mardi 30 septembre 2008

Aid Moubarek à toutes et à tous

Tunisie:secteur des TIC, croissance rapide qui touche aussi bien les entreprises que le grand public.

AudinetTunisie.Les résultats enregistrés dans le secteur des TIC durant les premiers mois de l'année 2008, ont fait ressortir le renforcement de la part des TIC dans le PIB pour atteindre près de 10% contre 9% en 2007.
Il se dégage aussi une croissance rapide ayant touché toutes les branches d'activités aussi bien au niveau des entreprises qu'à l'échelle du grand public.
L'accroissement des abonnés aux réseaux de la téléphonie mobile est l'un des principaux indicateurs quantitatifs enregistrés durant les huit premiers mois de l'année 2008.
En effet, à la fin du mois d'août 2008, on a atteint 8 millions 375 mille abonnés contre 7 millions 424 mille abonnés pour la même période de l'année 2007, soit une augmentation d'un million d'abonnés additionnels en l'espace d'une année.
La densité téléphonique se situe de près de 81 abonnés pour 100 habitants soit un niveau parmi les taux les plus élevés en Afrique.
S'agissant de la qualité de service de la téléphonie mobile, elle a enregistré une nette amélioration par rapport à la même période de l'année écoulée à la faveur de programme d'actions entrepris. La congestion se situe à 1.8% environ contre 16% une année auparavant.
S'agissant de l'Internet, le nombre des utilisateurs Internet en Tunisie ne cesse d'augmenter pour atteindre 2,3 millions fin août 2008, contre 1,6 millions pour la même période de 2007, soit une progression de 39%.
En particulier, le nombre des abonnés ADSL a atteint 166 mille en août 2008, contre seulement 83 mille à la même période en 2007.
La structure des abonnés haut débit a connu une évolution remarquable. Le nombre des abonnés ayant un débit supérieur à 512 kb/s touche le seuil de 39,6%, contre seulement 12,2 pc durant la même période de l'année dernière.
Plus précisément, les abonnés connectés à un débit supérieur à 1 Mb/s sont au total 26 000, contre 5150 abonnés durant la même période de l'année dernière.
L'offre de services Wimax a permis en 2008 à de plus de 700 entreprises de bénéficier de l'Internet haut débit.
Les abonnés au réseau de transmission de données par satellite VSat a atteint 420 sociétés dont notamment des entreprises exportatrices de logiciels et des systèmes informatiques et des centres d'appels.
Dans ce cadre, la capacité de connexion de la bande passante au réseau international d'Internet a été renforcée pour accompagner la grande dynamique de l'utilisation de l'Internet en Tunisie.
En effet, la capacité de connexion de notre pays au réseau international d'Internet a été doublée en 2008 pour atteindre 5,1 GBit/s contre 2,4 GBit/s pendant la même période de l'année écoulée.
Le rythme de création des sites web s'est nettement accéléré en Tunisie et il a connu une évolution de l'ordre de 17% durant les 8 premiers mois de 2008.
En effet, le nombre de sites est passé de 5409 fin août 2007 à 6 323 pour la même période de 2008.
Le parc informatique en Tunisie a connu une progression pour atteindre 810 000 unités à la fin du premier semestre 2008, contre 767 500 à la fin de l'année 2007 et seulement 635 000 à la fin 2006, soit une évolution de 27,5% durant 20 mois.
Pour accompagner la grande dynamique de l'économie immatérielle nécessitant le développement de la sécurité des réseaux et de plate-forme électroniques à l'échelle des entreprises, l'Agence Nationale de la sécurité informatique a vu son activité se renforcer en matière d'agrément d'auditeurs informatiques dont leur nombre a évolué de 55% pour atteindre 160 auditeurs fin août 2008, contre seulement 103 en 2007.
L'année 2008 a été aussi caractérisée par le lancement pour la première fois de l'agrément des entreprises privées dans le domaine de la sécurité et de l'audit des systèmes informatiques, en vue de d'assister les différents secteurs dont les activités se basent sur les réseaux et les applications informatiques.
Il s'agit d'un domaine prometteur se caractérisant par un riche contenu en matière d'investissement et de création de projets.
C'est aussi le cas de la certification électronique qui a enregistré au cours de cette année une évolution remarquable pour accompagner le développement des services électroniques à distance destinés aux citoyens et aux entreprises.

Le nombre des certificats de signature électronique a doublé pour atteindre 2 575 certificats contre 1 194 certificats seulement durant la même période en 2007.
En ce qui concerne le volet juridique, cette année a connu la parution d'un grand nombre de textes juridiques et réglementaires visant à consolider le climat d'investissement en Tunisie et l'accélération du rythme de création de projets.
Dans ce cadre, l'amendement du code des télécommunications a permis d'améliorer le climat de la concurrence, le déploiement des réseaux et le développement des services.
Cette année a été également marquée par la mise en œuvre de la décision présidentielle visant la modernisation et la diversification des services à travers notamment la voix dur IP (VolP).
Le cadre technique et réglementaire y afférent a été publié en date du 21 juillet 2008 ayant pour effet de contribuer à la réduction des coûts des services de télécoms, l'amélioration de la compétitivité des entreprises et la promotion des investissements étrangers, outre le développement des infrastructures des télécommunications.
L'environnement des affaires a été enrichi aussi par la publication d'un cadre ayant introduit des simplifications des procédures d'importation d'équipements et de systèmes électroniques.
Dans le domaine de l'économie numérique, des efforts ont été consentis en vue de promouvoir davantage d'investissement et la création de l'emploi au niveau des activités liées au secteur des technologies de l'information et de la communication.
La Tunisie a misé, dans cette optique, sur les opportunités offertes par l'économie du savoir pour la promotion de l'investissement, de l'emploi et de l'exportation à travers le développement d'un réseau de cyberparcs dans toutes les régions dont 7 centres sont en exploitation dans les régions du Kef, Siliana, Monastir, Kasserine, Gafsa, Kairouan, et Hammam Sousse.
Les travaux de construction des cyberparcs dans les régions de Sidi Bouzid, Béja, Jendouba, Kébili, Tataouine, Medenine, Zaghouan et Tozeur connaissent un avancement accéléré.
Par ailleurs, l'année 2008 a été marquée par le lancement du programme de connexion de 54 zones industrielles et des zones de services administratifs et économiques devant permettre à environ 1 600 entreprises à se connecter aux réseaux de télécommunications modernes en fibres optiques et de bénéficier ainsi, selon leurs besoins, du haut débit qui peut aller de 2 Mbit/s jusqu'à 1 GBit/s.
Ce projet a franchi une importante étape dans sa mise en exécution. Son achèvement est prévu vers la fin de l'année courante.
L'attrait du site tunisien pour l'implantation des entreprises étrangères exerçant dans le domaine des Technologies de l'information et de la communication se développe rapidement.
Dans ce contexte, le nombre des centres d'appels a connu un évolution remarquable et plus particulièrement les centres destinées aux marchés extérieurs.
En effet, le nombre de ces centres a évolué de 46% et le volume d'emploi a progressé de 51%. Le nombre des centres d'appels a atteint 185 centres fin août 2008 offrant ainsi environ 16 000 postes d'emplois surtout pour les titulaires des diplômes universitaires, contre 127 centres et 10 600 postes d'emplois durant la même période de l'année précédente.
Le pôle El Ghazala des technologies de la communication a vu pour sa part son activité s'accélérer en abritant 12 nouvelles entreprises permettant de porter le nombre total des sociétés TIC privées implantées au pole a 64 entreprises offrant près de 1 430 emplois pour les ingénieurs et cadres.

lundi 29 septembre 2008

La voix IP pour les centres d'appels, les entreprises TIC, les administrations, les sociétés multi-site et le grand public.

Tunisia-it.Le workshop sur ''le service de téléphonie à travers le protocole internet (VOIP)'' organisé vendredi par le ministère des Technologies de la communication, en partenariat avec Tunisie-Télécom et Divona-Télécom, a permis de lever le voile sur les règles en vigueur et sur les bénéficiaires de ce service.
Rappelons que les travaux de ce workshop se sont déroulés au pôle El Ghazala et ont été présidés par El Hadj Gley, ministre des technologies de la communication, en présence de Mme Lamia Chafeï, secrétaire d'état chargée de l'informatique, d'internet et des logiciels libres et de Montassar Ouali, président directeur général de Tunisie Télécom.
Plusieurs spécialistes, experts et chefs d'entreprises opérant dans les TIC ont également marqué de leur présence cet événement.
Ainsi, le ministre a annoncé aux présents que ce service sera dédié notamment aux centres d'appels, aux entreprises dont l'activité se base sur les technologies de la communication, aux administrations et aux sociétés multi-sites à l'instar des banques, des organisations internationales résidentes sur le territoires tunisien. Le grand public ne sera pas non plus en reste puisqu’il bénéficiera de ce service dans le cadre des offres commerciales présentées par les fournisseurs des réseaux de télécommunications, sous forme de packages forfaitaires, englobant les services d'Internet et de téléphonie.''Le nouveau cadre réglementaire et technique, relève le ministre des technologies de la communication, instaure l'obligation aux opérateurs des réseaux publics de communications d'offrir ce service conformément aux normes techniques internationales en vigueur et d'assurer la sécurité des réseaux'', a souligné El Hadj Gley.
''Les opérateurs sont appelés dans ce cadre à utiliser les protocoles H323 ou SIP pour le transfert des signaux et à assurer la sécurité des réseaux exploités par les administrations et les entreprises contre des éventuelles intrusions'', a-t-il ajouté.
A noter qu’une exposition des fournisseurs de solutions, des plates-formes soft et hard, d'opérateurs, et d'intégrateurs potentiels a été organisée en marge du workshop.

Et voila windows 7 .....

Sur le blog MSN dédié aux développeurs, Microsoft explique qu'une première version d'évaluation de Windows Seven (Windows 7) sera diffusée à l'occasion de la Professional Developers Conference (27 au 30 octobre à Los Angeles). La bêta 1 est annoncée pour décembre.
En attendant, une « pré-bêta » sera donc disponible. Il faudra cependant la prendre avec des pincettes, comme l'ensemble des logiciels en version "bêta" proposée sur la toile. D'ailleur le Secretariat Général de la Défense Nationale s'en est fait l'écho, la semaine derniére sur son site Internet.
"La disponibilité immédiate d’un nouveau logiciel destiné au grand public ne doit pas dispenser de prendre des précautions quand ce logiciel n’est pas stabilisé, indique le SGDN, De manière générale, il est recommandé de ne pas installer ni utiliser, sauf à des fins de tests dans des environnements spécifiques, des logiciels entièrement nouveaux ou présentés dans une nouvelle version majeure, dès leur mise à disposition par l’éditeur. La même recommandation s’applique, encore davantage, aux pré-versions (aussi appelées versions de test ou versions bêta), qui par définition ne sont pas cautionnées par le fournisseur, lequel souhaite profiter des retours de la communauté informatique pour stabiliser une version définitive."
Le Secretariat Général de la Securité Nationale note d'ailleurs trois logiciels à prendre en main avec méfiance : "la première version de test (bêta) du navigateur internet Chrome de la société Google destiné aux systèmes d’exploitation Windows XP et Vista. Depuis sa publication, plusieurs vulnérabilités, dont certaines ont déjà été corrigées, ont été identifiées; de la seconde version de test (bêta) du navigateur Internet Explorer 8 de la société Microsoft, et le SGDN de conclure avec, la première version bêta du navigateur internet Opera 9.6 de la société Opera Software."

Effacer l´identifiant de Google Chrome

Zataz.com.Le navigateur Internet de Google, Chrome, installe dans votre ordinateur un traceur. Voici comment l´effacer.

Seulement trois semaines après sa diffusion, le navigateur-web de Google, est déjà en baisse de régime. Les chiffres parlent, 0,77% des internautes utilisent l'application Google, contre 0,85 %, la semaine dernière.

Vince Vizzaccaro, vice président des marchés en matière d'application web, déclare que "Chrome risque de voir sa popularité baisser et les chiffres hebdomadaires le reflètent parfaitement, bien que son utilisation ai été au dessus de 1% durant quelques heures après sa sortie".

Malgré cela, la sortie du navigateur a eu un impact sur ses concurrents: Firefox, Opéra et Netscape ont vu leur utilisation en diminution dés le 2 septembre, date de sortie de Chrome. Comme ses prédécesseurs, Chrome ne se voit pas préféré à Internet Explorer dans les entreprises et les administrations. Deux entités qui n'autorisent pas leurs employés à utiliser une alternative à l'outil Microsoft.

La difficile progression du butineur Google s'explique sans doute par la faible promotion autour du du navigateur indique Vizzacaro "Le seul effort marketing que j'ai vu, indique-t-il, était dans les liens sponsorisés de Google".

Il faut bien sur rappeler que pour l'instant, Chrome n'est qu'une version bêta. Un outil qui reste, pour ce qui concerne la sécurité, encore très vacillant.

Pour preuve, le numéro d'identification qui se cache dans chaque installation. Google sauvegarde un identifiant unique, dans votre ordinateur, lors de la mise en place de Chrome.

Cet identifiant est-il dangereux ? Google indique ceci dans sa page liée à la confidentialité Google Chrome : "Votre copie de Google Chrome inclut un ou plusieurs numéros d'application uniques. Ces numéros, ainsi que les informations relatives à l'installation de votre navigateur (par ex., numéro de version, langue), sont envoyés à Google lorsque vous installez et utilisez le produit pour la première fois et lorsque Google Chrome recherche automatiquement les mises à jour. Si vous choisissez de transmettre à Google des statistiques d'utilisation et des rapports d'erreur, le navigateur nous envoie également ces informations avec un numéro d'application unique. Les rapports d'erreur peuvent contenir des informations issues de fichiers, d'applications et de services qui étaient en cours d'exécution au moment du dysfonctionnement. Nous exploitons ces rapports d'erreur pour établir un diagnostic et essayer de résoudre les problèmes du navigateur. (...) Les informations que Google reçoit lorsque vous utilisez Google Chrome sont exploitées afin d'améliorer le fonctionnement de Google Chrome et des autres services Google."

Exemple d'utilisation d'information par Google
Voici un exemple d’entrée de journal pour une requête, via Google et Google Chrome, portant sur le mot « ZATAZ », suivie par une explication de ces différents éléments proposée par le géant américain :

123.45.67.89 - 23/Sep/2008 10:15:32 - http://www.google.fr/search?q=zataz - Firefox 1.0.7; Windows NT 5.1 - 740674ce2123e969. Pour Chrome il est de cette forme A12345678-12A4-1A34-123A-1ABCD23E45F6

* 123.45.67.89 désigne l’adresse IP attribuée à l’utilisateur par son fournisseur d’accès Internet. Selon le type d’accès utilisé, l’utilisateur est susceptible de se voir attribuer une adresse IP différente par son fournisseur à chaque connexion à Internet ;

* 23/SEP/2008 10:15:32 désigne la date et l’heure de la requête ;

* http://www.google.fr/search?q=zataz désigne l’URL demandée, contenant dans le cas présent, l’objet de la requête ;

* Firefox 1.0.7; Windows NT 5.1 désigne le navigateur et le système d’exploitation utilisés; et

* 740674ce2123a969 est le code unique du cookie attribué à un ordinateur donné lors de la première visite de l’utilisateur sur Google.

Les utilisateurs peuvent supprimer les cookies, auquel cas un nouveau cookie sera attribué lors d’une prochaine visite sur Google à partir du même ordinateur.

Un peu de Mercure au Chrome !
Deux possibilités pour annuler l'ID de Chrome. Pour ceux qui ne veulent pas utiliser un logiciel tiers pour effacer cet ID, il est possible de mettre les mains dans la pâte pour éradiquer manuellement ce numéro d'identification. Avec le bloc-note de votre choix, allez chercher le fichier User Data dans le répertoire Chrome. Il suffit d'effacer le code inscrit dans la partie : "user_experience_metrics", ligne "client_id". Le code est sous cette forme "A12345678-12A4-1A34-123A-1ABCD23E45F6". Attention, les mises à jour possible de Chrome pourra certainement remettre cet identifiant en place. Pour ceux qui ne veulent pas tripatouiller les fichiers de Chrome, un logiciel édité par une société allemande, AbelsSoft, propose de l'éradiquer. Il se nomme UnChrome.

Sans l'apport des TIC, la CNAM risque de sombrer dans une gestion de plus en lourde

G.skander.tunisieaffaire.Le système de la CNAM reste l'un des plus importants projets initié par le Président Ben Ali. En effet, nul avant lui n'a voulu ou pu s'attaquer à un sujet difficile, complexe et coûteux…
Mais après avoir résolue des problématiques plus urgentes, comme l'éducation, le logement, l'accès à l'eau et à l'électricité, la réduction de la pauvreté et le développement de l'infrastructure, il reste à la Tunisie deux défis majeurs à relever : la réduction du chômage et l'amélioration du système de santé.
Donc, nul ne doute que la CNAM est un très grand acquis, un pas géant pour tous les tunisiens, du moins dans sa philosophie et sa conception d'origine. Sachant au passage qu'un système de santé et par définition coûteux, complexe et lourd dans sa mise en oeuvre et acceptant que dans le démarrage, il est tout a fait normal d'observer des lacunes, des dysfonctionnements, des retards et même des aberrations, mais ce système est-il réellement viable à moyen et long terme ?
On pense que la CNAM risque d'échouer à cause de 3 facteurs majeurs:
Tout d'abord, la CNAM a échoué pour le moment du moins à relancer le système privé de santé, dans le sens où du fait du faible plafond annuel de remboursement de 200 DT par personne et de 50 DT par personne ayant droit par an. 70% des tunisiens ont choisi et à titre logique le système de santé public, donc ce qui ne contribue ni à désengorger les hôpitaux, ni améliorer les prestations de soins dans la filière publique.
Deuxièment, en l'absence d'un système informatisé en temps réel et une gestion de système de santé par carte intelligente, il sera impossible de mettre en place le système du tiers payants.
En effet, plusieurs affiliés conscients de cette lacune du suivie du plafond de remboursement annuel, ont consommé 3 à 5 fois leurs plafonds autorisés, et ce, sans que le prestataire de soins ne peut le vérifier où la CNAM s'y opposer en temps réel.
Conséquence : les prestataires de soins devant le refus de la CNAM de les rembourser, refusent d'appliquer et à juste titre le système du tiers payants. Outre la complexité de suivi, la lourdeur de remboursement, la perte de dossiers et l'accumulation des demandes.
Troisièmement, sans la mise en place d'une Agence CNAM virtuelle, il sera impossible d'accueillir, de traiter et de répondre aux besoins de 10 millions d'affiliés, de plus en plus nombreux dans les agences CNAM et ce pour n'importe quel service.
Faut-il faire la queue pour retirer un formulaire ? Ou vérifier son remboursement ? Ou avoir un relevé de suivie du plafond annuel ?
Pourquoi ne pas mettre en place un portail sécurisé ? Où le citoyen peut sans se déplacer retirer n'importe quel formulaire, ou suivre l'avancée de son dossier, ou de son règlement, imprimer son relevé de compte santé, ou encore faire une requête.
Sans l'apport des TIC, la CNAM risque de sombrer dans une gestion de plus en lourde et de plus en plus coûteuse et d'être inefficace.
On doute de la gestion de la CNAM car le budget alloué aux TIC dans cette institution est dérisoire, en dessous d'un budget d'investissement annuel dans les TIC de 5 millions de DT, la CNAM ne sera jamais viable, du moins à notre point de vue !

vendredi 26 septembre 2008

Rapport 2008 de l’ONU sur le e-gouvernement, Tunisie 124éme mondiale sur 183 pays.

Selon le rapport 2008 de l’ONU sur le e-gouvernement, qui classe 183 pays en fonction de diffèrents critères tels que les services administratifs en ligne, sites gouvernementaux, monnaie électronique ou paiement en ligne et mesure pour chaque ةtat l’avancement des technologies de l’information et leur utilisation pour améliorer l’accès aux services publics, la Suède arrive en tête du classement, suivis par le Danemark, la Norvège, les Etats-Unis, la Hollande et la Corée du Sud qui devance les autres ةtats asiatiques.
La Tunisie est à la 124e place mondiale sur 183 pays, 13è place arabe devant le Maroc, l’Irak, Djibouti, le Soudan et le Yémen.Les EAU à la tète des pays arabes suivi par Bahrain, Jordanie, Qatar, Koweït, Arabie SAOUDITE. Liban, l’Egypte, Oman, La Syrie, La Libye et l’Algérie…



L'e-Gouvernement (e-Government), désigne l'utilisation des technologies de l'information et de la communication (TIC) par les administrations publiques visant à rendre les services publics plus accessibles à leurs usagers et à améliorer leur fonctionnement interne.Contrairement à ce que l'apposition du e- pourrait laisser penser, il ne s'agit pas simplement d'utiliser l'Internet en lieu et place des moyens de communication papier ou d'informatiser les procédures existantes, mais de les repenser pour améliorer la productivité de l'administration et les services rendus aux usagers.

Tunisie : Retard dans l'utilisation d'internet

G.SKANDER.tunisieaffaire.Malgré les 80 millions de SMS envoyés chaque années, les 6.200 sites web opérationnels, les 700 connexions wimax, les 175 centres d'appel et surtout les 8.120.000 abonnés au GSM, l'internet accuse toujours un retard important.
De ce fait, il n'arrive pas à atteindre le seuil de 500.000 d'utilisateurs, malgré les affirmations des uns et des autres, en l'absence d'un système de comptabilisation fiable.
Si le secteur des TIC progresse globalement à raison de +20% par an, ce n'est pas le cas de l'internet avec 1.200.000 lignes fixes. Il est difficile d'imaginer qu'on a atteint les 2.068.000 utilisateurs, il faudra dans le cas contraire nous présenter le moyen de calcul et de comptabilisation, qui reste empirique et qui ne traduit pas la réalité.

Certes, la Tunisie a fait des pas géants dans les TIC et spécialement dans les télécoms et particulièrement le GSM, avec une densité téléphonique de 80 abonnés pour chaque 100 habitants, mais le retard dans l'utilisation d'internet reste très important, et ce, en raisons des :
Coûts toujours élevés ; Limitation des lignes fixes et de l'ADSL ; Le coût d'équipement en PC ; La qualité médiocre de connexion et la mauvaise qualité de service ; L'absence des opérateurs télécoms du marché internet ; La médiocrité de l'infrastructure internet surtout celle des l'ATI et de certains providers ; La rareté des services web tunisiens et du contenu.
Le seule salut viendrais par les 8.120.000 utilisateurs de GSM, au cas où il y aura généralisation systématique et gratuite du service internet mobile.

Best global brands 2008 : Le classement des meilleures marques mondiales 2008 est le reflet de la situation économique internationale


Les marques Coca-Cola conservent leur première place. La marque Google monte en flèche. Celle de Merrill Lynch dégringole .
Google, Apple, Amazon.com, Zara et Nintendo occupent certaines des plus hautes places dans le classement annuel d'Interbrand consacré aux meilleures marques mondiales (The Best Global Brands). Sans grande surprise, les géants des services financiers comme Merrill Lynch, Citi et Morgan Stanley viennent grossir les rangs des sociétés qui ont chuté de manière drastique et qui se retrouvent au bas de la liste.
Coca-Cola (No. 1) demeure la meilleure marque mondiale pour la huitième année consécutive. IBM a opéré un changement notoire en se glissant en deuxième position du classement de cette année, reléguant de la sorte Microsoft à la troisième place. Google fait aussi son entrée dans le top 10 des marques en occupant la dixième place alors qu'elle était vingtième en 2007.
Le classement des meilleures marques mondiales 2008 est le reflet de la situation économique internationale : l'actuelle crise des crédits aux Etats-Unis, la progression des marchés émergents et l'importance accrue de la durabilité sont autant de facteurs clés qui ont eu des répercussions sur la position des marques dans la liste , a commenté Jez Frampton, PDG mondial d'Interbrand. En raison de l'incroyable complexité de l'économie mondiale, la protection et le développement d'une marque s'avèrent indispensables. C'est l'atout majeur d'une société, un atout bien moins fugace que d'autres à une époque d'incertitude économique.
Les remous au sein du classement des meilleures marques mondiales 2008 confirment que les tumultes des marchés du crédit ont des répercussions sur les principales marques des services financiers, dont Merrill Lynch (No. 34) et Citi (No. 19). Cependant, certains des leaders industriels solides ont survécu, comme par exemple HSBC (No. 27) et les sociétés de cartes de crédit Visa (qui a fait son entrée dans la liste au No. 100) et American Express (No. 15) ont pu surmonter la crise des crédits grâce à la fiabilité de leur marque.
Ford (No. 49) et Gap (No. 77) sont deux des marques qui ont fortement chuté dans la liste 2008. Mais des nouveaux venus de taille sont entrés en scène : H&M (No. 22), Thomson Reuters (No. 44), BlackBerry (No. 73), Giorgio Armani (No. 94), Marriott (No. 96), FedEx (No. 99) et Visa (No. 100).
La croissance des marchés émergents a eu un impact considérable sur le classement de cette année. Les clients de ces marchés accumulent les richesses et n'hésitent pas à les étaler ; les marques de luxe les distinguent comme appartenant à la nouvelle élite. Des sociétés telles que Porsche (No. 75), Ferrari (No. 93) et Prada (No. 91) ont rencontré un énorme succès dans les marchés émergents du monde entier.
Rien de surprenant à ce que la durabilité soit un des moteurs de la valorisation des marques dans l'ensemble des secteurs, depuis l'automobile jusqu'aux biens de consommation en passant par les services financiers. Des fabricants automobiles comme Honda (No. 20) et Mercedes (No. 11) sont en passe de créer des modèles innovants et économes en carburant. Honda est le seul fabricant automobile à afficher de meilleures ventes aux Etats-Unis cette année (en juin 2008) que l'année passée. Des sociétés comme GE (No. 4) et BP (No. 84) ont vu leur marque prendre de la valeur après avoir investi une importante somme d'argent dans des pratiques commerciales durables. BP travaille sur les énergies vertes et investit dans les sources d'énergie durables, et occupe une position de leader en la matière, ce qui lui a permis de grimper dans le classement.
En période de troubles économiques, les affaires ne s'arrêtent pas. Les sociétés peuvent éprouver des difficultés, mais les achats et les ventes se poursuivent contre vents et marées , signale M. Frampton. La plupart des meilleures marques mondiales en sont conscientes. Elles en sortent plus fortes et plus sûres d'elles, prêtes à faire concurrence aux autres. La clé du succès, que ce soit à l'époque des vaches maigres ou des vaches grasses, se résume comme suit : comprendre comment une marque crée de la valeur.
Le rapport d'Interbrand sur les meilleures marques mondiales 2008 sera publié en ligne à l'adresse suivante : www.interbrand.com. Un rapport spécial concocté conjointement avec BusinessWeek sera disponible sur le site : www.businessweek.com jeudi 18 septembre à 18h00 (HAE) et dans les kiosques à journaux le lundi 22 septembre. Les résultats feront également l'objet de discussions lors de l'Advertising Week 2008 au cours du congrès BusinessWeek Best Global Brands le lundi 22 septembre au Times Center (242 W. 41st Street) à New York.
Méthodologie et résultats des meilleures marques mondiales 2008
Pour figurer dans le classement des meilleures marques 2008 de BusinessWeek/Interbrand, un tiers au moins des gains doit avoir été réalisé dans un pays autre que le pays d'origine de la marque ; par ailleurs, celle-ci doit être reconnue par d'autres que sa clientèle et, enfin, elle doit rendre publiques ses données commerciales et financières. Cette méthodologie évalue la valeur de la marque de la même manière que les autres biens ; il s'agit de savoir ce qu'elle va rapporter à la société dans l'avenir. Interbrand recourt aux projections d'analystes, aux documents financiers de la société et à sa propre analyse quantitative et qualitative afin de parvenir à une valeur actualisée nette des gains.
À propos d'Interbrand
Interbrand, leader mondial de conseil en marques, allie la stratégie et l'analyse rigoureuses des services consultatifs de gestion avec l'esprit créatif et entrepreneurial du branding et du design. La société offre à ses clients une vaste gamme de services consultatifs portant sur la création, l'amélioration, l'entretien et l'évaluation de leur bien le plus précieux : leur marque. Fondée en 1974, Interbrand a des bureaux dans plus de 30 villes, dans plus de 20 pays et une clientèle des plus respectées dans le milieu des affaires. Pour plus d'informations, visitez le seul échange mondial en ligne sur le branding, produit par Interbrand : www.brandchannel.com.
À propos de BusinessWeek
BusinessWeek est une organisation des médias économiques de premier plan qui apporte des idées et des analyses incomparables à des leaders du monde des affaires. Le magazine BusinessWeek, fondé en 1929 et publié par McGraw-Hill Companies, est leader du marché avec plus de 4,8 millions de lecteurs chaque semaine dans 140 pays. On trouve des éditions locales en chinois, russe et indonésien. Lancé en 1994, BusinessWeek.com est un éminent fournisseur de nouvelles quotidiennes axées sur le monde des affaires, d'informations et de services s'adressant à ceux qui prennent des décisions. Chaque semaine, BusinessWeek Weekend, offre à ses spectateurs, soit 85 % des ménages américains, d'importantes nouvelles en matière d'affaires, de consommation et de finances.

Facebook l’américain au service d’un bonhomme vert tunisien, ou comment la pub Tunisienne fait place nette au Net .


Md FATEH.webmanager.Les spots publicitaires télévisés, particulièrement abondants en ce mois sacré, n’ont pas fini de faire des vagues... sur le Net ! Et pour cause. Les publicitaires semblent avoir (enfin) compris l’impact de l’iInternet quand il s’agit de capter l’attention des plus jeunes. Chocolat, biscuit, et autres barres de friandises plus ou moins sucrées choisissent de mettre en scène des personnages qui évoluent dans un monde branché, définitivement connecté.

Nos créatifs n’hésitent plus à caresser à rebrousse-poil pour titiller la population et aiguiser les appétits. Quoi de plus naturel quand il s’agit de produits alimentaires venus, à point nommé, assouvir la boulimie ramadanesque naturelle du tunisien. Personnages 3D, images de synthèse, pour un monstre vert (le bien nommé Lakhdhar) rapidement devenus culte dans la blogosphère et sur Facebook... Le web c’est aussi un style de vie. Et Internet est même mis en scène, avec un couple qui bavarde en ligne par le biais de MSN, se regardant pourtant dans les yeux grâce à la webcam... qui ne cache rien, même pas les biscuits.

Le Net fait donc vendre, et permet autant de clin d’œil à une jeunesse ciblée, en toute complicité. Autant dire que la pub tunisienne a franchi un palier. C’est clair : nous sommes bien loin des antiques pubs pour yaourt qui frisaient le ridicule. Pour faire place nette au Net.Un buzz infernal est lancé dans le petit monde des internautes tunisiens. Les pubs sont commentées, dégustées, appréciées. Le web permettant de répercuter les impressions des uns et des autres grossissant d’autant la boule de neige, grâce à des outils comme les blogs, les réseaux sociaux revenus plus forts que jamais sur la scène publique.

Facebook l’américain au service d’un monstre vert tunisien, il fallait y penser. Une chose est sûre : la sauce a pris, la mayonnaise a monté. Le parler bien de chez nous, avec des intonations typiquement tunisiennes a fait mouche. Dans un style délibérément jeune, sans pour autant verser dans la bêtise crasse. L’ironie est bien présente, se permettant même quelques coups de griffes au passage. Mieux : on n’hésite plus à taquiner ouvertement les travers de l’administration, avec notamment le trop fameux irja3 Ghodoua (revenez demain). On propose même de faire participer le public cible en l’enjoignant de devenir membre du club... des ajournés par les guichetiers. Les déboires des élèves, abonnés de nos transports publics, sont transformés en sketches. Au final, des saynètes tunisiennes loufoques, familières puisque tirées de notre quotidien. Et particulièrement sympathiques.Le plus curieux, c’est que nos portails sur le net, qui se sont imposés (bon an mal an) dans la sphère médiatique nationale comme des journaux respectables, avec une audience croissante peinent pourtant à capter de telles publicités. Il s’agit évidemment le plus souvent de portails économiques destinés aux cadres et décideurs, pas nécessairement friands de douceurs chocolatées. La masse reste malgré tout accrochée à la télé. Gageons que la manne (chocolatée) donnera des idées aux petits malins qui trouveront la formule pour proposer un contenu attirant une autre catégorie d’audience, et la pub qui va avec. Histoire de «siphonner» (en partie) les millions générés par ces spots. Qui profitent (encore) presque exclusivement à la télé.

Et en attendant, le monstre vert fait des ravages sur le Net !

Réveille-toi vieille France, ils sont devenus fous !


Ibtissem.webmanager.«Hello darling, I am visiting Chicago and Sears tower is fantastic, American people is very gentle and every thing is more cheaper than Paris; and ….”. Oh ! ça ne va plus, tu me parles en anglais maintenant ; après Pékin c’est Chicago et Paris, t’a oublié ou quoi, lui répondis-je dans la langue de Molière. Connaissant mes faibles connaissances de la langue de Shakespeare, elle m’expliqua que «pourquoi veux-tu que j’aille chez eux, que je dépense mon argent ? Ils ne veulent plus de nous c’est clair. Regarde par exemple on pouvait avant voir les films, Paris Première, apprécier le fin humour de Philippe Bouvard, les marionnettes de Canal plus étaient géniales, on était au courant de la mode, on suivait la pub et du jour au lendemain fini tout ça.

Il paraît qu’ils veulent mettre fin au piratage au Maghreb, on n’est pas Barberousse à ma connaissance, et s’ils ont parlé de piratage, ont-ils créé une cellule de crise au Quai d’Orsay puisque c’est à la mode ? Alors, ils nous coupent la télé et ils mettent à notre disposition l’insipide TV5 diffusée dans 87 pays –après tout, ça ne fait que 35% de diffusion– et cette chaîne est incolore, inodore et sans saveur et qui, malheureusement, n’étanche aucune soif, then we learn and speak english, spanish and chinese, whith these 3 languages more than 90% of the world understand us and when we add our mother langue , the french languange stay hexagonal ….

Zut, voilà que je me remets à parler en anglais ! Je suis d’accord avec ceux qui disent que nous sommes des pirates alors ; et les retombées économiques ? Faites le calcul : quand les gens qui obtiennent le visa dans les 3 pays du Maghreb par exemple qui représentent environ 300.000 personnes vont dépenser entre 3 et 5.000 euros par an, après avoir choisi les produits inspirés par la pub du bouquet qui s’est sérieusement fané , cela fera plus de un milliard d’euros de quoi couvrir les frais du RSA au lieu de prendre à Paul et donner à Pierre, et ça me rappelle une histoire de chéchia.

Réveille-toi vieille France, ils sont devenus fous !

jeudi 25 septembre 2008

Tunisie : Malgrés un vif ralentissement dans l’Union européenne, une croissance d’au moins 5 % sur les 3 prochaines années.


Fitch. PR. Comme nous l’avions rapporté hier, l’agence de notation Fitch Ratings vient de confirmer les notes souveraines et les perspectives stables de la Tunisie. Dans son rapport, Fitch estime que «l’économie et les finances tunisiennes ont fait preuve d’une très grande stabilité face aux nombreux chocs exogènes qui se sont produits ces dernières années », indique Charles Seville, directeur associé à la division Souverains de Fitch. Tout récemment, le gouvernement a été confronté à la forte hausse des prix alimentaires et du carburant, bien que ceux-ci aient baissé au deuxième semestre de l’année. La hausse des prix a entraîné celle des subventions mais le gouvernement a relevé les prix du carburant ce qui, associé au dynamisme des recettes fiscales, a permis de contenir le déficit budgétaire dans la limite des 3% du PIB.
La dette publique a également continué de baisser, bien qu’avec un ratio de 50,9% du PIB en 2007, elle soit la cinquième plus élevée dans cette catégorie de notation. La tendance demeure positive et le gouvernement continue à prodiguer ses efforts pour réduire la dette externe et limiter ainsi son risque de change. En fonction de l’évolution des recettes, une baisse des prix alimentaires et du carburant, associée à un relèvement progressif des subventions sur les prix domestiques des carburants procurerait au gouvernement des marges de manœuvre pour réduire plus rapidement son déficit budgétaire et ramener les ratios de dette à des niveaux plus proches de ceux des autres pays notés dans cette catégorie.
La Tunisie est confrontée à un vif ralentissement dans l’Union européenne, son principal débouché pour les biens et services et en pareil cas, l’expérience montre que la croissance sera modérée. Cependant, le flux d’investissements étrangers dans l’énergie, les infrastructures et l’industrie permettront de soutenir un taux de croissance d’au moins 5% sur les trois prochaines années, alors que le taux d’investissements étrangers directs est, à ce jour, sensiblement supérieur à celui des douze derniers mois. Dans l’ensemble, la production industrielle s’est bien adaptée à la disparition des barrières douanières (pour les produits non agricoles) avec l’UE et les secteurs à plus haute valeur ajoutée ont connu une forte croissance.
La Tunisie a enregistré un taux de croissance comparable à celui de la moyenne des pays notés ‘BBB’ ; elle est parvenue à éviter des déséquilibres importants du solde courant ainsi qu’une croissance excessive du crédit. La progression des crédits bancaires a été relativement modérée. Le secteur financier présente des indicateurs prudentiels moins favorables que ceux de la plupart des pays de la zone. Cependant, le stock élevé de créances douteuses, hérité du passé, est progressivement apuré et les banques reconstituent leurs provisions et leurs fonds propres.
Le déficit de la balance courante a été contenu et financé en grande partie par des investissements étrangers directs ces dernières années. Les excédents de la balance des paiements ont permis d’accroître les réserves en devises et de renforcer les comptes extérieurs du pays. Une liquidité extérieure plus abondante, ainsi qu’un système bancaire plus solide sont indispensables à l’ouverture du compte de capital de la Tunisie.
Parmi les facteurs de relèvement de la note, les principaux concernent la poursuite de la réduction de l’endettement public et le renforcement du secteur bancaire tout en maintenant un rythme soutenu de croissance.

Tunisie : Les 3 grands axes de la loi de finances 2009.

Un Conseil ministériel réuni, hier mercredi 24 septembre 2008, sous la présidence du Président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, a été consacré à l'examen des projets de Budget de l'Etat et de la Loi de finances pour l'exercice 2009.
Sur décision du chef de l’Etat tunisien, un projet de loi de finances complémentaire pour l'année en cours sera élaboré et comporte une augmentation des enveloppes allouées au titre de la compensation des hydrocarbures et des produits de consommation. Le Conseil a aussi examiné le projet de la loi de finances pour l'exercice 2009, dans ses différents volets, qui consistent en les mesures et les dispositions légales, classées par chapitre selon les trois axes.

- Le renforcement de la compétitivité des entreprises, l'incitation à l'investissement et la rationalisation des interventions des Sociétés d'investissement à capital de développement, tout en orientant davantage ces interventions vers les zones de développement régional.
- La multiplication des mesures à caractère social.
- La consolidation de l'efficacité du système fiscal dans le cadre du respect des impératifs de la transparence et de la justice. Le chef de l'Etat a réaffirmé toute l'importance qu'il attache à la poursuite de la réforme du système fiscal, recommandant de veiller à simplifier et à clarifier davantage les procédures, de manière à accroître les ressources propres du Budget de l'Etat et à maîtriser les grands équilibres financiers du pays.

mercredi 24 septembre 2008

Fitch Rating, confirme la note souveraine long terme de la Tunisie à BBB avec perspectives stables,le 23 septembre 2008,

L’agence de notation internationale Fitch Rating, vient de confirmer la bonne note de la Tunisie et ses perspectives stables. Dans une notation publiée hier mardi 23 septembre 2008, Fitch a confirmé la note souveraine long terme de la Tunisie à BBB avec perspectives stables. «L'économie de la Tunisie et des finances publiques en Tunisie, ont démontré une stabilité remarquable, malgré un certain nombre de chocs externes, pendant les années dernières", a dit le Directeur adjoint de «Fitch le Groupe Souverain » Charles Seville " qui est aussi l’un des auteurs du rapport de cette notation. Le rapport indique aussi que la dette publique de la Tunisie a continué à diminuer, même si son taux a atteint 50,9 du produit national brut en 2007. «Les Autorités tunisiennes s’activent à réduire le risque de change», écrit le rapport, ajoutant que le pays pourrait faire face à un ralentissement de l'activité économique de l'Union européenne, son marché principal pour des produits et des services».

Transparency International, nouvel index de la perception de la corruption 2008,La Tunisie : Ni bon ni mauvais.


Africanmanager.Une fois n’est pas coutume et profitant de la présence de la Bad en Tunisie qui y a consacré tout un rapport spécial, Transparency International a lancé son nouvel index de la perception de la corruption pour l’année 2008, à partir de Tunis. Cet indice annuel, classe 180 pays sur une échelle de 10 (pas de corruption du tout) à 0 (grande corruption) et donne la perception qu’ont les autres du degré de corruption qui existe dans le pays. La notation qui donne cette perception est généralement faite par des sources institutionnelles telles que la Bad, la Banque Mondiale, Freedom House, le World Economic Forum (Wef) ou le Merchant International Group (Mig).

La Tunisie : Ni bon ni mauvais.

Pour cette année encore, la Tunisie se trouve classée dans le «ventre mou» de l’index, là où la position n’est ni bonne ni mauvaise. Une position que la Tunisie occupe depuis quelques années. Dans cet index de la perception de la corruption (ICP) 2008, la Tunisie est classée à la 62ème place sur un ensemble de 180 pays classés, avec un score de 4,4 sur 10. Ce classement, à la même place que la Croatie et le Samoa, lui a été attribué après consultation de la perception de 6 institutionnels dont le Wef, du groupe de la Bad, de l’Economic Intelligence Unit et du Mig notamment. Dans le classement de l’ICP de l’année 2007, la Tunisie ni moins ni mieux lotie. A la 61ème place (sur un total de 179 pays dans le monde) qu’elle occupait avec Cuba et la Pologne, la Tunisie avait toujours un score de 4,2 sur 10. Commentant ce classement pour African Manager dans une interview qui sortira dans une prochaine édition, Peter Eigen co-fondateur de Transparency et président de son comité consultatif, estimait que la Tunisie, pays moderne et en développement, mériterait un meilleur classement. Il est vrai que même si cette corruption existe bien en Tunisie et gangrène encore certains corps constitués, elle ne touche pas les hautes sphères du pouvoir comme c’est le cas dans certains autres pays africain. La Tunisie est d’ailleurs parmi les pays les mieux classés par le Wef même, en matière de gestion des deniers publics. Et si elle existe, la corruption est plutôt du genre que Donal O’Leary de TI Berlin appellera la petite corruption, mais qui n’en est pas moins dangereuse que la grande corruption telle que décrite dans le rapport que TI et la Bad ont consacré cette année à l’eau et aux infrastructures de l’eau et qui tue chaque année des milliers d’enfants en Afrique.

Un résultat mitigé pour l’Afrique.

«Avec la Somalie et l’Irak perçus comme les pays les plus corrompus, l’Indice de Perception de la Corruption (IPC) 2008 de Transparency International, publié hier en même temps à Berlin et à Tunis, met en évidence le cercle vicieux liant pauvreté, faillite des institutions et corruption. Les pays développés ne sont pas en reste. Les mauvaises performances dans l’IPC 2008 de certains pays industrialisés indiquent que les mécanismes de contrôle ne sont pas non plus infaillibles dans les pays riches».
Le commentant, Peter Eigen dit qu’il «n’est pas aussi optimiste qu’avant», surtout pour ce qui concerne l’Afrique. «Je pensais que le Kenya allait être un modèle, mais ceux qui ont essayé de mener la bataille contre la corruption» dans ce pays, «ont fui et ont été poursuivi », dit le co-fondateur de TI. Et ce dernier, tout aussi afro-pessimiste de continuer que «le Nigéria (même s’il a décollé du bas de l’échelle des mauvaises notes) n’est plus l’exemple lumineux qu’on pensait » en matière de lutte contre la corruption. Eigen évoquera quand même quelques exemples de pays africains qui ont fait des progrès comme les Maurices ou encore le Libéria, la Ghana et la Botswana dont il dira qu’il en est fier. «Mais dans l’ensemble, les résultats sont mitigés».

Un pied de nez aux Occidentaux.

On retiendra pourtant cette phrase de Peter Eigen, lors de sa conférence de presse et en réponse à une question sur l’absence d’un Index et d’un classement des corrupteurs, lorsqu’il dit que «les pays occidentaux sont mal placés pour critiquer les autres, compte tenu des pratiques de leurs compagnies». Le Président du Comité consultatif de TI, ne cachera pas en effet le lien direct entre corruption et corrupteurs occidentaux. Il dira pourtant qu’établir un classement de ces compagnies, comme il l’est fait actuellement pour les Etats perçus comme corrompus, est très cher » !! Il est certes moins cher d’étaler les Etats africains que les grandes compagnies corruptrices internationales.

Tunisiana gagne le ciel ! Tunisie Telecom se cherche encore !!


Tn-pla.net.Tunisiana, toujours innovante dans ses approches publicitaires a choisi de cibler les passagers à travers les tablettes des sièges, ce support original qui offre un taux d’attention et de mémorisation incomparable aux autres médias.Tunisie Telecom, et avec un budget remarquable, a choisi de s'afficher sur quelques petites facettes dans les aéroports de Paris.
Par conséquent, Tunisie Telecom préfère aller jusqu'aux aéroports de Paris pour faire de la publicité au milieu de quelques dizaines de pub d'autres marques et pour cibler les passagers en direction de la Tunisie au milieu de quelques millions de passagers, alors que Tunisiana a opté pour un média qui va lui permettre de toucher directement sa cible et d'accompagner tout passager à bord des avions tout au long du vol qu'il soit venu de Paris ou d'une autre ville.Visiblement, et après cet épisode, le feuilleton des "gâchis" de Tunisie Telecom n'est pas encore fini, et il risque de se prolonger encore plus.

Qui vous a bloque sur MSN ?

L'alternaute.En ce moment plusieurs adresses de sites web circulent par mail ou par MSN et vous proposent de vous donner la liste de vos contacts qui vous ont bloque su MSN !!Faites attention, ces sites sont répertoriés comme dangereux, car ils recuperent les mots de passes de vos adresses Hotmail. Donc ne les utilisez pas !!!Un autre moyen, simple, sure, et efficace vous permet de savoir qui vous a bloque !!Sur MSN allez dans la rubrique Outils a la fin du menu deroulant cliquez sur Options la fenetre options apparait, a gauche de cette fenetre il y a une liste. Dans cette liste cliquez sur Confidentialite. Vaus aurez deux tableaux cote a cote avec a gauche la liste de vos amis (liste verte) et a droite la liste des adresses que vous avez vous meme bloques. sur la liste verte choisissez une adresse et faites un clic droit dessus vous aurez un menu qui apparait et dans ce menu il y a la commande supprimer. Si supprimer est grisee c'est que votre ami ne vous a pas bloque, par contre si Supprimer est en noir votre contact vous a bloque !!

La négativité au travail peut se contrôler.

Recrute.com.Nous vivons tous, à un moment ou un autre, une journée difficile au travail. Notre ordinateur tombe en panne, les clients se plaignent, le patron se fâche, on doit recommencer notre travail. La frustration et la colère s’installent. Dans des cas pareils, il est tout à fait naturel d’avoir une attitude négative à l’égard de notre milieu de travail et même de nos propres aptitudes professionnelles.

Un environnement déclencheur.

Travailler dans un milieu désagréable constitue une source de stress. Souvent la négativité est un symptôme qui cache des problèmes plus importants que vous ne pouvez contrôler. Mais qu’arrive-t-il si les mauvaises journées sont plus nombreuses que les bonnes ?

Si vous avez constamment une attitude négative au travail, cela peut empoisonner votre existence et celle de vos collègues et nuire à votre enthousiasme et à votre créativité. Cela cause souvent des distractions inutiles et entraîne des attitudes et des paroles négatives à l'encontre de vos collaborateurs ainsi que vos clients.La négativité au travail est un phénomène contagieux. Bien que vous n’ayez pas une attitude négative au départ, s'il règne une ambiance négative autour de vous, celle-ci peut, à la longue, s’infiltrer dans votre vie professionnelle et entraîner un sentiment de découragement et de démotivation.

Reconnaître sa négativité

Il est important de prendre conscience de vos propres sentiments négatifs afin d’éviter d’avoir des comportements démesurés et ne pas accroître votre niveau de stress et celui de vos collègues.Pour régler le problème de négativité dans le milieu de travail, vous devez d’abord commencer par reconnaître vos propres pensées négatives et tenter de les éliminer. Et comme vous pouvez facilement contrôler vos comportements, tentez de vous en tenir à votre situation !

Des questions importantes à se poser

Reconnaître sa propre négativité est le point de départ pour pouvoir commencer à créer un milieu de travail plus agréable et moins stressant.Voici quelques questions à vous posez afin d’évaluer votre propre état moral lié à votre milieu professionnel :

• Est-ce que je ressens du plaisir et de l’enthousiasme lorsque je pense au travail ?
• Est-ce que je me sens mis à l’écart au travail et frustré par la communication au travail ?
• Est-ce que mon employeur passe plus de temps à parler de valeurs et de politiques et pas assez de temps à les mettre en pratique ?
• Est-ce que je sens que j'apporte une réelle valeur ajoutée ?

Contrôler sa négativité, c’est possible !

Nous éprouvons tous de temps à autre des sentiments négatifs : la colère, la peur, le stress et la frustration.Ce qui importe, c’est la façon dont on réagit aux situations et aux émotions négatives. Si vous refoulez vos sentiments négatifs ou que vous réagissez vivement en lançant des insultes, vous ne ferez qu’envenimer la situation. Il s’agit au contraire d’adopter une attitude communicative (partage d’idées pour améliorer la situation et écoute de vos collègues), se conditionner positivement en vous rappelant des éléments positifs de votre emploi, se confier à un ami ou un proche si besoin, et surtout, soyez indulgent envers vous-même !

Vous c’est vous, les Autres, c’est …différent !

Une des causes de la négativité au travail est le sentiment d’impuissance vis-à-vis des comportements et des choix d’autres personnes. Bien que vous puissiez contrôler vos idées et vos actions, il est souvent impossible d’influencer les autres. Il est difficile de s’entendre avec des personnes négatives car celles-ci ne réalisent souvent pas à quel point leur comportement nuit aux autres. Il suffit d’une seule personne négative pour abattre une équipe au complet, pour épuiser l’énergie nécessaire pour atteindre les objectifs fixés et pour créer un esprit de conflits, de tensions, de rumeurs et de plaintes.Souvenez-vous que le problème de la négativité est relié au comportement, et non à la personne. N’ayez donc pas peur d’expliquer à la personne concernée que ses actions nuisent à votre travail. Vous obtiendrez ainsi de meilleurs résultats si vous vous exprimez de manière calme et objective et en évitant les attaques personnelles.


mardi 23 septembre 2008

Le 1er Salon de la Création d’entreprises: 4 villages thématiques qui se déploieront sur les 2500 m2 du Centre des Foires du Kram.


Du 17 au 18 octobre le Salon constituera une occasion privilégiée pour regrouper entrepreneurs, créateurs d’entreprises, financiers, organismes de soutien et universitaires à travers les quatre villages thématiques qui se déploieront sur les 2500 m2 du Centre des Foires du Kram.

Les villages se répartissent comme suit :

- le village d’accompagnement qui comprend les structures d’appui et d’accompagnement, les organisations nationales, les centres d’affaire, les grandes entreprises initiant l’essaimage et autres.. ;

- le village de financement regroupe les banques et établissements financiers ;

- le village expertise et conseil qui rassemble les Ordres professionnels (experts-comptables, avocats) bureaux d’études, centres techniques, conseils ;

- le village innovation qui associe les universités, les technopoles, les centres de recherches liés aux universités, les pépinières, les organismes certificateurs, les représentants des NTIC. Les organisateurs ont appelé les universitaires à présenter les projets innovants ayant fait l’objet de recherches de fin d’études à l’occasion du Salon pour le cas où leurs idées séduiraient de futurs investisseurs…
On s’attend à ce que ce Salon, organisé par le ministère de l’Industrie, de l’Energie et des PME, en partenariat avec les ministères de l’Enseignement supérieur et de l’Emploi, soit visité par plus de 8.000 personnes. 160 exposants y participeront. Les visiteurs pourront assister au déroulement des négociations de plans d’affaires entre les différents intervenants.138 projets finalisés seront présentés au financement dont 120 sont initiés par des diplômés du Supérieur.24 gouvernorats seront représentés au Salon pour que les visiteurs puissent juger des ressources et spécificités de chaque gouvernorat. 4 conférences générales auront lieu au cours desquelles les thématiques suivantes seront débattues :
- comment mettre l’innovation au cœur de votre entreprise ;
- appui à la création d’entreprises en Allemagne ;
- les mécanismes de la création d’entreprises ;
- le rôle de l’expert comptable dans la création de l’entreprise : expérience internationale dans le contexte tunisien.
12 ateliers thématiques seront organisés à raison de 6 ateliers par jour.

La première édition du Salon de la Création d’Entreprises se fera sous le haut patronage du président de la République et son ouverture sera assurée par M. Mohamed Ghannouchi, Premier ministre.

La bêtise humaine n'a pas de limite.Le massacre de musulmans: un jeu vidéo !

zataz, nouvelobs:Un jeu vidéo pas comme les autres vient d'apparaitre sur Internet. Il se vante d'être le jeu du génocide religieux moderne.

Décidément, la bêtise humaine n'a pas de limite. Un jeu vidéo diffusé gratuitement sur le réseau des réseaux invite les internaute à "anéantir la race musulmane avec un arsenal des armes les plus destructives au monde". L'auteur indique sur son site "Ne soyez pas des larves libérales ! Téléchargez ce jeu".

Une association de jeunes musulmans britanniques, la Fondation Ramadan, a dénoncé la mise en ligne d'"Un jeu profondément choquant". Ce jeu vidéo intitulé Le massacre de musulmans, se vante d'être "le jeu du génocide religieux moderne". Réalisé à la sauce Amstrad CPC, il ressemble à un jeu mythique baptisé Ikari Warrior. Les "ennemis" que doit détruire le guerrier "américain" sont à l'effigie de femmes voilées, d'enfants, de Ben Laden et du prophète Mahomet.

Étonnamment le serveur, hébergé par Lunar Pages ne semble avoir subit aucune attaque informatique pour stopper cette diffusion. Le "jeu" est diffusé par un service de téléchargement en ligne à grande vitesse basé aux USA. "Si c'était dans l'autre sens, un jeu figurant des musulmans en train de tuer des Israéliens ou des Américains, il y aurait un tollé et à juste titre" indique l'association anglaise.

En mai 2006, le Pentagone montrait son inquiétude au sujet des jeux vidéo modifiés par des militants islamistes. Les éditeurs de jeu vidéo étaient, involontairement, devenus des acteurs de la campagne de propagande menée par des militants islamistes pour pousser les jeunes musulmans à prendre les armes contre les Etats-Unis, déclaraient des représentants du Pentagone et de l'industrie du jeu devant une commission du Congrès. Des militants islamistes férus d'informatique et appartenant à al Qæda ou à d'autres groupes, modifiaient des jeux vidéo de combat de telle façon que les soldats américains endossent le rôle des méchants face à des islamistes radicaux qui en devenaient les héros. Des jeux apparus sur des sites internet de militants islamistes.

Le jeu a été crée par un australien passionné de gore et de tueries


Le jeu a été développé par un jeune Australien de 22 ans se faisant appeler "Sigvart" et apparemment passionné par le morbide. Sur son site perso, on trouve en effet plusieurs liens vers des sites spécialisés dans le "gore", comme Rotten qui publie des photographies de cadavres, accidents ou autopsies. Le jeune homme est également l'auteur d'autres sites, dont "Competitive Spree Killing Organization", une sorte de base de données des tueries de masse.Face à la polémique que son jeu suscite, Sigvart a tenté de préciser sa démarche sur des forums, laissant planer le doute sur le fait de savoir s'il s'agit d'une réelle incitation à la haine ou d'une parodie de la politique étrangère américaine : "Chacun est libre de croire ce qu'il veut, parce que moi-même je ne sais même plus comment l'interpréter. L'essentiel est que je me suis amusé à le faire et qu'il soit marrant à jouer". Selon lui, "les musulmans représentés dans le jeu ne sont pas supposés représenter des vrais musulmans. Si j'essayais, là maintenant, de donner une signification à ce jeu, ce serait détruire métaphoriquement la représentation stéréotypée des musulmans"."Muslim Massacre" a en tous cas déclenché une vague de protestations sur internet, mais également de la part des organisations musulmanes de Grande-Bretagne. "Encourager les enfants et les jeunes gens à tuer les musulmans dans un jeu est inacceptable, de mauvais goût et profondément offensant", a ainsi déclaré Mohammed Shafiq, président de la Ramadhan Foundation, l'une des principales associations de jeunes musulmans britanniques.


La personne en question aurait présenter des excuses tout en expliquant pourquoi il laisse le jeu sur internet dont voici le texte :


“I would like to make a public apology for any offense that I might have caused through releasing this game, and to Muslims in particular. My intentions when releasing this project were to mock the foreign policy of the United States and the commonly held belief in the United States that Muslims are a hostile people to be held with suspicion. I would like to make it clear that I have never shared such a belief and my intention was to mock those who actually do believe these things.
It quickly became obvious to me that releasing this game did not achieve its intended effect and instead only caused hurt to hospitable, innocent people. I believe removing this game and website will do much more to attain my desired effect than leaving it on the internet, so I am doing just that.
I would like to ask for the forgiveness of Muslims around the world and to make it clear that I did not release this game with ill intent. So without further ado, I would like to say that I am truly apologetic for what I have done and will take full responsibility for all offense that has been caused. I can only hope that any further misgivings can be laid to rest.

Sincerely,

Sigvatr”

lundi 22 septembre 2008

Med-IT@Tunis 2008, 6eme édition, les 22 & 23 octobre



La 6ème édition des Med-IT@Tunis 2008, les 22 & 23 octobre Co-organisées depuis 2003 avec le Pôle El Gazala, les MED-IT, Rencontres Professionnelles sur les Technologies de l’Information, auront lieu cette année les mercredi 22 et jeudi 23 octobre 2008 au Pôle Elgazala.

La manifestation, qui se tient sous l'égide de Monsieur le ministre des Technologies de la Communication, regroupe chaque année au Pôle Elgazala des sociétés tunisiennes, françaises et internationales du secteur des technologies de l’Information.
Ces rencontres ont pour objectif de permettre la création de partenariats entre acteurs tunisiens, français et internationaux du secteur des Technologies de l’information (éditeurs de logiciels, intégrateurs, SSII, fournisseurs de solutions IT, opérateurs Télécoms,…) et de faire découvrir aux directions générales et informatiques des entreprises et administrations tunisiennes de nouvelles solutions innovantes.

Sur deux jours la manifestation comprend une exposition, des conférences et l’organisation de rendez vous d'affaires.
Le sponsor officiel de cette 6ème édition est la société GD EXPERT, leader en matière de «CAPTURE, TRANSFERT, SECURITE et ARCHIVAGE DE DONNEES».
D’autres acteurs majeurs spécialistes de l’ERP, de la Dématérialisation, du travail collaboratif, de la mobilité, de la Sécurité informatique, et du e-Learning seront également présents.


Programme de l’édition 2008 :

Mercredi 22 octobre 2008
Un forum des DSI sur l’évolution des systèmes d’information
Face à l'évolution constante des réglementations et des conditions de marché, les exigences en matière de transparence, d'intégration et de collaboration n'ont jamais été aussi impératives. Face à ces exigences, comment ont évolué les systèmes d’information (SI) des grandes entreprises et administrations tunisiennes. Echanges d’expériences entre DSI.

Ce forum sera complété par des ateliers sur :

la DEMATERIALISATION, la MOBILITE & et le TRAVAIL COLLABORATIF
Ces ateliers vous présenteront différentes solutions pour favoriser le travail collaboratif, la mobilité et la dématérialisation des contenus ; ils vous présenteront les différents avantages pour l’entreprise en terme de gain de temps et de performance.
Et sur la SECURITE DES SYSTEMES D’INFORMATION
A l'heure où la dématérialisation des contenus s'accélère, la protection de l'information est plus que jamais déterminante pour la compétitivité et l'image de marque des entreprises. Protéger la confidentialité et l'intégrité des informations, assurer la disponibilité des systèmes techniques et le respect des législations et réglementations constitue un véritable enjeu stratégique pour toutes les entreprises. Ces ateliers vous présenteront différentes solutions pour la sécurisation de vos systèmes d’informations, réseaux et applications.
Jeudi 23 octobre 2008
Un cycle de conférences sur les ERP
Comment choisir un ERP : de l’expression des besoins à la sélection de l’intégrateur, en passant par le cahier des charges, quelles bonnes pratiques pour gérer le changement induit par l’ERP ? Echanges d’expériences entre DSI.
Ces conférences réuniront les DSI des grandes sociétés tunisiennes et seront étayées par des ateliers de présentations de solutions ERP par les exposants.

Les rendez-vous d’affaires

Ces rencontres sont un véritable tremplin pour engager des partenariats entre professionnels tunisiens et internationaux du secteur des technologies de l’information.

Pour bénéficier d’un planning de rendez-vous, les visiteurs professionnels peuvent dès à présent s’inscrire en ligne sur le site officiel de la manifestation

La tunisie classée premiere dans le top ten des loosing trade freedom.


Dans une publication anticipée de son classement annuel des économies les plus libérales pour l’année 2009, la fondation américaine, the Heritage foundation a indiqué dans un article publié sur son site le 19 septembre 2008, que 17 pays ont enregistré une diminution dans la liberté commerciale d'au moins un point. Un pays, la Tunisie, a enregistré une baisse de plus de 10 points, avec un taux de liberté du commerce, tombant de 71.8 % à 53.0 %. Le classement de la Tunisie est ainsi drastiquement tombé de la 84ème place dans l’index 2008, à la 169ème position, à 10 points de la dernière place de ce classement de 179 pays dans l’index 2009 qui devrait être officiellement publié en janvier prochain. Quelles sont les raisons pour que la Tunisie soit plus protectionniste ?
The 2009 Index of Economic Freedom trade free­dom rankings demonstrate that many countries understand that they benefit from removing restric­tions that they have imposed on trade. Of course, they may also benefit from other countries' liberal­izing measures, but the absence of action by others is no reason to hold back on doing what they can to increase trade freedom for their own citizens.
The rankings show that for the world as a whole (counting those countries measured in both the 2008 and 2009 editions of the Index[2]), aver­age tariffs dropped from 8.1 percent in 2008 to 6.7 percent in 2009. The aver­age trade freedom score for these countries improved from 72.0 in 2008 to 74.6 in 2009.[3] The progress made is certainly not a breakthrough, but it does indicate that many countries are resisting protectionist pressures and moving forward with liberalization.
Action to improve trade freedom was broad-based throughout the world, with 67 countries scoring at least a point higher in 2009 than in 2008.[4] Thirteen countries scored at least 10 points higher, with Libya recording an amazing 50 point increase in trade freedom by virtually eliminating all tariffs.
By contrast, only 17 countries experienced a decrease in trade freedom of at least one point. Only one country, Tunisia, showed a drop of more than 10 points, falling from 71.8 to 53.0. Rwanda was not far behind with a 9.4 point drop in trade freedom.
Seventy-three countries show little movement at all, with modest increases or decreases in score of less than one point. By essentially standing still, these countries fell behind the better performers but improved their standing vis-à-vis those that suc­cumbed to protectionism.

Sotetel, mauvais diagnostic.

africamanager.Cela n’est plus une nouveauté. Reine de la bourse de Tunis et qui a fait les beaux jours de plus d’un boursicoteur il y a quelques années, la Sotetel va mal et ses propriétaires, Tunisie Télécom notamment, donnent jusqu’ici peu de signes d’un plan d’action pour sauver cette entreprise jusque là entre les griffes du syndicat ouvrier. Témoin de mauvais état de santé, l’action de l’entreprise qui multiplie les baisses. «Des fondamentaux très médiocres qui ne semblent pas s’améliorer à court terme», avait conclu Tahar Almi dans son analyse différentielle de cette entreprise de service dans le secteur des télécommunications.
Un ratio d’endettement connait une hausse sensible et un ratio des créances clients qui s’est fortement accru au 1er semestre 2008 par rapport à pareille période de l’année 2007. Cette progression traduit le peu d’efforts de rationalisation de la gestion de son portefeuille clients.
La Sotetel, c’est aussi un ratio des capitaux propres qui s’est réduit en 2008 par rapport à 2007 et indique la difficulté de la Sotetel de viser une plus large autonomie financière, en rapport à l’ensemble de son financement. C’est aussi un ratio des capitaux permanents qui suggère une régression de l’autonomie financière à moyen terme en 2008.
Le diagnostic est dur. Il pourrait peut-être susciter des réactions de part ou d’autre. Il n’en est pas moins renforcé par les résultats de l’entreprise au cours de ce premier trimestre 2008. Selon les états financiers arrêtés au 30 juin 2008, le résultat net est déficitaire de 1,766MDT et ce sous le double effet de la hausse considérable du coût des achats d’approvisionnement (+96,4%) et la constatation de provisions. A signaler que les produits d’exploitation ont augmenté sur la période Juin 2007-Juin 2008 de 66,56%. Reste donc à savoir, comment le principal actionnaire va réagir à cet état de santé qui se détériore et s’il ne le veut pas, s’il ne pourrait pas être «poussé» par les autorités financières et le ministère de tutelle de cette entreprise publique avant qu’on en arrive à des solutions plus douloureuses.

Maroc Telecom pré-qualifié pour la privatisation de la Sotelma

Maroc Telecom a été pré-qualifié pour la privatisation de la Société des télécommunications du Mali (Sotelma), après une compétition serrée avec une quinzaine d'autres opérateurs mondiaux, dont MTN, Deutsch Telecom, Vodafone, Portugal Telecom, Saoudia Telecom et Orascom, a-t-on appris de source bien informée vendredi à Rabat.Les entreprises sélectionnées durant cette phase vont soumissionner à l'appel d'offres international qui sera lancé par le gouvernement malien pour la désignation de l'adjudicataire définitif de la privatisation de la Sotelma.Selon la même source, l'opérateur historique marocain apparaît dans cette course comme un candidat "très sérieux" en raison de ses performances et de son expérience en Mauritanie, au Burkina Faso et au Gabon, où Maroc Telecom avait remporté des appels d'offres pour la prise de contrôle des opérateurs de ces pays.La privatisation de la Sotelma prévoit la cession de 51% du capital à un partenaire stratégique, alors que 19% du capital seront cédés au grand public et 10% réservés aux salariés de la société.A l'issue du processus de privatisation, la part de l'Etat malien dans le capital de l'opérateur historique ne sera que de 20%.A rappeler que Sotelma avait réalisé au 31 décembre 2007 un chiffre d'affaires de près de 107 millions d'euros et dispose d'un parc d'environ 90.000 lignes fixes et 480.000 abonnés au GSM.

Enquête de satisfaction de la clientèle des Fournisseurs de Services Internet


L’enquête menée par la société MDSOFT concernant la satisfaction de la clientèle des fournisseurs de Services Internet en Tunisie vient d’être achevée. Une partie de ces résultats seulement a été rendu publique, (les résultats complets et détaillés ne seront fournis qu’aux FSI) donc les réserves d’usage, liées à la publication de ce type d’enquête s'imposent.

La société MDSOFT a conduit au cours des mois de juillet, août et septembre 2008 une enquête auprès de 2000 internautes tunisiens, sondant leur satisfaction vis-à-vis de leurs Fournisseurs tunisiens de Services Internet (FSI) et de la qualité de ces services. Les réponses validées totalisent un millier de réponses dont 897 abonnés actuels et 147 abonnés potentiels répartis entre abonnés domestiques et professionnels appartenant a cinq FSI tunisiens : Planet, GolbalNet, TopNet, Hexabyte et Tunet. Après le traitement des réponses des 2.000 internautes par des experts en matière de statistiques, seules 1.000 réponses ont été validées et jugées valables pour servir de base à l’échantillon.

Résultats :

- Type d’abonnement : 84% personnel, et 16% professionnel
- FSI : 38% àTopnet, 29% à Planet, 20% à Globalnet, 8% à Hexabyte et 5.4% à Tunet.

- Le débit : la majorité un débit de 256 Ko (40,7%). Le débit de 512Ko, 1Mo et 2Mo sont respectivement de 18%, 10% et 9%. Le 128Ko ne représente que 22% .

- La satisfaction : la satisfaction globale est une moyenne de 70%, avec un écart de 16 points entre le FSI ayant le meilleur score et celui ayant le plus mauvais score. De même, l’insatisfaction des abonnés varie de 23% à 40%, ce qui correspond à des taux assez élevés.

- Accueil dans les agences : Satisfaits entre 88%, et 69% pour le plus mauvais FSI. Par contre les insatisfaits varient entre 12% et 31%.

- Le temps d’attente moyen pour l’obtention d’un abonnement ADSL : il varie de 3 jours à une semaine pour les uns et d’une semaine et un mois pour les autres.

- Problèmes rencontrés : une moyenne globale de 35% a déclaré avoir rencontré des problèmes avec leurs FSI, les taux variant de 27% à 44% selon le FSI.

- Qualité de la connexion : Satisfaits à hauteur de 62%, contre 38% de non satisfaits.

- La qualité du service client (hotline) : Satisfaisante à hauteur de 71%.

-Qualité du service technique : Satisfaisante à 74%. Seuls 48% de l’échantillon total déclare avoir une réponse dans les délais.

-Intentions de changement de FSI : 27% envisagent de le faire prochainement. Ce taux varie d’un FSI à un autre avec un écart de 16 points entre le FSI qui risque le plus de perdre ses abonnés et celui qui court le moins de risque à ce niveau.

-Recommandation d’un FSI par un abonné actuel à ses proches : Une moyenne globale de 49%.

Ce sont là des données publiques. Les données confidentielles ne seront communiqués qu’aux FSI que moyennant paiement. Les résultats donnent Topnet et GlobalNet meilleurs FSI en Tunisie en termes de perception par leurs clients.Il ne s’agit naturellement pas de prendre pour argent comptant l’ensemble de ces données puisqu’il ne s’agit que d’une question de perception. Pour sa part, l’échantillon des 1000 personnes retenues (sur les 2000 interrogés) peut être jugé représentatif, puisque le nombre global d’abonnés ADSL en Tunisie est de 125.000.Le message qui pourrait être retenu, au final, est que les FSI les moins bien classés sont invités désormais à doubler leurs efforts en matière de communication et de satisfaction des clients.
Mdsoft est une société tunisienne spécialisée dans les services informatiques et plus particulièrement dans le domaine de l’Internet. Créée en août 2005 par Hassen Soussou, elle compte une équipe de dix personnes dont des cadres haut-de-gamme comme ce doctorant-ingénieur en informatique. Au début spécialisée dans l’élaboration et l’exploitation de ses propres portails Web comme ce1er site de rencontres 100% tunisien avec paiement électronique qui compterait actuellement plus de 40 000 inscrits, l’entreprise commence à développer des enquêtes via Internet auprès des consommateurs tunisiens sur des thèmes d’actualité. Elle vient de se mettre soudainement sous les spots par sa dernière enquête en date porte sur les Fournisseurs de Services Internet en Tunisie. Hsan Soussou qui nous en parle ne compte pas en rester là. Une prochaine enquête va porter sur les opérateurs de téléphonie mobile en Tunisie (Tunisie Telecom et Tunisiana).

Un webcasting sur l’accessibilité numérique des handicapés en Tunisie

Une émission télévisée sur Internet (webcasting*), traitant de l’expérience tunisienne en matière d’accessibilité numérique des handicapés, a mis en lumière la stratégie adoptée en Tunisie, pour inclure les porteurs de handicap dans la société du savoir et de l’information.Présenté par les ministères des technologies de la communication et des affaires sociales, de la solidarité et des Tunisiens à l’étranger, en collaboration avec la Banque Mondiale, le webcasting vient d’être diffusé en deux visioconférences. Des experts de la Banque mondiale, des Etats Unis d’Amérique et de nombreux pays africains y ont participé. Ils se sont félicités de la réussite de l’expérience tunisienne visant à promouvoir les handicapés et à leur permettre d’utiliser au mieux les nouvelles technologies de la communication et de l’information.Les interventions se sont articulées autour de l’apport des nouvelles technologies dans l’intégration des handicapés en milieu scolaire ordinaire, ainsi que dans leur association à l’impulsion de l’œuvre de développement économique.L’expérience du webcasting a été l’occasion pour les participants d’échanger les informations sur les utilisations des nouvelles technologies dans l’éducation et la formation des handicapés âgés, ainsi que sur l’utilisation des données statistiques relatives aux porteurs de handicap dans la mise en œuvre de programmes spécifiques et de projets d’accessibilité numérique.


*La webdiffusion, (ou webcasting, mot anglais dont la traduction littérale est "diffusion sur le web") désigne la diffusion de contenus audio et/ou vidéo sur Internet. La diffusion peut s'effectuer en flux continu ou en téléchargement.


Tunisie : Mahmoud Mehiri, nouveau gouverneur de l’Ariana

Le ministre de l'Intérieur et du développement local a annoncé que le Président Zine El Abidine Ben Ali a décidé de nommer M. Mahmoud Mehiri, gouverneur de l'Ariana.
Mahmoud Mehiri, nommé le 19 septembre 2008 gouverneur de l’Ariana (Tunisie), est né le 4 juillet 1959 à Tunis. Il est titulaire d’une licence et d’un DEA en droit public.M. Mehiri entame sa carrière professionnelle en tant que maître assistant à l’école supérieure de commerce de Tunis avant d’intégrer, en 1986, le corps du barreau. Il est, par la suite, nommé gouverneur, successivement à Kasserine (2001) et Tunis (2003)En août 2005, il est nommé conseiller principal auprès du Président de la République.En Janvier 2007, il occupe les fonctions de secrétaire général-adjoint du RCD chargé de la jeunesse, de l’éducation et de la culture de septembre 2007 et jusqu’à sa récente nomination, M. Mehiri occupait les fonctions de secrétaire général-adjoint du RCD chargé des relations extérieures.M. Mehiri est membre du Comité central du Rassemblement Constitutionnel Démocratique et président de l’Association «Avocats sans frontières». Il est lauréat de plusieurs prix présidentiels dans le domaine de l’activité associative.Il est officier de l’ordre de la République, marié et père de deux enfants.