse pendant laquelle le
centre à travaillé à développer les compétences humaines, renforcer l’emploi, stimuler l’innovation et améliorer la compétitivité des entreprises nationales. Cette célébration s’est déroulée vendredi 30 mai, au centre implanté au Pôle El Ghazala des Technologies de la Communication, en présence notamment des membres du centre, de Lamia Chafaï Sghair, secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Technologies et des Communications, chargée de l’informatique, de l’Internet et des Logiciels Libres et de Ali Faramaoui, Vice-président Microsoft International et Vice-président Microsoft Moyen Orient et Afrique.Au cours de cette célébration, les représentants du centre ont tenu encore une fois à exprimer clairement leur satisfaction des résultats obtenus jusque là, et ce à travers quelques statistiques enregistrées lors de cette année (une capacité à créer plus de 100 emplois, 10 projets sélectionnés sur 25 proposés, l’accomplissement de 85% du travail, 3 millions de dinars en Chiffre d’Affaires prévisionnel..).« C’est une joie pour nous de voir ce que ce centre a accompli, à ce jour », affirme Mme. Chafaï Sghair. Une joie partagée par M. Faramaoui, qui déclare que les résultats de la première année du MIC ont été plus qu’encourageants. En effet, il assure qu’il est heureux que le centre existe car grâce à lui, une aide a été fournie aux étudiants, aux enseignants et aux sociétés informatiques afin de leur faciliter l’usage de la technologie et des logiciels.A la question « y a-t-il un projet d’ouverture d’un autre centre dans un autre pays de l’Afrique du Nord », le Vice-président Microsoft répond que Microsoft songe à en ouvrir un au Maroc, mais que ce centre serait plutôt un centre d’expertise et de technologie spécifique.Enfin, M. Faramaoui assure que ce centre a été bénéfique aux entreprises ayant suivi ce programme, aussi bien sur le plan national qu’international. Selon lui, 8 des 10 entreprises assistées par le centre travaillent déjà sur le plan international. Il assure que ce centre continuera donc à travailler dans le même sens, à suivre les mêmes objectifs et à travailler essentiellement avec le gouvernement, le secteur éducatif et les entreprises de technologies de l’information.Quant à Salwa Smaoui, directrice de Microsoft Tunisie, elle affirme que le MIC, conçu dans le cadre de la convention stratégique de Microsoft avec la Tunisie, représente un pilier dans ce partenariat. Et dans ce sens, le travail du centre devra se baser principalement sur l’innovation et l’audace, afin de continuer à assurer l’accompagnement des entreprises et cela avec efficacité.

"La fin des journaux classiques dans les 5 à 10 prochaines années"

Par Oualid CHINE : Webmanager
Le paysage médiatique tunisien se numérise. Notre presse, particulièrement celle dédiée à l’économie, a basculé peu à peu sur le Net, c’est un fait. Même si les divers acteurs du secteur n’ont pas encore tout à fait accepté la nouvelle donne. Les journalistes tunisiens du web n’ont toujours pas de carte de presse, par exemple. Même si nos hommes d’affaires, et autres cadres de l’économie tunisienne sont désormais accros à notre presse en ligne. Les statistiques de fréquentation de nos portails le prouvent. Et quand elles sont certifiées par un organisme indépendant, elles sont difficilement contestables. Et quand on connaît les enjeux publicitaires sous-jacents… Autant de facteurs qui ont certainement contribué à l’émergence d’une presse tunisienne sur le web. Le paysage médiatique est du reste en plein chambardement. Tant sur le plan strictement tunisien, qu’au niveau international.

Un magnat de la presse traditionnelle prédit la fin des journaux classiques dans les 5 à 10 prochaines années. Puisque selon Rupert Murdoch, «cela ne sera plus économiquement viable de les imprimer». C’est en tout cas ce qu’il a déclaré au cours d’une conférence dédiée au tout numérique, organisée par le prestigieux «Wall Street Journal». La référence absolue en matière de quotidien économique. Qui appartient aussi à Murdoch, tout comme plus de 170 autres titres de journaux à travers la planète. La déclaration de Murdoch, vu l’importance du personnage, n’est donc pas passée inaperçue. Les agences de presse l’ont reprise, les portails du net l’ont diffusée, et la voici faisant le tour du monde, comme une sombre prophétie pour l’information imprimée, mais la promesse d’un avenir encore plus brillant pour le web.

Les déclarations fracassantes sur ce même sujet se sont multipliées ces derniers jours. Sarkozy s’interrogeait ainsi sur les ondes de RTL : «Comment voulez-vous que les gens achètent leurs journaux en kiosque s'il est gratuit sur Internet». Et puisque la qualité première du web est «l’instantanéité» de l’information, pour la contrecarrer, Sarkozy veut résoudre les problèmes de distribution. La méthode ? «Il faut aider la presse écrite à faire du portage à domicile, ce qui créera des emplois et qui permettra d'avoir son journal tôt le matin». Un peu rudimentaire, non ? Rappelons que le président français est un proche de Bolloré, le patron de groupe de presse…

Les difficultés des uns faisant le bonheur des autres, les agences de presse, elles, sont gagnantes. Car quand les journaux réduisent leurs dépenses en correspondants, et en… journalistes, ils ont plus souvent recours aux dépêches d’agences. Le web, lui, est en pleine expansion. Des «stars» de la presse écrite française comme Edwy Plenel ont rejoint le World Wide Web. Le blog d’Alain Gresh suscite des vocations. Et si nos blogueurs tunisiens ne sont pas toujours reconnus à leur juste valeur, quelques organismes étrangers se penchent sur leur cas, leur prodiguant conseils et soutien… Des journalistes tunisiens confirmés, comme Soufiane Ben Farhat, mettent en ligne leurs papiers sur le Net. Un faisceau d’indices, donc, qui prouve, si besoin est, que l’avenir est sur le Net.

La Tunisie participe aux assises du numérique, à Paris

Mme Lamia Chaffai, secrétaire d'Etat auprès du ministre des technologies de la communication, chargée de l'informatique, de l'Internet et des logiciels libres a participé aux assises du numérique, tenu à Paris le 29 mai 2008, à l'initiative du gouvernement français.
Les assises du numérique regroupent l'ensemble des acteurs de l'économie numérique en France, des opérateurs de réseaux, des équipementiers, des entreprises du logiciel et des services, des producteurs de contenus, des créateurs, des associations, et des utilisateurs.
Au cours d'un atelier consacré à la question des ''TIC, facteur d'ouverture de la méditerranée sur l'international'', Mme Chaffai a souligné l'importance de l'édification de la société de l'information et la garantie d'un accès équitable aux TIC pour tous dans les deux rives de la méditerranée en vue de combler le fossé numérique et d'atteindre les objectifs du SMSI.
Evoquant les efforts déployés par la Tunisie pour diffuser la culture numérique, la secrétaire d'Etat a relevé que notre pays, sous la conduite du Président Zine El Abidine Ben Ali, a engagé depuis plus d'une décennie une stratégie pour tirer profit des perspectives qu'offrent les TIC pour le développement humain et économique du pays, dans une vision globale d'ouverture sur le pourtour méditerranéen, espace historique et civilisationnel de la Tunisie.
Mme Chaffai a indiqué que la promotion des activités numériques nécessite le developpement du partenariat et de l'investissement Nord-Sud, de manière à renforcer l'exportation de l'intelligence et la coopération dans l'espace méditerranéen.
Elle a mis l'accent sur les potentialités des TIC en Tunisie, l'expertise et le professionnalisme des entreprises tunisiennes actives dans le domaine du développement des logiciels et des solutions informatiques ainsi que les activités off-shore telles que les centres d'appels et d'assistances à distance.
Parlant de la complémentarité entre les partenaires des deux rives de la méditerranée, la secrétaire d'Etat a appelé à intégrer la composante TIC, moteur de développement, de solidarité et de partage des connaissances au sein du projet de l'Union de la méditerranée.
Elle a plaidé pour le renforcement de l'infrastructure et des liaisons télécoms entre les deux rives de la méditerranée, de manière à assurer une connectivité stable et durable ainsi que l'harmonisation du cadre réglementaire en matière de commerce électronique et des services à distance, outre la formation des ressources humaines qualifiées.
En marge des travaux des assises numériques, la secrétaire d'Etat a eu un entretien avec M.Eric Besson, secrétaire d'Etat français chargé de la prospective, de l'évaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, au sujet du renforcement de la coopération tuniso-française dans le domaine des TIC conformément à la volonté politique des deux pays.
Mme Chaffai a, par ailleurs, rencontré un certain nombre de Chefs d'entreprises françaises et étrangères.

Ouverture du 1er forum des enseignants innovants tunisiens

Le ministère de l'Education et de la formation a organisé avec le concours du groupe Microsoft, jeudi, à Tunis, le premier forum des enseignants innovants tunisiens.
Cette manifestation a pour objectif de sensibiliser les enseignants aux enjeux d'évoluer au diapason du monde et de maîtriser, à cet effet, les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC).
Le ministre a indiqué, à ce sujet, que le protocole d'accord de partenariat entre le ministère de l'éducation et de la formation et Microsoft Tunisie vient à point nommé. "Son objectif principal, a-t-il dit, est de contribuer à développer et à optimiser l'usage des TIC dans le secteur éducatif, et essentiellement dans le processus d'enseignement et d'apprentissage".
Evoquant les efforts déployés en matière de maîtrise des NTIC, Il a rappelé que les contours de l'école de la société de l'information à laquelle la Tunisie aspire se précisent chaque jour davantage, relevant que ces contours sont perceptibles à travers l'aspect équipement, tous les établissement scolaires sont aujourd'hui équipés avec un taux de couverture de 100% aux collèges et lycées et 70% aux écoles primaires.
L'objectif national est d'atteindre le ratio d'un ordinateur par classe dans tous les cycles avant 2009.
Autres indicateurs de la société d'information: le raccordement de tous les établissements au réseau Internet et la disponibilité d'un parc de minibus équipés d'ordinateurs et reliés à l'internent par satellites. Ces minibus sillonnent aujourd'hui les régions difficiles d'accès afin que leurs enfants se familiarisent avec les technologies nouvelles.
Au niveau de l'enseignement, M. Sadok Korbi, ministre de l'Education et de la formation a évoqué la mise en place, ces dernières années, d'une nouvelle filière, celle des sciences informatiques, qui mène au baccalauréat tandis qu'une nouvelle mesure est en train de se mettre en place, celle qui consiste à doter chaque élève d'un brevet, en informatique et Internet, vrai passeport pour la société de l'information.
Au niveau du ministère de l'éducation et de la formation, l'accent est mis sur deux volets. Le premier consiste à exploiter les nouvelles technologies dans l'apprentissage des
différentes disciplines scolaires, et notamment, les matières technologiques et scientifiques. Le second consiste en la numérisation des contenus des programmes et des manuels.

vendredi 30 mai 2008

Friday aware : Pensez y deux fois !

Une vielle légende indienne raconte qu'un brave trouva un jour un oeuf d'aigle et le déposa dans le nid d'une « poule de prairie ». L'aiglon vit le jour au milieu d'une portée de poussins de prairie et grandit avec eux. Toute sa vie l'aigle fit ce qu'une poule de prairie fait normalement. Il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture. Il caqueta de la même façon qu'une poule de prairie. Et lorsqu'il volait, c'était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine.

Après tout, c'est ainsi que les poules de prairie sont censées voler.

Les années passèrent. Et l'aigle devint très vieux. Un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage. S'élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants, faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées.

"Quel oiseau splendide !" dit notre aigle à ses voisins.
"Qu'est-ce que c'est ?"
"C'est un Aigle, le roi des oiseaux," cacqueta sa voisine.
"Mais il ne sert à rien d'y penser à deux fois. Tu ne sera jamais un aigle."

Ainsi l'aigle n'y pensa jamais à deux fois.
Il mourut en pensant qu'il était une poule de prairie.

Vous est-il arrivé de penser, que vous étiez une poule de prairie ?

Pensez-y à deux fois...
Avec mes sentiments amicaux,


Tunis Club des TIC

Sami Ayoub, nouveau DGA de Tunisie Telecom

Source : Communiqué TT
Tunisie Telecom annonce ce jeudi 29 mai 2008 la nomination de Sami Ayoub au poste de directeur général adjoint de Tunisie Telecom, en remplacement de François Lucas.
Sami Ayoub, un Belge d'origine libanaise, a été recruté par le partenaire stratégique de Tunisie Telecom, en l’occurrence l’Emirates International Télécommunications (EIT).
Avant de rejoindre Tunisie Télécom, M. Ayoub était le Chief Operating Officer de l’opérateur de téléphonie mobile belge « BASE ». Economiste de formation, son expérience entrepreneuriale a été démontrée par le passé à travers la création de deux entreprises dont notamment EXELL, un distributeur de produits IT de référence. Cette entreprise a été élue à deux reprises « Entreprise de l’année » par Ernst and Young. M. Ayoub est apparu à deux reprises dans le classement des « 500 entrepreneurs européens".M. Ahmed Mahjoub, PDG de Tunisie Telecom, a déclaré : « L’expérience que M. Ayoub a acquise dans le secteur des télécoms et dans d’autres domaines d’activité lui permettra d’accroître davantage la compétitivité de l’entreprise. Son talent et son dynamisme seront en outre des atouts considérables susceptibles d’améliorer la qualité des produits et des services de Tunisie Telecom et de consolider sa place de leader sur le marché des télécoms en Tunisie".De son côté, M. Deepak Padmanabhan, président directeur général de EIT a souligné : « Nous sommes certains que M. Ayoub constitue, de par son caractère dynamique et son expérience diversifiée, un acquis majeur pour Tunisie Télécom." Et d'ajouter : "M. Ayoub contribuera certainement à l’amélioration des services, au développement des opérations commerciales et à la consolidation des méthodes managériales entreprises dans le cadre du programme de transformation".

Pour sa part, M. Ayoub a indiqué : «J’ai l’intime conviction que je contribuerai, en étroite collaboration avec M. Ahmed Mahjoub et de tous les cadres et employés de l’entreprise, à la croissance de Tunisie Telecom et à l’amélioration constante de la qualité de ses services».

jeudi 29 mai 2008

Pour une meilleure accessibilité des handicapés aux TIC

Les dernières innovations en matière de supports électroniques et outils informatiques destinés à faciliter l'accessibilité des personnes handicapées aux nouvelles technologies de communications (TIC) ont fait l'objet d'un séminaire ayant pour thème "l'innovation et l'accessibilité pour les personnes handicapés dans le domaine des TIC", organisé, mercredi, à Tunis, par l'Association "Basma" pour la promotion de l'emploi des handicapés en collaboration avec la société Microsoft.

Au programme de cette manifestation, qui se tient sous le haut patronage de Mme Leila Ben Ali, épouse du chef de l'Etat et présidente de l'association ''Basma'', à l'occasion de la célébration, le 29 mai 2008, de la journée nationale des personnes handicapés, des ateliers portant sur "les différentes formes d'accessibilité des handicapés au TIC" et "les solutions hardware et software" créées pour permettre à cette catégorie de communiquer avec le monde extérieur.

Une visioconférence avec des spécialistes français en TIC, une exposition des actions menées par des associations et instituts chargés de la promotion des handicapés ainsi que des démonstrations pratiques d'utilisation de logiciels, programmes et systèmes d'exploitation développés au profit des personnes handicapés, ont été également organisés en marge des travaux de cette rencontre.

D'éminents experts de l'Institut français de télécommunications (INT) et de l'Association BrailleNet ont salué les efforts déployés par la Tunisie pour promouvoir l'autonomie des handicapés, leur intégration sociale et leur insertion dans le marché de l'emploi.

Ils ont rappelé que la Tunisie est l'un des premiers pays à avoir ratifié, en 2006, la convention des Nations-Unies pour les droits des personnes handicapés, se félicitant de la loi d'orientation pour la promotion et la protection des handicapés, promulguée en août 2005, et la décision présidentielle du 24 février 2007 relative à la mise à niveau des sites WEB de l'administration et des institutions publiques, de manière à faciliter, à toutes les catégories et notamment aux handicapés, l'accès aux services à distance.

Parmi les nouvelles technologies présentées au cours de ce séminaire par des entreprises françaises et tunisiennes spécialisées dans le domaine des TIC, figurent des logiciels de conversion des textes en fichiers audio et en livres numériques facilitant la lecture des ouvrages par les handicapés.

Il s'agit, également, de plate-formes d'enseignement de la langue des signes et de traduction des textes en arabe, des supports de médiation visuelle et gestuelle pour les sourds et déficients auditifs (SDA) ainsi que des logiciels de conversation vocale pour la réception des appels et messages téléphoniques sur GSM. Les participants ont pris connaissance du nouveau système d'exploitation crée par Microsoft devant permettre d'agrandir les caractères sur écran d'ordinateur pour les malvoyants, la lecture à voix haute pour les personnes qui souffrent de troubles auditifs et la mise au point d'un clavier virtuel pour les handicapés à mobilité réduite.
Ils ont souligné l'importance qu'il y a à généraliser ces innovations au niveau des écoles, lycées, universités et associations de promotion des handicapés en vue d'assurer une vie digne, une autonomie et une intégration effective de cette catégorie dans tous les domaines.

Présidant l'ouverture des travaux du séminaire, M.Lazhar Bououni, ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la technologie, a indiqué que la politique tunisienne du développement vise à conforter le principe de l'égalité des chances entre toutes les catégories sociales et les régions pour l'accès aux réseaux, systèmes et aux services de la communication numérique.

Le ministre a mis l'accent sur l'intérêt particulier accordé aux personnes aux besoins spécifiques en Tunisie de la part du chef de l'Etat, intérêt illustré par la promulgation d'une législation avant-gardiste dont notamment la loi d'orientation sur la promotion et la protection des personnes handicapées, le but étant de garantir le droit de la personne handicapée à la santé, à l'enseignement, à la formation, à l'emploi et au divertissement ainsi que son droit à profiter des avantages des nouvelles technologies et de l'accès aux réseaux numériques de communication.
Il s'est félicité des activités organisées par l'association "Basma", saluant la participation de cette association au Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI) en 2005 et les rencontres organisées avec le concours d'organismes internationaux dont le premier colloque international sur les technologies de l'information et de la communication et l'accès à l'information en 2007.
Il a mis l'accent sur l'importance de l'interaction entre Microsoft et le tissu associatif tunisien au service du progrès social et de la prospérité économique et culturelle des peuples et des nations dans le cadre d'une approche équilibrée intégrant les d'handicapés.

Emploi : Avons-nous une stratégie Web ?

Maryam OMAR:Webmanagercenter
Vous est-il jamais venu à l’esprit que les compétences que nous avons encore en surnombre (donc sans emploi) en Tunisie pourraient trouver des débouchés dans d’autres pays où ces mêmes compétences sont plus ou moins rares ?

C’est l’un de nos lecteurs qui vient de nous inspirer cette interrogation en nous confiant qu’il avait dernièrement remarqué que des entreprises non basées en Tunisie cherchent à recruter via le Web. ‘’alarabia.com’’, par exemple, est une entreprise de recrutement basée à Dubaï qui recrute des Tunisiens pour les pays arabes, particulièrement dans le Golfe.

De quoi nous faire prendre fortement conscience, si besoin en est, que le marché de l’emploi est devenu plus international que jamais. Vraiment. Les demandes faites en Tunisie deviennent automatiquement internationales car tout le monde est branché, écoute, est attentif à ce qui se passe… Mais il faut atteindre ces oreilles tendues.

C’est comme si vous aviez un blog ou un site Web. Il aura beau répondre à l’attente de millions de personnes, personne n’en entendra pratiquement parler s’il n’est pas indexé comme il le faut ; c’est-à-dire listé dans les moteurs de recherches.

Nous pourrions donc avoir un nombre impressionnant de jeunes diplômes en surnombre dont les spécialités sont en forte demande hors de nos frontières, nous ne pourrons jamais leur trouver des débouchés si nous n’avons pas une vraie stratégie Web dans ce sens très précis avec tous les outils qu’il faut pour attirer le regard.

Classement banque mondiale : Environnement des affaires, La Tunisie 88éme


En matière d’environnement des affaires, la Banque mondiale a classé la Tunisie à la 88ème place (contre 80ème en 2007) dans son rapport «Doing Business 2008». Le rapport relève des avancées significatives (facilitation des échanges et de l’accès au crédit) mais aussi des insuffisances (rigidité du code du travail, lenteur administrative et lourdeur de la fiscalité). Doing Business de la Banque mondiale repose sur des enquêtes et questionnaires réalisés auprès d’avocats, juristes, fiscalistes, consultants et hommes d’affaires.

Siege de la banque mondiale

En matière de perception de la corruption : Pour la seconde année consécutive, l’agence Transparency International, a diminué la note de la Tunisie qui est passée de 4,6 à 4,2. Ainsi, la Tunisie passe de la 51ème à la 61ème place tout en restant mieux classée que le Maroc (72ème) et l’Algérie (99ème).

Transparency International calcule l'Indice de Perception de la Corruption (IPC) et note les pays de 0 à 10 en fonction du degré de corruption perçue dans les administrations et la classe politique.

En dépit de ces moins bons scores dus en grande partie à l’accroissement du nombre des pays notés, la Tunisie se maintient dans la moyenne haute des pays émergents, et se situe en règle générale en première position dans son environnement régional immédiat (Maghreb, Moyen Orient, Afrique).

mercredi 28 mai 2008

France : Le '.fr' serait-il boudé par le grand public ?


Ariane Beky:Le journal du net
Près de deux ans après l'ouverture du '.fr' aux particuliers, l'Association française pour le nommage internet en coopération (Afnic) publie une nouvelle étude sur la perception du nom de domaine français par le grand public.Sans surprise, 62% des 1.265 internautes qui ont participé à l'enquête en ligne menée par MetroPanel du 7 au 14 mars 2008, estiment que les noms de domaine sont un moyen « d'affirmer une identité ou une personnalité sur internet ». Quant au '.fr', il est toujours associé à la francophonie pour une majorité d'internautes. Lorsqu'il est question d'acheter un suffixe, 61% des acquéreurs privilégient les 'packs' (par exemple, l'acquisition d'un nom de domaine et l'hébergement d'un blog sur un an, le tout pour un tarif forfaitaire). Le '.fr' est associé, le plus souvent, à des contenus personnels et/ou comme support d'une adresse électronique.Enfin, parmi les internautes interrogés qui n'ont jamais déposé de nom de domaine, 59% ne voient pas l'utilité d'une telle démarche. Globalement, les sociétés d'enregistrement de noms de domaine sont encore mal identifiées. Seuls 28% des internautes interrogés ont été en mesure de citer le nom d'un prestataire spécialisé.Le succès du '.fr' est très relatif. L'Afnic a-t-elle sa part de responsabilité ? Aujourd'hui, avec 1,14 million de noms de domaine enregistrés, le '.fr' ne fait pas partie du top 10 mondial, contrairement au '.de' allemand (12 millions), second suffixe internet derrière le nom de domaine générique '.com' (72 millions), et au '.uk' britannique (7 millions).

L’ISIM Gabès ira à Paris pour la finale de l'Imagine Cup de Microsoft

Photo:Businessnews
Communiqué
La compétition âprement livrée par des centaines de jeunes tunisiens dans le cadre des qualifications à l’Imagine Cup vient de livrer son verdict. C’est l’Institut Supérieur d’Informatique et de Multimédia de Gabès (ISIM) qui représentera la Tunisie au Championnat du Monde du Numérique (Imagine Cup) qui se tiendra du 3 au 8 juillet prochain à Paris. Organisée par Microsoft pour promouvoir les jeunes talents, ce concours a réuni cette année en finale de qualification tunisienne 8 équipes dont trois de
l’INSAT (Institut national des sciences appliquées et des technologies), deux de l’EPT (Ecole Polytechnique de Tunisie), deux de l’ISI (Institut National d’Informatique) et une de l’ISIM (Institut Supérieur de l’Informatique et du Multimédia) de Gabès. Tout au long du samedi 24 mai, et dans une ambiance des plus enthousiastes, les concurrents réunis à l’EPT La Marsa, ont soutenu leurs projets devant un jury composé d’universitaires, d’industriels, et de représentant du monde associatif et de la presse. Avant de suivre les présentations des projets de cette année, les étudiants ont suivi avec beaucoup d’intérêt les allocutions de Messieurs Habib Maâgli, Directeur de l’EPT, et Raouf Laroussi, Représentant du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche Scientifique et de la Technologie ainsi que Madame Salwa Smaoui, Directrice Générale de Microsoft TunisieFace à la qualité des projets, le jury n’a pas eu la tâche facile pour départager les 8 équipes. La première place est finalement revenue au site web interactif « Monde Parfait » conçu par les étudiants Ahmed Triki, Marwa Nasfi, Mhamed Héni Najjar et Wadiî Jadwi de l’ISIM de Gabès. . La deuxième place a été advenue à une équipe de l’EPT avec le projet « Green Belt », un système de simulation de l’impact de la pollution industrielle sur une région donnée. Quant à la troisième place, elle est revenue à l’équipe de l’ISI pour un site communautaire nommé « Ecologate ».L’équipe de Gabès ira alors défendre les couleurs de la Tunisie face à des compétiteurs venant des 5 continents, dans la plus grande manifestation du genre pour étudiants mettant en valeur la créativité et l'excellence dans le domaine du développement des applications logicielles avec la technologie Microsoft. Bonne Chance, la Tunisie !Dédié aux étudiants des 5 continents, « Imagine Cup » est un concours technologique, qui met en valeur et récompense la créativité et l'excellence dans le domaine du développement et de la conception logicielle. Cette compétition est ouverte aux créateurs et acteurs du monde numérique de demain qui s'ingénient à concevoir et à développer des applications logicielles avec la technologie Microsoft. Imagine Cup (www.imaginecup.com) offre la possibilité aux étudiants d’exprimer leur talent en choisissant parmi les 9 compétitions des 3 catégories : solutions technologiques, compétences techniques, et arts numériques. Chaque année, un thème se décline dans les différentes disciplines proposées par l'Imagine Cup. Après la santé en 2006, l'éducation en 2007, le thème de l'édition 2008 portait sur l’environnement et a été l'occasion pour les étudiants de débrider leur créativité, d'inventer de nouvelles solutions innovantes pour aider la planète ou informer sur son état.

Algerie : Sisco Networking Academy, La vitesse supérieure


Saïd Elyan:Mobilalgerie
Sisco Algérie engrange désormais la vitesse supérieure en matière de formation via l’Internet. Cette offensive a clairement été signifiée par Belbari Lahouari, Directeur général de Sisco Algérie, qui vient d’inaugurer la Sisco Academy à Alger. Un évènement auquel a assisté Phil Sherbure, VP engineering CISCO. L’évènement a choisi pour lieu de déroulement l’hôtel Sheraton et a permis à Sisco Algérie d’aller à la rencontre de ses partenaires et clients.

En effet ces derniers ont été conviés à découvrir les nouveaux plans d’expansion de ce géant de la réseautique et de la sécurité informatique qu’est Sisco. Sisco Algérie cherche actuellement à doubler son effectif actuel en Algérie. A déclaré Belbari qui a rappelé que la première académie réseau Cisco (Cisco Networking Académy) a été fondée en Algérie en février 2001 et plus précisément à Alger. Ajoutant qu’il y a plus d’une quarantaine d’académies de réseaux en Algérie. Plusieurs d’entre elles sont locales et offrent des bourses d’études de type « Women in technology » (WIT) « les femmes dans le monde de la technologie ». Cisco a fourni un financement substantiel, de type technologique et de ressources nécessaires au secteur algérien de l’éducation via le Cisco Networking Academy. Un programme qui offre des compétences en Tic pour les étudiants, leur permettant de la sorte d’améliorer leur carrière et leurs possibilités économiques. Le networking académies intervient dans plus de 160 pays et cela dans les lycées, collèges, universités, écoles militaires et techniques, organisations communautaires et organismes gouvernementaux. Leur programme d’étude enseigne la conception, le développement et la mise en œuvre des réseaux sur lesquels s’appuient les entreprises et autres organismes.

En fait c’est depuis mars 2006, que Cisco Systems a vraiment commencé à s’activer et à mettre en place des académies de formation à ses technologies et équipements réseautiques. Initialement Le plan de déploiement, dressé sous l’égide du ministère de l’Enseignement et de la Formation professionnels, escomptait répartir sur l’ensemble des wilayas 30 académies à l’échelle locale et 3 autres de rang régional, avec pour rôle de former des agents professionnels certifiés dans le domaine de la réseautique, dont l’instruction est généralement confirmée par un diplôme international, le Cisco Certified Network Associate (CCNA). Il y a lieu de préciser que deux spécialisations caractériseront les sessions de formation, à savoir l’installation de réseaux et leur maintenance. Cisco s’étant d’abord assigné comme objectif de former des formateurs algériens qui deviendront par la suite instructeurs dans ces académies. Belbari Lahouari s’est longuement penché sur la stratégie actuelle de Sisco Algérie et consiste à évoluer dans une logique de partenariat public privé. A ce titre l’orateur a rappelé la récente signature d’un partenariat entre Cisco et Algérie Télécoms dont la finalité est la formation des ingénieurs de l’opérateur historique. Belbari n’a pas manqué d’évoquer le travail de fond déployé par Sisco dans l’accompagnement des plus grandes structures publiques ainsi que des opérateurs de téléphonie mobile, il a rappelé que Cisco suit de très près le chantier de modernisation des banques et des assurances algériennes.

De son coté Phil Sherbure a reconnu que l’Algérie qui adopte avec une rapidité phénoménale les technologies de l’information et de la communication accroît la croissance de Cisco sur son sol. Mais le principal thème retenu par Sisco dans ce rendez vous est l’académie de réseau Cisco (Cisco Networking Académie) dont l’objectif en Algérie est de rapprocher les compétences en Tic du lieu de travail. Autrement dit Cisco n’a de cesse de collaborer étroitement avec les organismes publics et privés du pays pour mettre en œuvre des programmes d’éducation visant à réduire le déficit des compétences en Tic en Algérie.

mardi 27 mai 2008

Utilisation des redirections


Auteur de l’article : Zapman/RankSpirit
Plusieurs raisons peuvent vous amener à vouloir utiliser une redirection :

Changer les noms ou adresses de pages

vous souhaitez changer le nom ou l’adresse de l’une de vos pages sans perdre les liens existant vers l’ancien nom/adresse de page. Vous allez donc organiser une redirection de l’ancienne adresse vers la nouvelle. Les internautes qui saisissent, par exemple, l’ancienne adresse de page dans leur navigateur, atterrissent automatiquement sur votre nouvelle page, sans avoir nécessairement détecté le stratagème. De la même façon, le "PageRank" dont bénéficiait votre ancienne page, est transféré sur le nouvelle. Ce problème peut concerner l’ensemble de votre site si vous avez changé de nom de domaine. vous souhaitez simplifier vos noms de pages. Certains systèmes de gestion de sites dynamiques fabriquent des URLs à rallonge qui ne sont pas très "présentables" du style : "http://www.example.com ?theme1&lang=fr&user=any&chapitre1". Cette complexité peut être entièrement masquée aux yeux des utilisateurs à l’aide des redirections. Le procédé consiste simplement à utiliser une page fictive nommée "chapitre1fr.htm" et à rediriger "chapitre1fr.htm" vers " ?theme1&lang=fr&user=any&chapitre1". Vous pourrez dès lors présenter aux utilisateurs l’adresse "http://www.example.com/chapitre1fr.htm" qui fonctionnera parfaitement. Précisons toutefois qu’il ne s’agit pas là de redirection à proprement parlé, mais plutôt de ce que l’on nomme l’"URL rewriting", ou "réécriture d’URL".

Faire des statistiques
vous souhaitez garder une trace du téléchargement de certains fichiers. Au lien de faire pointer votre bouton "Télécharger" directement sur le fichier, vous le faites pointer vers une page intermédiaire qui redirige l’internaute vers le fichier. Cette page intermédiaire comportera un marqueur qui alimentera vos statistiques en signalant le téléchargement à votre base de données. Ce système est très couramment utilisé par les sites proposant des téléchargements. Il se traduit par l’affichage d’une fenêtre (il s’agit de la fenêtre intermédiaire) comportant un texte tel que "Si le téléchargement n’a pas démarré automatiquement dans 5 secondes, cliquez sur ce bouton". vous souhaitez faire des statistiques concernant vos liens sortants. Au lien de faire pointer vos liens directement sur les sites visés, vous les faites pointer vers des pages intermédiaires qui redirige l’internaute vers ces sites. Cette page intermédiaire comportera un marqueur qui signalera l’action à votre base de données. Ce procédé est utilisé par plusieurs systèmes d’annuaire et porte le nom de "lien mou". Il présente toutefois plusieurs inconvénients et devrait toujours être remplacé par l’utilisation de "Onclick".

Etre malhonnête
vous souhaitez faire une redirection sauvage, c’est à dire "voler" le pagerank d’un site. Désolé pour vous, il est trop tard ! Les redirections permettaient, il y a encore peu de temps, de profiter d’une faille du système Google et de récupérer le PageRank d’une page en faisant une simple redirection sur elle. Si une saine curiosité vous pousse à comprendre les ressorts de cette mécanique, lisez ces explications sur les redirections sauvages et celles-ci sur l’URL canonique. Retenez avant tout que cette forme d’utilisation de la redirection 302 est désormais sévèrement punie par Google. vous souhaitez présenter un contenu différent aux moteurs de recherche et aux visiteurs humains (cloaking). Certains redirections (javascript, par exemple) sont prises en compte par les navigateurs mais ne sont pas gérées par les robots des moteurs de recherche. Cela permet donc de rediriger les visiteurs humains vers une page qui leur est destinée, tandis que les robots continuent de ne voir que la page d’origine. Le site allemand de BMW a été pénalisé par Google pour avoir utilisé cette technique. Vous prendriez d’énormes risques en l’utilisant.

Limites et dangers des redirections
Le "Duplicate Content" Si, en raison d’une redirection mal gérée, les robots trouvent deux pages, à deux adresses différentes, qui comportent le même contenu (on s’accorde en général à penser qu’il faut veiller à avoir moins de 70% de concordance), ils considèrent qu’il n’y a pas lieu de les indexer toutes les deux. Selon les robots ou les circonstances, il peut arriver que : l’une des deux pages ne soit pas indexée (sans qu’il soit forcément possible de savoir d’avance laquelle sera choisie) la popularité (le "PageRank" dans le cas de Google) soit divisé en deux pour chacune des pages
Ce cas de figure, nommé "duplicate content" ne peut théoriquement pas se produire lors de l’utilisation de RedirectPermanent avec le fichier ".htaccess" ou lors de l’utilisation des redirections Php, Asp et Cold Fusion, mais il peut se produire avec RewriteEngine, la balise META "Refresh" et en cas de mauvaise compréhension et utilisation des redirections Javascript.
Les "Backlinks" Tant que votre système de redirection est en place, il importe peu que les sites qui parlent de vous fassent référence à vos anciennes ou à vos nouvelles adresses. Les moteurs reporteront tout le bénéfice de ces "backlinks" sur vos nouvelles adresses et les internautes parviendront dans tous les cas à vous retrouver. Si, par contre, vous êtes contraint de supprimer - à moyen ou à long terme - un système de redirection, vous devrez au préalable contacter tous les webmasters des sites qui parlent de vous pour leur demander de réactualiser leurs liens. Sans cette démarche, vous perdrez une partie de votre référencement le jour ou votre système de redirection ne sera plus opérationnel.

Conclusions
Les redirections ne doivent pas être traitées à la légère, surtout lors des premières fois que vous vous livrez à cet exercice. Nous espérons que cette page vous permettra de jongler avec vos URLs en toute sérénité

Les abonnés de Telecom Italia Mobile prennent le bus avec leur téléphone mobile


Amsterdam, Pays-Bas, May 27, 2008 - Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO), leader mondial de la sécurité numérique annonce aujourd’hui avoir été retenu par Telecom Italia Mobile (TIM), le premier opérateur italien de télécommunications mobiles, pour participer au lancement à Trente d’un programme inédit s’appuyant sur la technologie NFC (Near Field Communication).

Gemalto fournit à TIM des applications de transport embarquées dans la carte SIM, offrant à ses abonnés un moyen pratique pour accéder aux transports publics avec leur téléphone mobile. Gemalto et TIM ouvrent ainsi la voie au déploiement de la technologie mobile sans contact en Italie, avec laquelle voyager devient plus simple et plus rapide. Avec la technologie de Gemalto, l’émission de titres de transport gagne en efficacité et devient interactive, puisque les usagers les achètent à partir de leur téléphone mobile où qu’ils se trouvent et n’importe quand. Le titre de transport peut être validé même si la batterie est déchargée.

Pour l’opérateur de transport, cette technologie réduit les coûts liés aux émissions de titres et à la maintenance des infrastructures d’accès, limite la fraude et enrichit les services rendus aux voyageurs en leur communiquant des informations pratiques comme les horaires ou les plans. L’opérateur mobile crée de nouveaux usages, fidélise ses clients et développe une source supplémentaire de revenus, par le biais de ces utilisateurs quotidiens ou occasionnels. Au cœur de cet écosystème, Gemalto joue un rôle clé de facilitateur, délivrant des services de confiance et mettant à profit son expérience acquise à travers le monde, afin de déployer l’innovation de manière optimale. Reconnu pour la fiabilité de ses services, Gemalto garantit aux sociétés de transport que leurs billets électroniques et les droits d’accès seront transmis et gérés en toute sécurité par les opérateurs mobiles pour le compte de leurs clients.

Douane: La fin des aberrations de l’homologation ?


Par Maryam OMAR:webmanagercenter
La nouvelle décision présidentielle aura-t-elle raison des problèmes récurrents d’homologation lors de l’importation des produits de l’informatique et des télécommunications ?

Le ton est donné. Dans le but d’améliorer davantage le climat de l’investissement et de l’incitation à l’initiative, le chef de l’Etat a décidé la simplification des procédures d’homologation technique et du contrôle technique à l’importation des terminaux de télécommunication et l’introduction de baisses de tarifs relatifs à l’homologation technique.

Excellent, évidemment ! Mais il faut se rendre compte que nous ne sommes pas uniquement devant l’exemple des terminaux de télécommunication. Le secteur des technologies de l’information et de la communication est Un ! C’est pour cela qu’il est nommé de la sorte et si nous souhaitons ouvrir les plus grandes perspectives devant lui, nous avons à le considérer en tant que tel !

A dire clairement, si nous ne simplifions pas toutes les procédures d’homologation technique et du contrôle technique à l’importation de tous les appareillages des deux domaines TIC (informatique et télécoms), nous ne ferons qu’alléger le fardeau direct du composant ciblé et nous le laissons victime de la somme des fardeaux indirects impliqués par les autres composants auxquels il est lié et qui n’ont pas bénéficié des mêmes simplifications.

Bien sûr, les baisses de tarifs relatifs à l’homologation technique sont dans la même logique : agir sur un seul élément n’aura que bien peu de sens et, pour s’assurer du meilleur effet, nous n’avons d’autre solution que de voir l’image complète et agir en conséquence !

Les services tirent la croissance du marché numérique mondial


Auteur:CHARLES DE LAUBIER
Toujours plus haut. Le marché mondial des technologies du numérique - ce que l'Institut de l'audiovisuel et des télécommunications en Europe (Idate) appelle le « digiworld » - devrait franchir pour la première fois la barre des 3.000 milliards d'euros de chiffre d'affaires l'an prochain, à 3.030 milliards. L'an dernier, l'ensemble de ses secteurs (télécommunications, informatique, Internet, télévision, médias, électronique grand public) totalisait 2.750 milliards, soit 5,8 % de plus qu'en 2006, grâce à la dynamique des services numériques (logiciels informatiques, programmes et contenus pour la télévision, la téléphonie, l'Internet), qui drainent 75 % de la croissance totale. En revanche, la progression des équipements (ordinateurs, terminaux téléphoniques, baladeurs, électronique grand public...) ralentit sous la pression tarifaire. En attendant les prochains « 4 G » ou « Wimax » (débits proches de l'ADSL), la téléphonie mobile n'est plus le moteur de la croissance : + 2 % seulement dans la plupart des pays européens saturés.
« L'année 2007 a toutefois vu un frémissement de la consommation des services «données» [sur mobile], très net dans les Arpu [revenu moyen par abonné] », assure Yves Gassot, directeur général de l'Idate. Bien que freinée aussi, l'électronique grand public a pris le relais (+ 8 %) : en 2008, il se vendra, par exemple, davantage d'écrans plats que de postes de télévision à tube cathodique. Une première. Globalement, le poids des activités numériques dans l'économie mondiale représente 7,3 % du produit intérieur brut (PIB), les services télécoms arrivant en tête avec 2,7 % en 2007 pour 1.004 milliards d'euros, suivis de loin par les logiciels et services informatiques (1,8 % pour 660 milliards).

« Des écarts importants » entre régions

« Cette progression traduit un nouveau tassement par rapport à la dynamique des années précédentes. Dans le même temps, la croissance du PIB mondial ayant elle-même sensiblement ralenti, les TIC [technologies de l'information et de la communication] retrouvent un rythme supérieur d'un demi-point à celui de l'évolution de l'économie générale », explique Didier Pouillot, coordinateur du rapport annuel. Si l'Europe « patine toujours un peu », avec une croissance d'à peine 3,8 %, elle fait partie, comme l'Amérique du Nord (+ 5,1 % sur un an), des deux régions du monde qui « concentrent encore 64 % du marché en valeur », à savoir 1.749 milliards d'euros en 2007. Mais leur croissance s'essouffle.
L'institut montpelliérain remarque en outre « des écarts importants » entre les différentes régions. La zone Amérique latine, Afrique, Proche-Orient progresse de 12 % tandis que la zone Asie-Pacifique avance de 6,7 % grâce à la Chine et à l'Inde. Dans un contexte mondialisé, la France des TIC a progressé de 2,6 %...

Tunisie : Projet carte à puce santé CHIFA


Source:Galia SKANDER/Tunisie Affaire
Si en Tunisie la CNAM a annulé son appel d'offres pour la fourniture d'une carte santé à base de technologie puce, et ce, sans le relancer, ni le programmer, ou même prévoir une phase de test sur un échantillon, ce qui aurait permis de tester, mesurer, prévoir et puis déployer à grande échelle sans prendre aucun risque.

La CNAS (Caisse Nationale Algérienne de Sécurité Sociale) a décidé de déployer à grande échelle la carte CHIFA développée par une SSII française Gemalto et Bull.
Gemalto a gagné en 2006 cet appel d'offres pour un budget de 16 millions d'Euros et après une phase de test de 700.000 unités, la CNAS va déployer la solution CHIFA pour 7 millions d'assurés sociaux d'ici fin 2010. Alors que la CNAM a abondonné son projet du moins pour le moment, sachant qu'il lui sera impossible de mettre en place le régime du tiers payant dès juillet 2008, sans un système informatique en temps réel, pour gérer les plafonds par assuré social et par membre de famille.
Si non comment connaître la solde de l'assuré lors d'une consultation privée chez un prestataire de santé ?
La CNAM a tout intérêt de lancer au moins un projet expérimental à petite échelle et elle a les moyens de le faire en partenariat (PPP) avec la SMT (Société Monétique Tunisie), entreprise publique, qui gère la monétique interbancaire en Tunisie et qui dispose d'un centre de production et de personnalisation des cartes à puce, d'un réseau VPN privé et d'un data center sécurisé, pour traiter les transactions en temps réel.
Certaines banques sont même prêtes à financer l'achat des cartes de santé, dans le cadre de projet monétique ou dans le cadre d'un sponsoring.
Qu'en pense la CNAM ?

lundi 26 mai 2008

Importantes mesures présidentielles au profit des technologies et des télécommunications


L'intérêt du président Zine El Abidine Ben Ali a porté, en recevant, vendredi 23 mai 2008, M. El Hadj Gley, ministre des Technologies de la communication, à la marche des activités du ministère et à l'état d'avancement des programmes de modernisation des réseaux des télécommunications et de l'Internet, des projets relatifs au développement des services postaux et à l'installation du réseau de diffusion de la télévision numérique. Le Chef de l'Etat s'est intéressé aux services de télécommunication fournis aux entreprises économiques et administratives et a donné, à ce sujet, ses instructions pour la mise en place d'un cadre réglementaire et technique afin de promouvoir le service de téléphonie, à travers le protocole de l'Internet (VOIP), de manière à assurer des prestations qui contribuent au renforcement de la compétitivité des entreprises, à attirer l'investissement extérieur et à ouvrir de nouvelles perspectives pour la modernisation de l'infrastructure des télécommunications.Dans le but d'améliorer davantage le climat de l'investissement et de l'incitation à l'initiative, le Président de la République a décidé ce qui suit :
* Simplification des procédures d'homologation technique et du contrôle technique à l'importation des terminaux de télécommunications et l'introduction de baisses de tarifs relatifs à l'homologation technique.* Baisse de 20% des tarifs appliqués pour l'utilisation des certificats de signature électronique en vue de favoriser le développement des services à distance et des transactions électroniques.
* Consolidation des liaisons de télécommunications internationales et modernisation des services offerts aux investisseurs tout en veillant à l'introduction de baisses tarifaires des liaisons internationales de manière à renforcer la place de la Tunisie en tant que p"le régional pour les créneaux porteurs.
* Accélération de la mise en oeuvre des projets tendant à offrir l'Internet haut débit au niveau des zones industrielles, du réseau d'institutions universitaires, du réseau d'établissements scolaires et de formation, ainsi que le renforcement des connexions au service ADSL.* Renforcement de l'assistance et du soutien aux centres publics d'Internet (Publinet) et abandon de 50% des impayés dus au titre de la location des liaisons spécialisées de télécommunications pendant les années antérieures.
D'autre part, le chef de l'Etat a insisté sur l'intensification de l'encadrement des promoteurs des projets innovants et ceux ayant trait à l'économie numérique tout en oeuvrant à accélérer la réalisation du programme de création de centres de travail à distance dans les différents gouvernorats du pays de manière à contribuer au renforcement des projets et à la création de nouveaux postes d'emploi.

Participation de la Tunisie aux travaux d'instances internationales en charge des TIC


Une délégation tunisienne a participé aux travaux du conseil stratégique de l'Alliance Globale sur le Développement des Technologies de l'Information et de la Communication GAID, initiative lancée par les Nations Unies au SMSI pour étudier les questions relatives aux TIC et le développement, aux assises du forum mondial sur l'accès et la connectivité et aux activités du 1er sommet mondial sur le Cybercrime ''IMPACT'' organisé à l'initiative du gouvernement malaisien ainsi qu'aux travaux du sommet mondial sur les technologies de l'information WCIT.
Dans le cadre des travaux du forum mondial sur l'accès et la connectivité organisé par le GAID les 19 et 20 mai 2008 à Kuala Lumpur, Mme Lamia Chaffai, secrétaire d'Etat auprès du ministre de technologies de la communication, chargée de l'informatique, de l'Internet et des logiciels libres a intervenu à la table ronde sur le thème ''Accès et Connectivité: pays de l'Asie pacifique et autres pays émergents ''.
Elle a souligné que la réussite de la Tunisie dans le domaine des technologies de l'information et de la communication est due essentiellement à une stratégie claire qui repose sur la mise en place d'une infrastructure performante, d'un cadre réglementaire favorable, de la formation des ressources humaines et du partenariat entre les secteurs public et privé, qui a permis au secteur des TIC de se positionner comme un secteur clé du développement économique et social. Elle a aussi passé en revue les réalisations tunisiennes en matière de généralisation de l'accès à Internet et de déploiement de l'accès à haut débit.
M. Hamdoun Tourré, secrétaire général de l'Union internationale des télécommunications (UIT) a souligné au cours de cette table ronde que l'expérience de la Tunisie en matière des TIC est plus qu'édifiante et qu'elle mérite d'être considérée comme un exemple à méditer pour plusieurs autres pays.
M. Touré a passé en revue, à cet égard, certaines des avancées réalisées par notre pays dans ce domaine, se félicitant des efforts que la Tunisie ne cesse de faire pour promouvoir l'usage des TIC.
En marge du Forum, la secrétaire d'Etat s'est entretenue avec M. Craig Barett, président d'Intel, faisant suite à sa rencontre, à Kigali, avec le ministre des technologies de la communication M.El Hadj Gley. De même, elle a eu un entretien avec M. Hamdoun Touré, secrétaire général de l'UIT portant sur les relations de partenariat et de collaboration avec l'UIT.
Par ailleurs, Mme Lamia Chaffai a pris part aux activités du 1er sommet mondial sur le Cybercrime ''IMPACT'' organisé à l'initiative du gouvernement malaisien et réunissant des ministres et délégués de 30 pays ainsi que d'éminents experts internationaux et des présidents des entreprises les plus prisées dans le domaine de la sécurité informatique (F- Secure, Trend-Micro, Symantec, Kaspersky...).
A cette occasion, Mme Chaffai a pris part à la table ronde ministérielle ayant pour objet l'examen de l'initiative de coopération multilatérale IMPACT proposée par la Malaisie pour la lutte contre la cybercriminalité.
Mme. Chaffai a présenté la stratégie avant-gardiste de la Tunisie en matière de sécurité informatique, la mise en place d'une loi sur la sécurité informatique et la création d'une agence nationale de sécurité informatique.
En marge de ce sommet, la secrétaire d'Etat s'est entretenue avec le ministre malaisien des sciences, de l'innovation et de la technologie, M. Maximus J. Ongkili, sur les opportunités de collaboration et de partenariat entre la Tunisie et la Malaisie dans le secteur des TIC.
Cette rencontre a été aussi l'occasion de présider une cérémonie de signature d'un mémorandum d'entente de partenariat entre l'Agence nationale de sécurité informatique et son homologue le centre de réponses aux incidents (CERT) malaisien.
Mme Chaffai a pris part également au Sommet Mondial des Technologies de L'Information (WCIT) du 19 au 21 mai, portant sur le futur de l'Internet. Le sommet a discuté des perspectives de développement de l'Internet dans le monde et les tendances futures.
Les questions de la connectivité et de l'accès à haut débit, du développement du contenu et des applications, de la sécurité des échanges et des transactions en ligne ont été débattues.
Mme Chaffai s'est entretenu avec Dr. Vint Cerf, vice président de Google et co-concepteur du protocole Internet, considéré comme le père de l'Internet.
Dr. Vint Cerf a reçu le médaillon des sciences du Président de la République en 2003 comme il a reçu le prix ''Turing Award'', équivalent du prix Nobel en informatique en 2007.

Un Vice-président de Microsoft à Tunis



Ali Faramawy, Area Vice President, Microsoft Middle East & Africa, Vice-président de Microsoft pour l’Afrique et le Moyen-Orient sera à Tunis cette semaine pour la célébration du 1er anniversaire du Microsoft Innovation Center du Pôle El Ghazala.
Who's mister Faramawy?
As vice president of Microsoft International, Ali Faramawy has a number of responsibilities both on the business strategy and the business operations fronts. He is an active member of the International leadership team that is responsible for the company’s strategy and initiatives. He also has a visible role among the company’s worldwide emerging markets community.
Faramawy is directly responsible for Microsoft’s operations in the Middle East & Africa (MEA) Area. MEA is one of 13 areas that comprise Microsoft’s worldwide operations. It represents one of Microsoft’s fastest growing and dynamic markets and certainly its most diverse one. Microsoft MEA operates through 30 offices and covers more than 70 countries across three continents.
Throughout his 20-year career in the IT industry, Faramawy has held different technical, sales and managerial roles in different parts of the Middle East and Europe with companies such as Dun & Bradstreet Software, NCR Corporation, Yokogawa Marex and, finally, Microsoft.
Faramawy joined Microsoft in October 1997, as the general manager of Microsoft Egypt. After a successful four years in that role, he moved on to assume additional responsibilities for the area of Eastern Mediterranean, which encompassed Egypt, Lebanon, Jordan, Cyprus & Malta.
In May 2002, Faramawy moved to take on the newly established position of regional director, in charge of sales, marketing and services for the Middle East and Africa region. He led the efforts to transform the company’s regional presence with a newly established regional headquarters and a much wider geographical presence. He was promoted to this position in April 2004.
Faramawy graduated from the Faculty of Engineering, Alexandria University, majoring in computer science and automatic control and has an MBA, specialising in strategic marketing, from the University of Hull in the UK. He is married and has two sons. He loves the IT industry and its ability to empower people and transform industries. He is passionate about the future of people in emerging markets. He also enjoys music, reading and the occasional round of golf.

Fethi Houidi à la tête de la nouvelle NessmaTV


Les nouveaux associés de NessmaTV viennent, à l'occasion d'une rencontre de presse organisée cet après-midi, d'annoncer la nomination de M. Fethi Houidi en tant que président de NessmaTV reconfigurée après l'entrée dans le capital de Mediaset (Italie) -25% du capital- et de Quinta de Tarek BEN AMMAR -25%.

Après son départ du conseil d'administration de Tunisiana, M. Houidi retrouve l'univers des médias, pour accompagner ce nouveau départ de la chaîne privée Maghrébine.

LE MESSAGE DU LUNDI MATIN : Comment penser comme un millionnaire


La plupart des gens regardent ceux qui ont des réussites hors du commun et se disent: "Ses parents lui ont payé des études supérieures..." "Il a eu beaucoup de chance..." "Il avait de l'argent au départ... et l'argent va à l'argent." "Il a eu du piston" Pourtant, en discutant avec tous les millionnaires que j'ai eu l'immense privilège de rencontrer, une chose m'a frappée:

POUR DEVENIR MILLIONNAIRE, IL FAUT D'ABORD APPRENDRE À PENSER COMME UN MILLIONNAIRE

Relisez cette phrase. Elle contient 3 mots très importants.

1. DEVENIR
La majorité des millionnaires ne sont pas NÉS millionnaires.Ils le sont devenus. Pire. Beaucoup d'entre eux sont parti de rien. Ils ont connu la frustration et la misère. Le plus jeune que je connaisse- il a 27 ans - n'a pas toujours mangé à sa faim. Il a vu son père, acculé à la faillite, partir menotté entre 2 gendarmes.

2. APPRENDRE
Celui qui arrête d'apprendre meurt. Son coeur bat toujours, mais son cerveau travaille en boucle. Au lieu de créer, de progresser, il vit dans la routine et dans les habitudes. Il devient un esclave. Ceux qui réussissent au-delà de tous leurs espoirs apprennent sans cesse. Cessez d'apprendre, et vous commencerez à perdre.

3. PENSER
Penser s'apprend. Trouver des idées là où les autres ne voient rien s'apprend. Bâtir des plans qui mènent au succès s'apprend. "Tout le monde se plaint de sa mémoire, mais personne de son intelligence", dit-on. Il est difficile d'admettre que nous pouvons modifier notre façon de penser. Ce serait reconnaître que notre façon de penser est limitée. Que nous avons quelquefois tort......et nous aimons avoir RAISON. Quel qu'en soit le prix ! Mais notre pensée peut évoluer, progresser, s'enrichir, atteindre des niveaux de lucidité qui font de nous un être hors du commun. Car le pouvoir de la pensée est infini. La puissance mentale est illimitée.

vendredi 23 mai 2008

Friday aware !


Dans une réunion de grands vendeurs, le grand crac, celui qui fait, depuis 20 ans, plus de chiffre que tout le monde et gagne plus en commissions que le patron, fait un exposé :

"Et maintenant, je vais vous livrer le secret de mon succès. Je l'ai écrit sur une feuille et mis dans cette enveloppe.

Mais le succès se mérite. Je vais donc vendre cette enveloppe, qui contient, vous en avez ma parole, tous le secret de ma réussite non seulement dans la vente mais aussi dans la vie, aux enchères."

Les enchères commencent, d'abord timidement... 5 dinars, puis 10 dinars, puis 50, 100, 130, 150, 200... Finalement, un de ses collègues remporte les enchères avec un peu plus de 1.000 dinars.

L'heureux gagnant prend l'enveloppe. Il la garde précieusement, et le soir, dans sa chambre, il ouvre l'enveloppe pour savoir enfin LE SECRET DU SUCCES.

A votre avis, qu'y a-t-il sur cette feuille de papier ?

Réfléchissez un instant. Notez mentalement ce qui vous vient à l'esprit, avant de lire la réponse. Car je vais vous révéler, effectivement, plus bas dans cet email, ce qui était écrit sur cette feuille de papier et qui vaut, à mon avis, bien plus que 1.000 dinars.



...



...



...



...



...



...



...



...



...




Le gagnant de l'enchère déchire l'enveloppe, tire la feuille,la déplie, et il y a seulement ces quelques mots manuscrits :



===============


IL

FAUT

SAVOIR

DEMANDER


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Nessma TV : les nouveaux alliés des frères Karoui


Oualid CHINE:webmanager
«Pour le Ramadan prochain, Nessma TV redémarrera en fanfare». C’est en tout cas le message qu’a voulu faire passer Tarek Ben Ammar lors d’une conférence de presse organisée le 21 mai, en France, en marge du Festival de Cannes. C’est que l’homme d’affaires tunisien qui s’est totalement consacré au cinéma se lance lui aussi dans l’aventure de Nessma TV.

Puisque par le biais de son groupe Quinta Communication, et en partenariat avec son allié italien, Mediaset, ils vont injecter la bagatelle de 30 millions de dollars au total, à parts égales, à l'occasion d'une argumentation du capital de Nessma TV. Ce qui leur permettra de détenir, à eux deux, 50% des parts de la jeune chaîne de télé tunisienne. De quoi faire souffler un petit vent frais du plus bel effet pour l’équipe de Nessma.

Fedele Confalonieri, président de Mediaset, également présent à la conférence de presse, a mis l’accent sur les avantages que représentent, selon lui de "l'arrivée des télévisions privées en Italie qui ont entraîné un changement du climat culturel et constitué un tremplin économique majeur". Et puisque les mêmes causes produisent les mêmes effets, le Maghreb pourrait aussi, selon le responsable italien, se retrouver métamorphosé.

A noter que Mediaset appartient à Silvio Berlusconi, qui vient juste de faire élire à la tête du gouvernement italien. Un allié de taille, pour les frères Karoui, puisque Mediaset est un poids lourd de la communication, avec trois chaînes télés commerciales en Italie, couplées à deux régies publicitaires. Au niveau international, Mediaset a des intérêts aux Etats-Unis, et même sur le marché chinois. Mediaset s’était repositionné comme un producteur de contenu au cours de la dernière année. Il a ainsi pris le contrôle de Endemol, et a également signé un contrat d’exclusivité, à hauteur de 600 millions de dollars, avec les sociétés Warner Bros et Universal. De quoi donner le vertige à nos frères Karoui.

Le but avoué des nouveaux partenaires de Nessma TV, est de toucher l’audience maghrébine qui pèse 90 millions de téléspectateurs potentiels, sans pour autant omettre le reste du monde arabe. L’objectif déclaré étant de produire du contenu télévisuel respectant les standards de qualité européens, tout en tenant compte des sensibilités culturelles du téléspectateur maghrébin. Les responsables parlent ainsi, de « contribuer, par un programme fédérateur, à la promotion de la culture maghrébine, à consolider les valeurs de tolérance et de modernité, et à développer le dialogue des cultures et des civilisations dans l'espace méditerranéen ».

Le choix du Ramadan pour le lancement de la nouvelle mouture de Nesma TV n’est du reste pas fortuit, quand on sait que c’est durant cette période que nos télés font le plein d’audience, et renfloue leur finance. C’est clairement durant ce mois sacré que le nombre de spots publicitaires est à son maximum.
Côté contenu, certaines sources évoquent l’arrivée de la star tunisienne de la télévision italienne, Afef Jnifen, qui devrait animer une émission sur Nessma TV. Et pour cette année, la Star Academy version Maghreb fera également son come-back pour sa deuxième édition. Les films, et les séries devraient également se multiplier sur Nessma TV. Un très joli coup des frères Karoui, toujours plus ambitieux.

Creation d'entreprise: Le business plan


Dans ce dossier qui aura certainement une suite, nous essayerons de présenter à chaque fois des sujets utiles à discuter ou des outils necessaires à connaitre pour nos jeunes créateurs d'entreprises. Aujourd'hui nous presentons le business plan ou le plan d'affaires qui est le document notamment sur lequel se base le capital risqueur pour évaluer son opportunité d'investissement et sa participation ou tout simplement la banque pour évaluer les risques d'octroi d'un credit .

Le business plan doit contenir le maximum d'informations qui facilitent la prise de décision.

1. Résumé (2/3 pages)
C’est la présentation succincte et synthétique en deux ou trois pages du projet soumis aux investisseurs, en précisant bien la situation actuelle, base de départ, et la situation visée au terme du plan de cinq ans. Cette présentation doit porter sur :
· Le marché,
· Le produit,
· Les moyens dont dispose l’entreprise,
· Les objectifs visés,
· L’estimation globale des besoins financiers et nature des besoins,
· Le montant des fonds recherchés auprès des investisseurs,
· La rentabilité financière espérée et proposée, l’image de la société au terme du plan.
2. Présentation du projet (4/5 pages)
Différencier dans cette partie s’il s’agit d’une entreprise existant déjà ou d’une création d’entreprise:
2.1. S’agissant d’une entreprise déjà existant
Historique
Date de création, évolution, principales lignes de produits, marchés actuels, biens en propriété ou en leasing ; l’actionnariat : évolution récente; les grandes étapes de l’évolution, le management (joindre les derniers documents financiers en annexe, ainsi que tous les documents nécessaires: documents commerciaux, plaquette…).
Projet de développement
Est-ce la poursuite de la croissance avec les mêmes produits sur les mêmes marchés? Ou un nouveau développement avec de nouveaux produits ; sur les mêmes marchés, ou sur des marchés proches?
S’agit-il d’une diversification pour l’entreprise ou au contraire d’une spécialisation accrue? S’agit-il d’une croissance interne ou externe par rachat d’entreprise ou prises de participation dans d’autres entreprises ?
Il faut à ce stade montrer qu’étant donné l’environnement de l’entreprise, ses points forts et ses points faibles, la meilleure solution est celle faisant l’objet de ce plan.
2.2. S’agissant d’une entreprise en création
· Timing de la création d’entreprise
· Date de création
· Premiers investissements
· Premières fabrications
· Premières mises sur le marché
· Choix du nom de la société ; choix d’un produit, d’une technologie, d’un nom propre…
3. L’environnement économique – l’industrie – le secteur (3/4 pages)
Il faut présenter ici l’environnement économique proche et lointain dans lequel va évoluer l’entreprise, qu’il s’agisse de l’environnement géographique, technologique ou encore de l’évolution des principaux marchés:
§ Dans quel grand secteur industriel se situe le projet: (biens d’équipements, biens intermédiaires, biens de consommation durable, services…)
§ Dans quel secteur d’activité ? (primaire, secondaire, tertiaire)
§ Dans quelles branches d’activité ?
§ Dans quel créneau ?
§ Quels sont les caractères de cette industrie ? (évolution de la technologie, estimation de l’offre globale et de la demande globale…)
§ Existe-t-il des cycles économiques d’expansion et de récession: leurs causes
§ Existe-t-il des droits d’entrée sur le marché: en termes financiers, d’autorisations particulières…
4. Le Marché (5/6 pages)
4.1. La demande
§ Qui est le client final ?
§ Que recherche le client ?
§ Quel est le produit et le service offert ?
§ Importance de la marque dans la décision d’achat ?
§ Segmenter la clientèle c’est-à-dire isoler dans l’univers de la demande, les segments de la clientèle ayant un comportement commun, soit dans la décision d’achat, soit dans le pouvoir d’achat… Quelles sont les habitudes de consommation ?
4.2. L’offre
§ Structure de l’offre de produits. L’offre est-elle monopolistique, oligopolistique, atomisée ?
§ Structures de l’offre sur le plan, géographique: importations et exportations…
4.3. Taille et croissance du marché
§ Taille: en nombre de produits, en DT (Dinar Tunisien). Segmenter le marché.
§ Croissance: taux de croissance en valeur, en volume, en DT, en Euro, à l’étranger.
4.4. La concurrence
§ Quels sont les concurrents ?
§ leurs stratégies, leur image de marque ; leurs forces et leurs faiblesses ; sauraient-ils faire les produits de l’entreprise ?
4.5. Les études de marché
§ Existent-elles ? Par qui ont-elles été faites ?
§ Quelle confiance peut-on leur accorder ?
§ Se méfier des études de marché qui concernent des produits trop nouveaux ou qui sont faites auprès d’une demande potentielle et non pas d’une demande solvable.
5. Le produit ou le service (5/6 pages)
· Le produit ou les gammes de produits;
· Produits existants,
· Produits nouveaux.
5.1. Présentation physique et fonctionnelle du produit
§ Présentation physique : (photos, dessins), décomposition en sous-ensembles: mécanique, électronique, partie mesure, affichage…
§ Présentation fonctionnelle : fonction principale, sous fonctions, intégration dans une chaîne de produits ou non.
§ Avantages du produit par rapport à la concurrence. Sur quoi portent-ils ? S’agit-il d’une réelle innovation ? Sur quoi porte- t-elle ?
§ Technologie : à quelles technologies le produit fait-il appel pour ce qui concerne les différents sous-ensembles.
5.2. Protection industrielle
Brevets: que protègent-ils ?
· Un dispositif ou un procédé ?
· Brevets concurrents ?
· Dans quels pays sont-ils déposés, pays sans examen, pays avec examen préalable (USA, Allemagne, Japon) ?
· Qui détient les brevets ?
Le savoir-faire
Le savoir-faire intégré dans le produit est-il celui de la société? ou un autre savoir-faire acquis à l’extérieur? S’agit-il d’un savoir-faire récent ou ancien? Le savoir-faire est-il reconnu comme tel par le client? Par la concurrence?
5.3. Le produit en terme de recherche développement
Combien a-t-il coûté jusqu’à la phase de prototype, de la phase prototype à la phase industrielle, combien de temps a-t-il fallu pour le mettre au point (échelle des temps et des coûts)?
Le produit est-il soumis à autorisation préalable des pouvoirs publics : au moment de la fabrication, au moment de la vente, au moment de l’utilisation. Y a-t-il un examen, une autorisation, une homologation préalable ?
6. Les objectifs visés (4/5 pages)
6.1. Les parts de marché
§ Estimer la ou les parts de marché qu’il faut détenir pour gagner de l’argent, pour se maintenir sur ce marché.
§ Quelle est la part de marché visée par l’entreprise?
§ Evolution et perspectives des parts de marché concernant les produits anciens, les produits nouveaux…
6.2. Les objectifs financiers
§ A quel niveau de chiffre d’affaires se situe le point mort et quand doit-il être atteint ?
§ Rentabilité d’exploitation visée: c’est-à-dire marge nette avant et après impôts rapportée au chiffre d’affaires ou à la production.
§ Perspectives de rémunération pour les investisseurs.
6.3. Autres objectifs
§ Objectifs de Recherche/Développement pour faire face aux changements technologiques et réactions de la concurrence;
§ Objectifs vis-à-vis des salariés de l’entreprise: cadres, maîtrise, employés, ouvriers ; Régime des stocks-options.
§ Objectifs de communication à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise, quelle image de l’entreprise veut-on communiquer à l’extérieur;
§ Comment s’attacher et fidéliser la clientèle.
7. Ressources de la Société – Management – Organisation (3/4 pages)
La société dispose en général de trois types de ressources:
· Des ressources financières
· Des ressources humaines
· Des connaissances ou un savoir-faire particulier qui est un vrai actif de l’entreprise, qui se transmet entre les individus, dans le temps, ce qui assure la permanence de la marque, de la qualité et de l’image de l’entreprise.
7.1. Des ressources financières
Pour les sociétés existantes, montrer que l’exploitation a permis jusqu’ici l’autofinancement, (ou non) de l’entreprise, que son autofinancement actuel lui permet d’aborder la nouvelle phase de développement, spécialisation ou diversification, avec l’apport de capitaux additionnels. Dans les ressources financières potentielles, indiquer la possibilité pour les actionnaires actuels d’accompagner la croissance de l’entreprise.
7.2. Des ressources humaines
§ Présenter les hommes clés de l’entreprise, fondateurs, managers, actionnaires (joindre les CV en annexe).
§ Présenter les qualités des effectifs de l’entreprise : main-d’œuvre habile ou non qualifiée…
§ Organigramme de la société: les fonctions commerciales, industrielles, financières, R&D : par qui sont-elles assurées…
§ Existe-t-il un système de rémunération particulier concernant l’intéressement des salariés : en fonction du résultat, du chiffre d’affaires ; le personnel a-t-il la possibilité d’acquérir des actions de la société par des Stock-options ou des Bons de Souscription d’actions ; le personnel – à quel niveau – a-t-il déjà des actions de la société ?
§ Ressources humaines extérieurs : la société dispose-t-elle de compétences à l’extérieur sur lesquelles elle peut s’appuyer, un partenariat technologique avec une grande société par exemple ?
8. Le plan opérationnel (4/5 pages)
C’est la présentation des stratégies d’entreprise permettant de transformer le couple produit/marché en profits.
8.1. Le plan recherche et développement
Budgets d’investissements à prévoir pour le futur:
§ Pour le maintien à niveau des produits actuels.
§ Pour la recherche et la mise au point des produits nouveaux, budgets rapportés au chiffre d’affaires.
§ Personnel disponible.
8.2. L’industrialisation
§ Que fabrique-t-on et que va fabriquer la société, quels produits, quels sous-ensembles. Pour cela, quels moyens de production sont-ils nécessaires, indispensables: immobilier, matériels, outillages.
§ Que peut faire sous-traiter la société : Ne pas confier l’intégralité de la fabrication à un seul sous-traitant : la société doit conserver la fabrication des parties où elle excelle, et confier la totalité à un seul sous-traitant pourrait lui donner l’idée de faire la même chose !
§ Les approvisionnements ; quelle est la longueur du cycle de fabrication, stock de matières nécessaires, stock mini…
§ Fabrication sur commande et lancement en fabrication de petites, moyennes ou grandes séries.
§ Les fournisseurs; choix des fournisseurs ; négociations ; conditions de paiements… les achats à l’étranger, délais de livraison et paiements par lettres de crédits.
§ Les contrôles : contrôles qualité en entrée sur les pièces provenant de la sous-traitance, en cours de fabrication, en sortie de chaîne…
§ Les investissements nécessaires, chiffrés : immobilier, matériels et outillages, et surtout les besoins financiers liés au cycle d’exploitation et de fabrication.
8.3. Le plan Marketing
§ Le système de distribution des produits : réseau de vente interne, externe, agents, concessionnaires, Tunisie, Etranger…
§ Publicité, information, communication et relations publiques : politique de communication de la société concernant les produits. Quelle publicité pour les produits ? Quelle promotion ? Quels médias ? Le recours à des leaders d’opinion ?
§ Politique de prix : politique actuelle et future. Quel est le bon prix pour un produit nouveau ?
§ S’il est trop cher, il risque de ne pas se vendre, malgré ses qualités;
§ S’il n’est pas assez cher, la technologie n’est pas payée, l’entreprise n’est pas rémunérée;
§ La clientèle ne comprendra pas qu’un produit change de prix trop fréquemment soit à la baisse, soit à la hausse. Quelle est l’élasticité prix/demande.
§ Administration des Ventes : gestion des commandes, production, livraison, facturation, encaissements. Conditions de paiement et acomptes à la commande.
§ Prévisions de ventes et parts de marché visées: le carnet de commandes signé a-t-il une signification dans cette activité ? Que doit-il représenter normalement. Livraisons sur commande ou livraisons sur stock ?
§ Timing pour atteindre ces résultats;
§ Coûts et budgets: estimation des coûts pour mettre en place ou renforcer le réseau, faire connaître le produit (publicité) … budgets prévisionnels.
§ Planification et contrôle.
8.4. Stratégie et structure
Montrer qu’étant donné les stratégies choisies : marketing (ventes à l’export), industrielle (recours à la sous-traitance), R & D, la structure actuelle interne de la société est la meilleure possible ou au contraire doit être modifiée ou renforcée pour atteindre les résultats, entraînant le recrutement de nouveaux personnels.
· Structure interne: on doit adapter la structure de l’entreprise à la stratégie et pas la stratégie à la structure.
· Mode de gestion : gestion par les objectifs, décentralisation, définir les « points de contrôle », accroître les délégations…
9. Tout ce qui concerne la finance (5/6 pages)
9.1. La rentabilité des opérations
Ce plan financier présente les diverses options retenues, les états détaillés étant renvoyés en annexe.
Synthèse des principaux budgets:
§ Ventes et rentabilité: structure tunisienne, structure européenne (française), selon le plan comptable et structure anglo-saxonne, par fonctions (très utile);
§ Ventes, coûts des ventes, dépenses marketing, dépenses de R & D, dépenses administration, Résultat;
§ Trésorerie; rappeler les habitudes de paiement de la clientèle : les conditions fournisseurs, les acomptes sur commandes.
§ Structure du bilan. Actif et Passif. Emplois et ressources; cash disponible;
§ Plan de financement;
§ Estimation des besoins: dépenses corporelles et incorporelles;
§ Estimation des ressources : ressources internes, ressources externes recherchées;
§ Présentation du «package» financier: aides et primes (VRR, PIRD), fonds publics: FITI, FOPRODI par exemple; apports en capital (promoteur et associés) et en vrai fonds propres indispensables (SICARS), prêts à moyen terme, etc ...
9.2. Montants recherchés
§ Quel type d’actions souscrire ?
§ Quelle part pour les nouveaux actionnaires ? Donc quelle valorisation ?
§ Quelles plus-values raisonnables ?
§ Quelle rémunération prévisible ?
§ Un plan de Stock-options pour le personnel ?
9.3. Rentabilité des investissements – TRI estimé
§ Rentabilité financière visée : c’est-à-dire résultats nets après impôts rapportés au capital, aux fonds propres, au capital additionnel;
§ Perspective de valorisation de la société et plus-value en capital ; très important.
§ TRI possible.
10. Sortie envisagée – Risques et opportunités (3/4 pages)
Sortie
La Bourse sera-t-elle une sortie envisageable et payante ? Ou bien faut-il envisager une sortie industrielle ? Vers qui ? Une entreprise tunisienne, une étrangère ? un groupe ? une PME ?
Risques
Quels sont les risques majeurs du projet présenté et de quelle nature sont-ils: commerciaux, industriels, financiers ? Existe-t-il des risques mineurs ou facteurs négatifs risquant de retarder la réalisation dans le timing fixé à l’avance ?
· Quelles sont les actions possibles sur les frais fixes? sur les frais variables?
· En dessous de quel niveau d’activité la survie de l’entreprise est-elle compromise ?
Opportunités
Quelles sont à l’inverse, les opportunités qui pourraient se présenter permettant soit d’améliorer un développement compromis par les difficultés au départ, soit d’accélérer la croissance et de réaliser en quatre ans ce qui était prévu en cinq ?
11. Annexes (nombre de pages variables)
Elles contiennent tous documents indispensables à la compréhension du plan:
§ Les derniers bilans lorsque l’entreprise existe déjà;
§ Une documentation commerciale sur les produits;
§ Un texte de brevet ou un accord commercial important;
§ Les états financiers détaillées concernant le plan, à cinq ans avec comptes d’exploitation prévisionnels par trimestre les deux premières années puis par semestre, bilans, plans de financement, plans de trésorerie: dans les cas de créations d’entreprise, un grand niveau de détail est indispensable pour ce qui concerne la trésorerie (encaissements, décaissements, découverts…);
§ les devis des équipements à acquérir;
§ Et surtout, les CV des dirigeants, fondateurs et membres de l’équipe.
12. Les références
Dans les cas de création d’entreprise, une liste de références concernant les personnes clés, les fondateurs, les managers, les membres de l’équipe ainsi que les références des clients qui achètent déjà le produit ou qui vont acquérir le produit nouveau. Les investisseurs devront appeler ou rencontrer ces références pour discuter des individus et des produits.
Remarques
Le Plan ne contiendra pas tout cela: il deviendrait illisible. Mais c’est le genre de questions que vont poser les investisseurs et il appartiendra au dirigeant de sélectionner les points essentiels pour les inclure dans le plan.
Tunis Club des TIC