La ville de Hammamet a accueilli aujourd'hui, 10 juin 2008, les participants à la 5ème réunion ordinaire du réseau des instances arabes de régulation des télécommunications et des technologies de l'information, organisée sous l'égide de l'Instance Nationale des Télécommunications. A l’issue de cette réunion, la Tunisie a pris le relais de la présidence du réseau jusque-là détenue par Bahreïn.
Ce réseau a été créé en 2003 en Algérie. Il compte environ une vingtaine d'instances arabes de télécommunications. Sa création vise à construire un terrain d'échange entre les pays arabes pour une éventuelle promotion du secteur des télécommunications dans le monde arabe.
Les principaux points abordés, lors de la réunion, portent sur l'infrastructure relative aux Technologies de l'information et de la communication et les solutions envisageables pour son exploitation commune.
Il a été aussi sujet du dégroupage de la boucle locale. Une opération révolutionnaire qui permettrait aux opérateurs de louer les lignes et les fréquences d'un opérateur. Cette pratique, opérationnelle déjà en Europe, vise à réduire le monopole d'un seul opérateur sur le marché, en permettant à ses concurrents de sous-louer ses lignes téléphoniques et d'offrir des services concurrents. Dans le monde arabe, cette pratique n'est pas encore répandue. Au cours de la réunion, seuls les Marocains, les Jordaniens et les Algériens ont présenté quelques esquisses de leurs expériences.
Ce réseau a été créé en 2003 en Algérie. Il compte environ une vingtaine d'instances arabes de télécommunications. Sa création vise à construire un terrain d'échange entre les pays arabes pour une éventuelle promotion du secteur des télécommunications dans le monde arabe.
Les principaux points abordés, lors de la réunion, portent sur l'infrastructure relative aux Technologies de l'information et de la communication et les solutions envisageables pour son exploitation commune.
Il a été aussi sujet du dégroupage de la boucle locale. Une opération révolutionnaire qui permettrait aux opérateurs de louer les lignes et les fréquences d'un opérateur. Cette pratique, opérationnelle déjà en Europe, vise à réduire le monopole d'un seul opérateur sur le marché, en permettant à ses concurrents de sous-louer ses lignes téléphoniques et d'offrir des services concurrents. Dans le monde arabe, cette pratique n'est pas encore répandue. Au cours de la réunion, seuls les Marocains, les Jordaniens et les Algériens ont présenté quelques esquisses de leurs expériences.
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