La 5ème réunion ordinaire du réseau des instances de télécommunications s’est tenue le 11 juin à Hammamet. Pour l’occasion, la Tunisie a été nommé présidente du réseau. L’ambition étant d’élaborer une stratégie commune de régulation du marché des télécommunications entre les pays membres.
Durant le mandat tunisien à la tête du réseau, un plan d’action a été mis en place pour orienter, en premier lieu, l’engagement des membres vers l’adaptation du dégroupage de la boucle locale. En effet, cette opération permet à des opérateurs alternatifs de sous-louer des lignes téléphoniques à un opérateur dominant. Ils peuvent, ainsi, exploiter totalement ou partiellement ces lignes en soumettant leurs propres offres et en accédant à ses abonnés.
Cette pratique vise à réduire le monopole d’un seul opérateur sur le marché, en ouvrant la voie à ses concurrents. En Europe, elle est déjà régie par une loi qui oblige les opérateurs historiques à louer une part de leur infrastructure à des opérateurs alternatifs afin qu’ils puissent installer leurs équipements et émettre des offres concurrentielles. Dans le monde arabe, l’adoption de ce processus est une première étape vers la libéralisation du marché des télécommunications.
Le plan d’action du réseau arabe comprend la gestion des noms de domaine Internet. Une démarche qui encouragera la fabrication du contenu et l’augmentation du nombre de sites Internet. Ajoutons à cela, la question du transport des numéros, une procédure qui permettra à ses utilisateurs de sauvegarder leurs numéros en cas de changement d’emploi. Ceci aura pour conséquence de renforcer la concurrence et de faciliter l’accès de nouveaux employeurs sur le marché.
Il a été, aussi, question de l’accès aux services des télécommunications auprès des handicapés, la lutte contre les spams, la qualité des services, des offres commerciales et du rôle des instances de régulation.
Il s’est agi également d’échange d’expériences déjà en cours en Europe et dans certains pays arabes tels que le Maroc et la Jordanie. Au Maroc, le dégroupage partiel a commencé depuis 2007, et il sera total aura lieu en juillet prochain.
En Jordanie, le processus a débuté depuis 2004, mais il n’a concerné que les lignes fixes. Actuellement, une consultation est en cours pour l’application définitive du dégroupage et la participation dans l’infrastructure télécoms.
Durant le mandat tunisien à la tête du réseau, un plan d’action a été mis en place pour orienter, en premier lieu, l’engagement des membres vers l’adaptation du dégroupage de la boucle locale. En effet, cette opération permet à des opérateurs alternatifs de sous-louer des lignes téléphoniques à un opérateur dominant. Ils peuvent, ainsi, exploiter totalement ou partiellement ces lignes en soumettant leurs propres offres et en accédant à ses abonnés.
Cette pratique vise à réduire le monopole d’un seul opérateur sur le marché, en ouvrant la voie à ses concurrents. En Europe, elle est déjà régie par une loi qui oblige les opérateurs historiques à louer une part de leur infrastructure à des opérateurs alternatifs afin qu’ils puissent installer leurs équipements et émettre des offres concurrentielles. Dans le monde arabe, l’adoption de ce processus est une première étape vers la libéralisation du marché des télécommunications.
Le plan d’action du réseau arabe comprend la gestion des noms de domaine Internet. Une démarche qui encouragera la fabrication du contenu et l’augmentation du nombre de sites Internet. Ajoutons à cela, la question du transport des numéros, une procédure qui permettra à ses utilisateurs de sauvegarder leurs numéros en cas de changement d’emploi. Ceci aura pour conséquence de renforcer la concurrence et de faciliter l’accès de nouveaux employeurs sur le marché.
Il a été, aussi, question de l’accès aux services des télécommunications auprès des handicapés, la lutte contre les spams, la qualité des services, des offres commerciales et du rôle des instances de régulation.
Il s’est agi également d’échange d’expériences déjà en cours en Europe et dans certains pays arabes tels que le Maroc et la Jordanie. Au Maroc, le dégroupage partiel a commencé depuis 2007, et il sera total aura lieu en juillet prochain.
En Jordanie, le processus a débuté depuis 2004, mais il n’a concerné que les lignes fixes. Actuellement, une consultation est en cours pour l’application définitive du dégroupage et la participation dans l’infrastructure télécoms.
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